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Leica II
mercredi 30 décembre 2015, par
L’archétype du Leica télémétrique, dans toute sa splendeur : un Leica II "Couplex" et son objectif emblématique, l’Elmar f:3,5/50 mm nickelé (1932). A propos de cet objectif, remarquer les graduations de l’échelle du diaphragme selon l’ancien standard et la distance focale exprimée en millimètres (peu après en centimètres). Noter aussi le levier de mise au point en forme de cloche très caractéristique de l’époque, avec verrouillage sur l’infini en position à "11 heures".
Le 6 Mars 1932 apparaît…
le Leica II, "Model D" pour les Américains, "Couplex" pour les Français.
A l’instar de son illustre prédécesseur le Leica Modèle A de 1925, ce nouveau modèle fut présenté à la Foire de Printemps de Leipzig.
Mis en fabrication dans les usines Leitz de Wetzlar le 1er Février 1932, le Leica II apporte une innovation majeure à la géniale invention d’Oskar Barnack : l’adjonction d’un télémètre intégré au boîtier, couplé avec les objectifs standardisés. Sans changement de forme ni de volume, l’esthétique intemporelle du petit appareil photographique est analogue mais l’efficacité et l’agrément d’utilisation sont considérablement améliorées. C’est le modèle abouti comportant les éléments essentiels et fondamentaux que l’on retrouvera sur tous les appareils qui suivront ; il donnera ses lettres de noblesse au Leica. Cette nouvelle amélioration du boîtier originel de 1925, après la mise en place de l’interchangeabilité des optiques en 1930, et leur standardisation permettant l’utilisation d’objectifs de sept distances focales allant du 35 au 135 mm, devait assurer la pérennité de ce qui prendra au fil du temps le nom de procédé Leica reposant sur un nombre de plus en plus important de boîtiers en dérivant, d’accessoires aussi abondants qu’ingénieux, et d’optiques de qualité calculées par le physicien Max Berek.
L’histoire nous apprend que le cahier des charges rédigé par Barnack prévoyait que ces améliorations donnant naissance au Leica II ne devaient s’accompagner d’aucun changement de prix par rapport au Leica Standard modèle E, (très proche du modèle C) livrable en Octobre 1932 avec un télémètre indépendant.
Il est permis d’imaginer que les photographes du monde entier attendaient ce nouveau "Vest-Pocket" (s’il est autorisé d’utiliser cette appellation consacrée au petit Kodak 4x6,5 de 1912), révolutionnaire par sa facilité d’utilisation, son ingéniosité et ses dimensions réduites quand on sait que ce bel objet fut vendu à plus de 20.000 exemplaires dès la première année de production.
Etonnant début de la fabrication
On sait aussi qu’il y eut deux prototypes ; l’un se retrouva sur le stand Leitz à la Foire de Leipzig, l’autre fut confié à l’importateur Leitz de New-York. Le succès immédiat de ce boîtier innovant précipita, durant la foire même, l’ordre de mise en fabrication industrielle ! Mais, aussi surprenant que cela puisse paraître, les schémas dessinés par Barnack lors de la conception du "Couplex" et les calculs afférents n’avaient pas été sauvegardés pour une mise en route rapide de la construction en série de l’appareil. Il fallut donc rapatrier en urgence le "Couplex" new-yorkais, le démonter afin d’en redessiner les éléments constitutifs, puis établir l’indispensable plan de montage permettant la fabrication de cet appareil qui devait, par la suite, symboliser la pratique du petit format dit : « 24x36 » sur film de 35 mm, sans que l’on pût imaginer alors l’avenir brillant qui l’attendait.
Les innovations techniques
A) Télémètre à coïncidence incorporé et couplé
Jusqu’alors les télémètres de Leitz (FODIS et FOFER de base 83 mm) étaient placés en position verticale, engagés sous la griffe porte-accessoires ; ils étaient encombrants et peu pratiques. Souhaitant rendre son appareil plus fonctionnel et plus maniable, Barnack eut l’idée d’incorporer un télémètre au boîtier en position horizontale, protégé par un capot le jumelant au viseur. Il fallut nécessairement réduire la base à 38,5 mm afin de loger ce télémètre entre le barillet du réglage des vitesses et le bouton permettant de rembobiner le film exposé.
L’esprit inventif de Barnack lui fit imaginer un système mécanique permettant à la came cylindrique prolongeant la rampe hélicoïdale de l’objectif en place de prendre appui sur un galet fixé sur un levier entraînant le déplacement d’une bielle, sur laquelle est placé à demeure un prisme situé dans l’axe optique de l’oculaire du télémètre ; cet ingénieux système est nommé "télémètre couplé".
La qualité de l’usinage du galet d’appui permet simultanément un mouvement de translation et une rotation transmettant, avec une extrême précision, le moindre mouvement de la rampe hélicoïdale de l’objectif.
Remarquer la réunion des deux axes optiques permettant la superposition des deux images télémétriques vues à travers l’oculaire du télémètre : celui de droite subit deux réflexions (dans le prisme mobile puis sur le miroir semi-réfléchissant) tandis que celui de gauche traverse ce miroir sans être dévié. Ces deux axes optiques ne sont pas parallèles, sauf à l’infini. Noter que la découpe de la fenêtre du viseur n’a curieusement pas été figurée sur ce schéma (elle serait située entre les deux "pupilles" du télémètre).
Lors de la visée depuis l’oculaire du télémètre apparaissent deux images qui, une fois superposées après avoir fait avancer ou reculer l’objectif par la rotation de sa rampe, témoignent d’une mise au point parfaite : c’est ce que l’on nomme un « télémètre à coïncidence ».
Ces deux images illustrent parfaitement ce que le photographe voit à travers l’œilleton du télémètre de son appareil. La double image de gauche indique que la mise au point est inexacte, et celle de droite que la mesure de la distance est parfaite.
En revanche, pour obtenir cette qualité de mise au point assurant une image très nette, il fallait un tirage précis du boîtier, sans compromis… Ainsi, on remarquera un « 0 » gravé (en position à midi) sur la platine où vient se visser l’objectif : cette gravure signifie que le boîtier est apte à recevoir des optiques standardisées. Chaque boîtier était ainsi contrôlé et finement calé en usine, avec de minces lamelles de papier noir glissées sous la platine, de telle sorte que la distance entre cette bague normalisée marquée « 0 » et le film soit précisément de 28,8 mm. Le marquage spécifique « 0 » disparaîtra avec le IIIc inaugurant la nouvelle série des Leica dits "longs", la ceinture passant de 133,4 à 136,2 mm. Dès lors les techniques d’usinage plus précises supprimeront cette contrainte.
Détail de la face avant d’un boîtier Leica II laqué noir. Remarquer en haut : le barillet des vitesses nickelé (vu de profil) et les deux "pupilles" du télémètre, de part et d’autre de la fenêtre du viseur dont l’une - celle de droite - porteuse d’un filtre jaune. Noter le « 0 » gravé sur la platine arrimée par quatre vis, et remarquer (juste en dessous de ce « 0 ») le galet du télémètre affleurant à l’avant du sommet de la chambre noire au fond de laquelle on devine l’un des rideaux de l’obturateur.
B) Emplacement du viseur
Indépendant, le viseur clair (de type lunette de Galilée inversée) est identique à celui des boîtiers précédents ; il est prévu pour la focale standard de 50 mm. On le retrouve englobé en position médiane sous le capot du télémètre qu’il traverse de part en part, l’œilleton fixé sur son versant postérieur et la fenêtre de visée située sur la paroi antérieure, entre les deux "pupilles" permettant la mesure télémétrique par coïncidence.
Noter les deux œilletons de visée indépendants l’un de l’autre et espacés de 20 mm : le photographe procède au réglage de la distance par visée télémétrique (à gauche) puis observe le champ photographié par le viseur incorporé (à droite). Remarquer aussi le bouton de rembobinage extensible.
C) Bouton de rembobinage
Son diamètre passe de 15 à 12 mm, cette diminution étant rendue nécessaire par la proximité du capot couvrant le bloc viseur-télémètre. Ce bouton est extensible : on peut le tirer vers le haut, puis rembobiner le film exposé sans être gêné par l’épaisseur du capot.
Mécanisme
Strictement identique à celui des Leica I, on retrouve le même obturateur à rideau en tissu caoutchouté et vulcanisé ; les vitesses d’obturation sont le 1/20ème, 1/30ème, 1/40ème, 1/60ème, 1/100ème, 1/200ème, 1/500ème de seconde, et la pause "Z" (pour "Zeit" signifiant "temps", l’équivalent de la pause "B"). Le bouton d’armement, le disque de compteur de vues et le déclencheur ne changent pas.
Présentation et esthétique
- La silhouette générale et l’encombrement du Leica II ou "Couplex" restent similaires à ceux du Leica I.
- Il n’y a toujours pas d’œillets de courroie de transport : ils n’apparurent que sur le Leica III.
- On note, raffinement suprême, que les parties supérieures du bouton d’armement, du capot du bloc viseur-télémètre, du barillet des vitesses et du bouton de rembobinage sont exactement dans le même plan, si bien qu’un boîtier placé à l’envers sur une table demeure parfaitement stable : le chargement et le déchargement du film en sont facilités.
- La première année (1932), les boîtiers furent livrés en noir laqué avec des commandes nickelées et équipés d’objectifs à montures nickelées.
- Dès l’année suivante apparurent pour la première fois chez Leitz, avec le "Couplex", des boîtiers chromés satinés avec des commandes chromées elles aussi, mais brillantes. Ces boîtiers furent alors présentés avec des optiques chromées, les premières possédant cette finition.
- Rares sont les boîtiers noirs équipés de commandes chromées : ces modèles étaient fabriqués sur commande spéciale, destinés à l’exportation.
- Renouant avec la luxueuse série spéciale apparue au sein de la production du Leica I, Leitz livra durant l’année 1932 quatre boîtiers également dits "Luxus", plaqués or, à la ceinture recouverte d’une peau de lézard teintée, portant les Numéros : 88840, 94573, 97313, et 98248.
Variations
L’examen de différents modèles de Leica II permet de déceler quelques différences d’aspect, dès la seconde année suivant la mise sur le marché du "Couplex"…
La première année de fabrication, les modèles reçurent un barillet de sélection des vitesses de diamètre 15,5 mm, qui diminua à 13,5 mm l’année suivante.
Il y avait une raison à cela : à partir du début de la production du Leica III (1933), dérivé du Leica II, le barillet des vitesses comporta, à côté du chiffre 20 marquant le 1/20ème de seconde, le chiffre 1 indiquant la position de ce barillet lors de l’utilisation de vitesses lentes par le seul Leica III (dont l’obturateur le permet) : la fabrication des barillets avait été uniformisée.
De même, si durant l’année 1932 la partie du capot de télémètre surmontée du barillet des vitesses était arrondie, en forme de « siège de WC » selon une appellation étonnante mais ayant cours outre-Manche (à cette époque ce siège était rond !), le capot des Leica II fabriqués ultérieurement présenta à ce niveau des facettes en "pan-coupé". Ce discret changement d’aspect apparut en 1933 avec le Leica III, constituant une amélioration du Leica II par adjonction des vitesses lentes, ajout qui imposa cette légère modification du capot. La politique de Leitz étant d’offrir à ses clients la possibilité de transformer leur appareil en l’équivalent d’un modèle plus récent, cette modification du capot du Leica II est apparue dès 1933 en même temps que le Leica III, prévoyant ainsi d’éventuelles demandes de modernisation.
Deux boîtiers Leica II laqués noir juxtaposés (datant de 1932 en haut, de 1935 en bas) : remarquer les commandes nickelées et la différence entre les capots (sous le barillet des vitesses), ainsi que la différence de gravure sur chaque barillet (portant respectivement les inscriptions "20" et "20-1"). Remarquer aussi les deux oculaires séparés du viseur (à droite) et du télémètre (à gauche), bien visibles de profil sur la face arrière du boîtier du bas.
D’autres détails minimes apparurent en cours de fabrication, qu’il est bon de signaler :
En 1933 le diamètre de l’ergot de maintien de la semelle du boîtier rivé en bas du flanc droit de la ceinture passa de 3 à 5 mm, diamètre adopté définitivement sur tous les boîtiers Leica jusqu’aux plus récents.
Remarquer la différence du diamètre des ergots permettant la fixation de la semelle (à droite, l’éphémère diamètre de 3 mm en 1932), et la variation de l’aspect de la vulcanite gainant la ceinture de ces deux boîtiers vus de profil.
On remarquera aussi, sur les premiers boîtiers, un filtre jaune fixé à demeure sur la "pupille" gauche du télémètre améliorant le contraste des images vues en coïncidence. Ce filtre disparaîtra cependant rapidement, remplacé dès 1936 par un filtre orange amovible (codé ORAKO) doté d’une monture noire ou chromée.
Production
Le "Couplex" n’échappa pas bien sûr au fameux « code chinois », le code Leitz comportant cinq lettres.
LYKAN fut réservé au boîtier noir laqué de 1932 à 1934 et LYKAN CHROM pour le boîtier chomé. Le n° 71200 fut celui du premier appareil construit. Le n° 111551 est celui du premier boîtier en finition chromée.
Le code changea en 1934 attribuant le nom d’AIROO au boîtier noir et AIROO CHROM au chromé.
Le Leica II fut fabriqué jusqu’en 1948. On dénombre 52509 exemplaires répartis entre 36936 boîtiers noirs laqués et 15573 boîtiers chromés satinés (voir cette illustration présentant un exemplaire de 1938).
Chant du cygne du "Couplex", un lot de 200 boîtiers chromés furent assemblés par la filiale Leitz New York : 50 exemplaires fin 1947 et 150 en 1948, aisément identifiables par une pastille chromée, fixée par trois vis sur la face antérieure de la ceinture, à l’emplacement occupé par le barillet de commande des vitesses lentes chez d’autres modèles de Leica. Cet ajout peu esthétique laisse supposer que Leitz à Wetzlar n’avait pu fournir à sa filiale américaine, pour cette dernière série tardive, que des ceintures destinées au Leica IIIa alors en production : il fallut donc obturer la découpe destinée à accueillir ce barillet. En effet, Leitz venait d’abandonner la fabrication du "Couplex" durant l’année 1947, après une courte série de 24 boîtiers en finition chromée ; il semble que, selon toute vraisemblance, cette ultime série allemande ait été montée avec les dernières ceintures disponibles à Wetzlar propres au Leica II.
On ne manquera pas donc, de remarquer que le dernier des “Couplex”, datant de 1948 et portant le n° 358650, a été assemblé aux Etats-Unis !
Un vaste choix d’objectifs
La standardisation du tirage, déjà apparue avec le Leica I (modèle C), et le couplage du télémètre permirent à Leitz de proposer une gamme variée d’objectifs normalisés interchangeables, élargissant ainsi le "champ visuel" du Leica… ou le rétrécissant, puisque les longues focales firent aussi leur apparition ! Ainsi, le "Couplex" bénéficia des neufs objectifs suivants, dès sa mise sur le marché (ou peu après) :
- Elmar f:3,5/3,5 cm
- Elmar f:3,5/5 cm
- Hektor f:2,5/5 cm
- Summar f:2/5 cm
- Hektor f:1,9/7,3 cm
- Elmar f:4/9 cm
- Elmar f:6,3/10,5 cm
- Elmar f:4,5/13,5 cm
- Hektor f:4,5/13,5 cm
(les distances focales sont ici exprimées en centimètres conformément à l’usage de l’époque, toutefois pas toujours respecté même au sein de l’entreprise Leitz).
Les noms de ces objectifs possèdent diverses origines : les deux premières lettres d’Elmar font référence aux initiales d’Ernst Leitz (le fondateur de l’entreprise), Summar évoque le sommet de la qualité optique, quant à Hektor… c’était le nom du chien de Max Berek, l’opticien-maison !
La vocation de reportage en conditions souvent difficiles du Leica s’affirma avec la conception des objectifs Hektor f:2,5/5 cm et Summar f:2/5 cm, dont l’ouverture permet de photographier en lumière assez faible ; ce dernier est à l’origine d’une lignée qui conduisit vers l’apothéose du Summicron f:2/5 cm, dont le descendant est disponible actuellement.
Comme le viseur incorporé du Leica II n’offre que le champ couvert par la focale 50 mm, deux viseurs externes, à insérer dans la griffe porte- accessoires accompagnèrent cette gamme d’objectifs : le VISOR (dit "Torpédo", apparu en 1931 pour le Leica I), puis le plus universel VIDOM (1933).
Conclusion
Le Leica II ou "Couplex" est un modèle extrêmement important dans l’évolution de l’appareil photographique Leica, innovant par l’atout majeur du télémètre incorporé couplé aux montures normalisées de tous les objectifs Leitz. L’intégration de cette pièce maîtresse a augmenté de façon très nette les performances d’un appareil déjà révolutionnaire et a accru sa facilité d’utilisation. C’est à mon sens le modèle qui, avec le Leica M3 apparu en 1954, a le plus contribué au développement et à la réputation d’excellence de la firme fondée par la famille Leitz, déjà réputée par la qualité de ses microscopes. Cependant son antériorité, son ingéniosité, sa conception pérenne ainsi que les canons déjà établis de son esthétique font que le Leica II est le boîtier qui symbolise, à lui seul et devant les autres, le nom de LEICA !
La fiabilité légendaire de ce matériel se vérifie encore aujourd’hui, puisqu’il nous est arrivé de rencontrer des photographes s’en servant toujours ; je ne saurais que conseiller aux jeunes passionnés de la marque Leitz, possesseurs et utilisateurs des modèles les plus récents, de revenir aux sources et d’en acquérir un (on en rencontre encore en parfait état), pour juger par eux-mêmes de la fiabilité et du charme de ce petit appareil discret, toujours aussi performant.
Sources
Ce texte qui n’a pas la prétention d’être exhaustif, est la résultante d’observations personnelles, d’échanges avec des utilisateurs et collectionneurs avertis, de recherches et de lectures diverses, dont les publications de :
J. et G. Borgé et N. Viasnoff in Prestige de la Photographie Tome II (1977 e.p.a.)
W.D. Emanuel : Leica Guide (1958 Paul Montel)
James L. Lager : Leica Literature 1930 - 1960 (1980 Morgan and Morgan)
Dennis Laney : Leica collectors Guide (1992 Hove Collectors Books)
Willard D. Morgan & Henry M. Lester : Leica Manual (1935 Morgan and Lester)
Marcel Natkin : Le Leica (1933 Lecram-Servant)
Patrice-Hervé Pont : 100 Appareils Légendaires (2001 Editions du Pécari)
Gianni Rogliatti : Leica : 1925-1975 (1977 Edita)
Ghester Sartorius : Identifying Leica Cameras (1997 Editrice Reflex)
Paul-Henry Van Hasbroeck : Rare and unusual Leicas and accessories (1979 Photo historical Publications)
Remerciements
Enfin et surtout, je ne saurais passer sous silence l’aide précieuse de Jean D. qui a bien voulu accepter le rôle ingrat de correcteur des épreuves de ce texte, de faire quelques arrangements stylistiques, de légender les illustrations et de rédiger aussi avec le souci d’authenticité et de précision qui l’anime, le paragraphe consacré à la gamme déjà étendue des objectifs de l’époque.
Voir en ligne : Chercher des images faites au Leica II