christian gaudin |
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Régulier Messages : 115Depuis le 23 nov 2006 la possonniere |
Par contre j'sais pas si on a le choix dans la date pour l'acheter! |
graphite69 |
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Spécialiste Messages : 1708Depuis le 28 mars 2009 lyon |
moi j'aime bien le "flat iron" avec le petit nuage. |
Ambre_et_Lumiere |
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Spécialiste Messages : 1107Depuis le 19 oct 2006 Paris 13eme |
pascal_meheut a écrit : Disons que même si on n'est pas convaincu par les images proposées, on a ici qqu'un qui n'a agressé personne, pas fait chier son monde mais qui au contraire a fait l'effort de présenter ses résultats.On peut ne pas trouver ca convaincant ou pertinent mais une critique plus sympa, des conseils, des exemples différents feraient qu'il aurait envie d'entamer le dialogue, d'éventuellement retravailler ses photos... Et tout le monde en profiterait. Là, j'ai vu le genre de réactions que j'ai également souvent eu quand je présentais un test ou un retour d'expérience et je peux dire que ca ne motive pas pour partager avec la communauté. +1 pour moi aussi . Je ne ferai que peu de commentaires sur les commentaires du début, je pense que certains ont déjà eu l'occasion de voir mes opinions sur le sujet. Toutefois, j'approuve le point de vue de Pascal, et j'ai senti également la même chose par le passé. Je trouve que dans une communauté, on doit pouvoir dire ce qu'on pense librement, mais il y a une difference entre critique constuctive et critique un peu vache à la limite du correct. Je suis partisan du "j'aime pas", à la place de "c'est nul" Pour en revenir au M9, Si des gens ne savent pas quoi faire de leur sous, merci de penser à moi, je ferai vivre Leica en leur achetant un M9 (bon je plaisante) Sans rire, Après avoir regardé des samples du D3s, il n'y a rien a redire sur le piqué du M9, ca décoiffe, et la différence fait même un peu mal au derrière Bon, c'est sur, c'est pas la meme plage de sensibilité, mais qd même ! Par contre, c'est vrai que j'aurai aimé voir les images en 1240/768 au moins, pour avoir un point de comparaison avec le D3s (outre que le poids des deux betes ) Selon que vous soyez sur ou sous exposé (médiatiquement), les jugements de cours vous rendront ou blanc, ou noir et vous en feront voir de toutes les couleurs
_________________________________ "Je prête à rire, mais je donne à penser" - MissTick |
Coignet |
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agent technique Messages : 14852Depuis le 5 nov 2003 75001 |
Bon…
Il est vrai que j'ai fait un commentaire peu amical. À dire vrai, je ne comprends pas très bien l'intérêt de poster des séries de photos qui semblent peu préparées, sans explication autre que M9 + C1. Il n'y a aucune présentation : pourquoi sont-elles postées, que veulent-elles montrer ou faire partager ? Simple désaturation ou traitement autre ? Le but est-il de discuter du noir et blanc numérique ? ma signature |
loloboubou |
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Spécialiste Messages : 2857Depuis le 1 déc 2008 Lyon |
Pour le M9 je ne sais pas ...
Pour le N&B numérique du M8 voila le flickr de l'ami Papa Tango : http://www.flickr.com/photos/22019358@N00/3887469065/ Il faut être agressif avec soi-même et discret avec ceux que l'on photographie. Depardon |
daure |
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Habitué Messages : 991Depuis le 16 juin 2009 Mantes la jolie |
Et bien moi, j'aime bien les images de Bokeh.
Sur mon écran, tout parait dense et bouché dans les tons foncés. Mais je ne dirais pas "grisou".Les lumières de la station Bibliothèque de la ligne 14 ne sont pas des plus faciles. Le rendu peut être amélioré, mais l'ambiance y est. Expérience faite avec mon neuf 9 (je me suis fais suffisamment charrier sur un autre post, j'espère qu'"ils" ne vont pas remettre ça ...!) il faut exposer assez différemment comparé au M8. La sous ex est permanente de 3/4 à 1 diaph. Et ce n'est pas un problème de mesure centrée/pondérée différemment. Je finis qq tests et je reviendrai vous casser les pieds avec ça. Mais un 320 iso M8 correspond à la louche à un bon 500 iso (quelle drôle d'idée vraiment cette foultitude de choix de sensibilités) sur le M9. Ce qui relativise pas mal le, entre guillemets, soit disant gain de 1 - 1,5 diaph en bruit évoqué un peu partout Et c'est vrai aussi que les hautes lumières sont très très vite brûlées. Il est clair (pour moi et avec mon exemplaire) que l'on y perd pas mal en dynamique, ce qui est la grande force du 8 |
hugues33 |
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✝ Messages : 4081Depuis le 12 nov 2007 BORDEAUX |
Mon CCL m'a gentiment prêté le M9 ce WE : cette sous ex permanente, je l'ai constaté aussi. Le noir est le refuge de la couleur. Mon Flickr |
Robert |
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Membre des Amis Messages : 18586Depuis le 21 déc 2006 Ile de France |
Merci à Bokeh de son envie de partage et des infos précieuses en attendant d'avoir un jour, peut-être, une expérience personnelle.
La photo de l'automobile est impressionnante par sa qualité perçue, même sur écran. Il est clair que les négatifs numériques demandent autant de traitement que les négatifs argentiques pour en sortir de la matière et de la substance. Le M9 n'est sans doute pas qu'un M8 FF et il faudra apprendre à s'en servir, même si les fondamentaux ne sont pas éloignés. |
Coignet |
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agent technique Messages : 14852Depuis le 5 nov 2003 75001 |
daure a écrit : Mais un 320 iso M8 correspond à la louche à un bon 500 iso (quelle drôle d'idée vraiment cette foultitude de choix de sensibilités) sur le M9.Ce qui relativise pas mal le, entre guillemets, soit disant gain de 1 - 1,5 diaph en bruit évoqué un peu partout Et c'est vrai aussi que les hautes lumières sont très très vite brûlées. Je suis toujours étonné de lire ce genre de choses. Pourquoi un fabricant ferait-il exprès de caler ses boîtiers de travers ? Ne faut-il pas seulement apprendre à utiliser la mesure du boîtier ? J'ai pu faire l'expérience, tant avec des boîtiers numériques (dont le M8) qu'avec des boîtiers argentiques, du fait qu'il faut apprendre comment le boîtier fait la mesure, quelles moyennes sont faites, sur quoi il faut mesurer, avec plus ou moins de précision. La seule méthode pour savoir si vraiment il y aurait un décalage (mais pourquoi diable ?) est de mesurer sur un gris 18%. Une chose est certaine : il est toujours plus facile, avec n'importe quel boîtier, de mesurer à la cellule à main en mesure incidente. On disait, lorsque le M8 est sorti, qu'il brûlait les hautes lumières. Je n'ai rien constaté de tel en l'utilisant. Avec des mesures mal faites en intérieur en particulier (sources ponctuelles de lumière électrique et reflets dans le champ), que ce soit au M ou au D700, avec avec n'importe quel boîtier argentique, on est sous-exposé pour les hautes lumières si on a mal calé son exposition. ma signature |
Robert |
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Membre des Amis Messages : 18586Depuis le 21 déc 2006 Ile de France |
On a sans doute oublié que les dias pouvaient brûler les hautes lumières... |
ArnaudLe |
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Spécialiste Messages : 1067Depuis le 29 sep 2006 Balleroy (14) |
On peut toujours brûler les hautes lumières, la question c'est : à partir de quel niveau de surexposition ?
Ou, autrement dit, quelle est la latitude d'exposition du capteur ? Bon, ben c'est pas tout ça, mais j'ai un monde incrédule à convaincre, toussa patin couffin... |
aileka |
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Spécialiste Messages : 2127Depuis le 22 juil 2008 Paris, France |
Justement, avec le numérique, on shoote trop, donc on a beaucoup plus de boulot en editing. C'est même parfois pénible! Je parle pour moi!
Quant au processing, c'est peut-être personnel, mais je considère que c'est la même chose que le labo en argentique, donc pas mal de temps et pas de batch-processing, sauf dans certains cas plutôt professionnels (suite de photos prises dans des conditions identiques, avec des exigences de rendu de couleur précises, qui nécessitent alors une homogénéité dans la série). Je trouve le travail de "labo numérique" intéressant car il offre beaucoup plus de possibilités que le travail sous l'agrandisseur. Il va sans dire qu'il vaut mieux partir de format RAW! Plus généralement, les capteurs ont une latitude de pose plus élevée que la plupart des films et c'est peut-être ce qui rend mal à l'aise. On n'a plus la compression de la courbe en S, qui pardonne bien des choses en argentique. En ce qui concerne le calage de l'exposition, un capteur se comporte un peu comme un film inversible: on expose pour les hautes lumières, c'est à dire que la plupart du temps, il faut régler la cellule en légère sous-exposition (pour mon cas, c'est en général -2/3, mais je varie en fonction des circonstances). Si on cale son réglage sur le gris Kodak à 18%, à moins de pouvoir contrôler le contraste au moyen d'éclairages ou de réflecteurs, on a de fortes chances de "trouer les blancs". Mais les capteurs continuent de discerner des détails dans les ombres, là où les films ne suivent pas. Il y a certes du bruit, mais pas beaucoup plus que le grain des films à haute sensibilité. Et les progrès sont constants. Le numérique a beaucoup changé depuis le Nikon D1! Il reste encore un certain "liant" à reconstituer entre les valeurs les plus proches, mais Leica en particulier ne se débrouille pas si mal. Ce qui gêne peut-être, mais je me répète, c'est que les images d'un M numérique en n&b se rapprochent plus du 4x5 n&b que du 24x36 que l'on a l'habitude de voir. Et celà sans traitement complexe. Capture One reste pour le moment le "révélateur de RAW" le plus fin. Pas besoin d'aller chercher plus loin. Ensuite, on entre dans des considérations de style et de contenu, et là on peut faire des images fantastiques avec un Holga, un Lumix de base, un sténopé, un Hasselblad numérique dernière génération, un iPhone... |
ArnaudLe |
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Spécialiste Messages : 1067Depuis le 29 sep 2006 Balleroy (14) |
aileka a écrit : Plus généralement, les capteurs ont une latitude de pose plus élevée que la plupart des films et c'est peut-être ce qui rend mal à l'aise. On (n')a plus la compression de la courbe en S, qui pardonne bien des choses en argentique.J'avais l'impression (empirique) que ces deux phrases étaient contradictoires... mais la suite de ton message me laisserait penser que non, et qu'en fait le temps où il fallait "caler l'histogramme à droite" est révolu, puisqu'il y a maintenant plus de chances de cramer les blancs que d'avoir des noirs irrécupérablement bouchés. J'ai compris ? (Edit : je confonds ma gauche et ma droite.) Bon, ben c'est pas tout ça, mais j'ai un monde incrédule à convaincre, toussa patin couffin... |
Dernière édition par ArnaudLe le mardi 20 octobre 2009 - 13:44, édité 1 fois. | |
fred76 |
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Spécialiste Messages : 2603Depuis le 22 fév 2007 Normandie - Dieppe |
aileka a écrit : Justement, avec le numérique, on shoote trop, donc on a beaucoup plus de boulot en editing. C'est même parfois pénible! Je parle pour moi! Quant au processing, c'est peut-être personnel, mais je considère que c'est la même chose que le labo en argentique, donc pas mal de temps et pas de batch-processing, sauf dans certains cas plutôt professionnels (suite de photos prises dans des conditions identiques, avec des exigences de rendu de couleur précises, qui nécessitent alors une homogénéité dans la série). Je trouve le travail de "labo numérique" intéressant car il offre beaucoup plus de possibilités que le travail sous l'agrandisseur. Il va sans dire qu'il vaut mieux partir de format RAW! Plus généralement, les capteurs ont une latitude de pose plus élevée que la plupart des films et c'est peut-être ce qui rend mal à l'aise. On n'a plus la compression de la courbe en S, qui pardonne bien des choses en argentique. En ce qui concerne le calage de l'exposition, un capteur se comporte un peu comme un film inversible: on expose pour les hautes lumières, c'est à dire que la plupart du temps, il faut régler la cellule en légère sous-exposition (pour mon cas, c'est en général -2/3, mais je varie en fonction des circonstances). Si on cale son réglage sur le gris Kodak à 18%, à moins de pouvoir contrôler le contraste au moyen d'éclairages ou de réflecteurs, on a de fortes chances de "trouer les blancs". Mais les capteurs continuent de discerner des détails dans les ombres, là où les films ne suivent pas. Il y a certes du bruit, mais pas beaucoup plus que le grain des films à haute sensibilité. Et les progrès sont constants. Le numérique a beaucoup changé depuis le Nikon D1! Il reste encore un certain "liant" à reconstituer entre les valeurs les plus proches, mais Leica en particulier ne se débrouille pas si mal. Ce qui gêne peut-être, mais je me répète, c'est que les images d'un M numérique en n&b se rapprochent plus du 4x5 n&b que du 24x36 que l'on a l'habitude de voir. Et celà sans traitement complexe. Capture One reste pour le moment le "révélateur de RAW" le plus fin. Pas besoin d'aller chercher plus loin. Ensuite, on entre dans des considérations de style et de contenu, et là on peut faire des images fantastiques avec un Holga, un Lumix de base, un sténopé, un Hasselblad numérique dernière génération, un iPhone... je suis en phase complète avec ce texte de aileika. Le post traitement, à mon avis, ne dois pas être vécu comme une contrainte mais comme une suite logique de la prise de vue. un post traitement bien fait apporte une plus value extrêmement gratifiante aux photos |
Richard |
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Vieux briscard Messages : 10903Depuis le 27 mai 2003 bigoudénie en Pen ar Bed (29120) |
le post traitement est à l'image numérique ce qu'est le tirage à l'image argentique...
quant au calage de l'expo, je suis partisan du RAW et de caler en légère sur-ex... un article qui explique bien le pourquoi du comment... http://www.lemondedelaphoto.com/Exposer ... urs-a.html "c'est avec le coeur que l'on fait des photos" "la photo c'est le regard" Willy Ronis http://www.summilux.net/r_system/fondsRV.htm http://www.summilux.net/expos/voir.php?auteur=19&page=2 |
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