Leica M Monochrom, fil uniquement dédié à la technique.

yun
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J'aime beaucoup le graphisme de cette dernière image..
Je vais finir par croire que tout ceci n'est qu'un complot !
:diaph: :diaph: :diaph: :diaph: :diaph:
MOZ
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Paris 18 la butte !
Si tu commences à regarder le travail de Robert... tu es mort ! C'est à cause/grâce à lui que j'ai pris un MM :wink:
"Si tu dis couic-couic quand tu marches, les gens pensent que t’as des chaussures neuves." JCVD
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Jean
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Robert a écrit :
Ce qui compte, c'est ce qui reste sur le papier, tirage ou impression :smile:
(je sais, je suis gâteux)


Rien n'est plus vrai. :wink: La matérialisation sur un papier d'une image doit rester le but de l'acte photographique .
Pour paraphraser l'ancienne locution latine :"Verba volant scripta manent", les fichiers s'envolent et les tirages demeurent.
Je te rassure Robert, tu n'es pas gâteux, moi non plus d'ailleurs, tu es simplement lucide . :cool:
Jean
mic203
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Antony
Bonne année à tous

possesseur d'un M9P je me permets néanmoins d intervenir dans ce post fort intéressant que j ai parcouru du début à la fin la semaine dernière

J'ai eu M6 (3) m7 DMR m8 m8.2 avant ce M9 et je fais du N&B depuis longtemps

L'évolution naturelle (surtout à la lecture du post et surtout après avoir vu les photos postées dont certaines sont exceptionnelles et dont le rendu me laisse vraiment sans voix) est le MM mais j aimerais bien avoir le sentiment des membres de ce fil concernant le post traitement
et sur lequel je n ai pas vu beaucoup d insistance

En N&B il y a un paradoxe qui me pose question :

plus de la moitié des fonctions de silver efex pro 2 (que j utilise en complément de LR5) sont par principe inopérantes avec les fichiers du monochrom puisqu il n y a pas d information de couleurs

Or quelle meilleure façon de filtrer que de le faire "pixel par pixel" comme on peut le faire en jouant sur tous les filtres dispo (déjà dispos dans LR5 d'ailleurs)

Bien sur un filtrage comme au bon vieux temps a la prise de vue est utile et possible avec le MM mais un seul a la fois et pour l'ensemble du capteur....

J'ai bien compris les avantages majeurs du MM concernant la sensibilité accrue due a la suppression de l épaisseur du filtre de bayer
J'ai compris aussi que la matrice du MM avait 4 fois plus de pixels...
Et qu il est agréable en N&B de travailler avec des fichiers natifs N&B sans avoir à passer par un fichier couleur qu on n a même pas forcément envie de voir
J'ai compris aussi qu il était tout simplement beau avec son rendu satiné et mat en même temps, son gainage... je ne pensais pas qu'on pouvait faire plus beau que le M9P et maintenant je sais que oui car j'ai fait "l'erreur" ( pas forcément le bon mot) de le prendre en main la semaine dernière ...

Voilà je voulais avoir votre avis sur ce point
Robert
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@ Jean : merci de me rassurer :smile:
@ mic203 : le post-traitement est un bon sujet :grin:

Il n'y a pas d'arme fatale et, de plus, les habitudes évoluent avec l'expérience et les progrès des logiciels.
Il suffit de reprendre un fichier un peu ancien et de le retraiter avec une nouvelle version de logiciel pour mesurer le chemin parcouru...
(On peut toujours essayer de re-développer un négatif :rollrouge: )

"Vieil argentiste", je déteste l'image numérique maltraitée parce que mes neurones sont conditionnés. Question de génération !
Mon objectif final est d'obtenir une image sur papier qui soit dénuée, autant que possible, d'artefact de type numérique, ce qui ne veut pas dire que je cherche à reproduire une image de type argentique en y mettant du grain ou du bruit. Mon modèle idéal théorique serait plutôt celui de la chambre, disons 4x5, en sachant que le rapport surface/focale ne peut entrer en ligne de compte ici.
Le miracle du Monochrome est d'arriver à ce résultat avec un si petit boîtier :razz:
Je photographie comme en argentique, pas plus de 2 bobines par jour (soit un petit bout de carte mémoire) et je pose juste pour la lumière qui m'intéresse sans compter rattraper quoi que ce soit grâce à la latitude numérique, qui aide, pour être honnête, grâce à la dynamique du capteur qui n'est cependant pas la même que celle du film (j'entends déjà les grincheux qui rappellent, à juste titre, que les hautes lumières cramées sont vides en numérique).

Comme le dit justement MOZ, un des avantages du Monochrom est sa possibilité de pousser les zizos. Pour ma part, je monte facilement à 1250 Iso ou parfois à 2500. MAIS, comme toujours, film ou capteur de ce type, l'exposition doit être encore plus précise car les erreurs d'exposition seront difficiles à corriger (contraste, blanc sale devenant gris, etc). Enfin, en basse lumière, l'avantage des optiques lumineuses est de rester à une sensibilité nominale si nécessaire. A l'inverse, en haute lumière, la sensibilité nominale du Monochrom peut imposer un filtre gris neutre pour les allergiques au f11 :langue:


Enfin, le choix du Monochrom revient à opter pour un film noir et blanc et à se forcer à penser en noir et blanc, ce qui devient une lapalissade.

La première étape, après la prise de vue, est celle du fichier brut qui doit être traité. J'utilise actuellement Camera Raw (CR) dans PS CS5 qui prend très bien en charge les fichiers du Monochrome avec un rendu naturel tout en offrant une palette d'outils performants ou Capture One Pro (C1) dans d'autres cas si je ne suis pas satisfait de ce que j'obtiens dans CR, en faisant attention à régler l'accentuation par défaut qui est trop élevée. C1 est un merveilleux outil en couleur et pour la conversion d'un fichier couleur en noir et blanc, mais en ce moment je préfère CR pour le Monochrom...
Le fichier brut peut donc être "développé" et pré-traité en laissant le fichier brut intact (traitement non destructif) avec la possibilité de revenir en arrière à tout moment ou de créer des variantes ad libitum. On obtient ainsi un fichier "pré"-traité qui ne reste plus qu'à matérialiser en TIFF, voire en JPEG.

La deuxième étape est celle du post-traitement en dehors d'un réglage luminosité/contraste , souvent nécessaire. Deux solutions principales, les calques de Photoshop ou Silver Effex (SE).
Si le logiciel, comme CR dans la version que j'utilise, ne donne pas un fichier RVB, il suffit de changer le profil pour convertir le fichier TIFF en RVB, ce qui ouvre l'accès à SE au prix d'une augmentation du poids du fichier. Le recours systématique à SE n'est qu'un pis aller qui crée des images artificielles et stéréotypées avec des effets de bords, des doubles contours et des effets de seuils dans les zones de transition. Bien sûr, cela peut être un choix de style pour une série homogène ou le développement d'un style personnel.
Les U points sont parfois utiles pour une correction locale, comme au labo. Cela dit, SE permet parfois de gagner du temps avec certains modules (dynamique complète), mais attention aux artefacts, i.e. des variations non perceptibles sur le fichier brut.
Les experts de PS et des calques font des merveilles, mais cela demande du temps et un peu d'expérience. Je n'utilise les calques que lorsque je n'obtiens pas ce que je veux avec le "pré-traitement" du DNG.

La dernière étape est l'impression. Les écrans, si excellents soient-ils, ne remplacent pas une image mise en valeur sur le papier ad hoc (barytés divers, en versant une larme sur le défunt, par faillite, Ilford Galerie Gold Silk) utilisé avec le bon profil, voire au prix d'un peu de gâche car il faut savoir refaire, comme au labo... Rappelons que l'on apprend beaucoup en faisant soi-même, certaines imprimantes (Epson 3000) sont relativement accessibles, ou en travaillant avec un tireur (Picto ou autre), ce qui est un grand luxe mais incite au dialogue voire à la confrontation.
Ensuite, l'éclairage est aussi un paramètre. Certains tirages et certains papiers n'ont pas le même rendu en fonction de la lumière (jour, incandescence, halogène, LED), notamment les tirages en piézographie.

L'argentique, noir et blanc ou couleur, reste un medium extraordinaire, mais qui est tout aussi exigeant quel que soit le but poursuivi, cliché "trash" ou miniature léchée... Le numérique est difficile aussi, mais un atout intéressant est le trait d'union vers d'autres techniques, outre la variété infinie des papiers, comme le palladium/platine à partir d'un "négatif" numérique ou la piézographie sur papier mat, bien que d'aucuns se risquent à la piézo sur papier brillant :roll:

Le dernier Hors Série de Réponses Photo sur les séries contient quelques réflexions intéressantes sur ces différents sujets, dont l'editing :lol: , et un joli travail, argentique, de Ljubisa Dalinovic.
MarcF44
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Robert a écrit :
@ Jean : merci de me rassurer :smile:
@ mic203 : le post-traitement est un bon sujet :grin:

Il n'y a pas d'arme fatale et, de plus, les habitudes évoluent avec l'expérience et les progrès des logiciels.
Il suffit de reprendre un fichier un peu ancien et de le retraiter avec une nouvelle version de logiciel pour mesurer le chemin parcouru...
(On peut toujours essayer de re-développer un négatif :rollrouge: )

"Vieil argentiste", je déteste l'image numérique maltraitée parce que mes neurones sont conditionnés. Question de génération !
Mon objectif final est d'obtenir une image sur papier qui soit dénuée, autant que possible, d'artefact de type numérique, ce qui ne veut pas dire que je cherche à reproduire une image de type argentique en y mettant du grain ou du bruit. Mon modèle idéal théorique serait plutôt celui de la chambre, disons 4x5, en sachant que le rapport surface/focale ne peut entrer en ligne de compte ici.
Le miracle du Monochrome est d'arriver à ce résultat avec un si petit boîtier :razz:
Je photographie comme en argentique, pas plus de 2 bobines par jour (soit un petit bout de carte mémoire) et je pose juste pour la lumière qui m'intéresse sans compter rattraper quoi que ce soit grâce à la latitude numérique, qui aide, pour être honnête, grâce à la dynamique du capteur qui n'est cependant pas la même que celle du film (j'entends déjà les grincheux qui rappellent, à juste titre, que les hautes lumières cramées sont vides en numérique).

Comme le dit justement MOZ, un des avantages du Monochrom est sa possibilité de pousser les zizos. Pour ma part, je monte facilement à 1250 Iso ou parfois à 2500. MAIS, comme toujours, film ou capteur de ce type, l'exposition doit être encore plus précise car les erreurs d'exposition seront difficiles à corriger (contraste, blanc sale devenant gris, etc). Enfin, en basse lumière, l'avantage des optiques lumineuses est de rester à une sensibilité nominale si nécessaire. A l'inverse, en haute lumière, la sensibilité nominale du Monochrom peut imposer un filtre gris neutre pour les allergiques au f11 :langue:


Enfin, le choix du Monochrom revient à opter pour un film noir et blanc et à se forcer à penser en noir et blanc, ce qui devient une lapalissade.

La première étape, après la prise de vue, est celle du fichier brut qui doit être traité. J'utilise actuellement Camera Raw (CR) dans PS CS5 qui prend très bien en charge les fichiers du Monochrome avec un rendu naturel tout en offrant une palette d'outils performants ou Capture One Pro (C1) dans d'autres cas si je ne suis pas satisfait de ce que j'obtiens dans CR, en faisant attention à régler l'accentuation par défaut qui est trop élevée. C1 est un merveilleux outil en couleur et pour la conversion d'un fichier couleur en noir et blanc, mais en ce moment je préfère CR pour le Monochrom...
Le fichier brut peut donc être "développé" et pré-traité en laissant le fichier brut intact (traitement non destructif) avec la possibilité de revenir en arrière à tout moment ou de créer des variantes ad libitum. On obtient ainsi un fichier "pré"-traité qui ne reste plus qu'à matérialiser en TIFF, voire en JPEG.

La deuxième étape est celle du post-traitement en dehors d'un réglage luminosité/contraste , souvent nécessaire. Deux solutions principales, les calques de Photoshop ou Silver Effex (SE).
Si le logiciel, comme CR dans la version que j'utilise, ne donne pas un fichier RVB, il suffit de changer le profil pour convertir le fichier TIFF en RVB, ce qui ouvre l'accès à SE au prix d'une augmentation du poids du fichier. Le recours systématique à SE n'est qu'un pis aller qui crée des images artificielles et stéréotypées avec des effets de bords, des doubles contours et des effets de seuils dans les zones de transition. Bien sûr, cela peut être un choix de style pour une série homogène ou le développement d'un style personnel.
Les U points sont parfois utiles pour une correction locale, comme au labo. Cela dit, SE permet parfois de gagner du temps avec certains modules (dynamique complète), mais attention aux artefacts, i.e. des variations non perceptibles sur le fichier brut.
Les experts de PS et des calques font des merveilles, mais cela demande du temps et un peu d'expérience. Je n'utilise les calques que lorsque je n'obtiens pas ce que je veux avec le "pré-traitement" du DNG.

La dernière étape est l'impression. Les écrans, si excellents soient-ils, ne remplacent pas une image mise en valeur sur le papier ad hoc (barytés divers, en versant une larme sur le défunt, par faillite, Ilford Galerie Gold Silk) utilisé avec le bon profil, voire au prix d'un peu de gâche car il faut savoir refaire, comme au labo... Rappelons que l'on apprend beaucoup en faisant soi-même, certaines imprimantes (Epson 3000) sont relativement accessibles, ou en travaillant avec un tireur (Picto ou autre), ce qui est un grand luxe mais incite au dialogue voire à la confrontation.
Ensuite, l'éclairage est aussi un paramètre. Certains tirages et certains papiers n'ont pas le même rendu en fonction de la lumière (jour, incandescence, halogène, LED), notamment les tirages en piézographie.

L'argentique, noir et blanc ou couleur, reste un medium extraordinaire, mais qui est tout aussi exigeant quel que soit le but poursuivi, cliché "trash" ou miniature léchée... Le numérique est difficile aussi, mais un atout intéressant est le trait d'union vers d'autres techniques, outre la variété infinie des papiers, comme le palladium/platine à partir d'un "négatif" numérique ou la piézographie sur papier mat, bien que d'aucuns se risquent à la piézo sur papier brillant :roll:

Le dernier Hors Série de Réponses Photo sur les séries contient quelques réflexions intéressantes sur ces différents sujets, dont l'editing :lol: , et un joli travail, argentique, de Ljubisa Dalinovic.

Attention à ce que tu écris Robert tout de même :

-Si on pose juste pour la lumière qui nous intéresse "sans vouloir rattraper quoi que ce soit après coup" cela revient à se priver de l'équivalent du masquage sous agrandisseur et cela revient à faire de la diapo si on veut comparer à de l'argentique, c'est limitatif, c'est un choix mais ce n'est en aucun cas lié au numérique
-Tu écris que Silver Efex ajoute un certain nombre d'artefacts, c'est inexact, il ajoute ce qu'on lui demande et tu peux faire de même avec Photoshop qui permet également d'obtenir des effets de contours ou des artefacts de traitement outrageux. Tout est une question de choix de réglages et de lourdeur sur le curseur comme dans tous les logiciels mais Silver Efex n'ajoute en aucun cas de "surcontours" systématiques

Sinon je te rejoins dans tout le potentiel énorme de ce boitier (en ajoutant les autres modèles couleurs de la gamme M numérique actuelle) mais étant historiquement très attaché à la projection de diapositive je tiens à rappeler qu'un bon écran est aussi une manière passionnante d'explorer la photographie et qu'il me paraît illusoire d'établir une échelle de valeur entre l'image sur papier (lumière réfléchie) et l'image sur écran (lumière projetée).

:grin:
Le matériel j'en ai plein le dos ! Plus c'est léger mieux c'est.
Robert
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Nous sommes plutôt d'accord.

Il me semble cependant que poser juste est une bonne discipline, ce qui n'empêche ni masquage ni renforcement ou autre.

Toutes les techniques ont leurs artefact et Silver Effex facilite leur apparition :smile: Ces quelques lignes n'avaient pas pour but de jeter un anathème, mais d'attirer l'attention sur ce point auprès de photographes moins expérimentés que toi.

L'écran, de projection ou d'ordinateur, est un excellent support, mais je préfère le papier au final.
J'ai, comme toi, adoré la dia, mais le massacre par les labos, y compris pro, m'en a détourné.
Je n'ai pas le temps ni les moyens techniques de développer, même si un belle dia 24x36 ou 6x6 reste superbe...
MarcF44
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Robert a écrit :
...mais je préfère le papier au final...

Les goûts et les couleurs ça ne se discute pas...surtout en monochrome :grin:
Le matériel j'en ai plein le dos ! Plus c'est léger mieux c'est.
MOZ
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Paris 18 la butte !
Robert fait partie de ces tireurs qui savent faire parler la poudre si je puis me permettre :wink:
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laurent-ma
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Saint Louis Alsace
Robert a écrit :

Toutes les techniques ont leurs artefact et Silver Effex facilite leur apparition .


+1
J'aime pas les photos
Papa
yun
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laurent-ma a écrit :
Robert a écrit :

Toutes les techniques ont leurs artefact et Silver Effex facilite leur apparition .


+1


+1 aussi. Il faut vraiment l'utiliser avec parcimonie ce silver
:diaph: :diaph: :diaph: :diaph: :diaph:
MarcF44
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yun a écrit :
laurent-ma a écrit :
Robert a écrit :

Toutes les techniques ont leurs artefact et Silver Effex facilite leur apparition .


+1


+1 aussi. Il faut vraiment l'utiliser avec parcimonie ce silver

Parcequ'avec Photoshop on ne doit pas se fixer de limite ? :lol: :lol: :lol:
Le matériel j'en ai plein le dos ! Plus c'est léger mieux c'est.
laurent-ma
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Saint Louis Alsace
Perso je ne connais ( maitrise ) pas du tout photoshop ! C' est sans doute snob de dire cela, mais j' ai pas envie de connaitre ce logiciel que j' attribue plus à de la création d' image numérique qu' a du développement de photo.
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Papa
MarcF44
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laurent-ma a écrit :
Perso je ne connais ( maitrise ) pas du tout photoshop !

Alors, dans ce cas, oui il est raisonnable de dire qu'il faut utiliser avec parcimonie un logiciel qu'on ne connais (maitrise) pas du tout, il en va de même d'un appareil photo d'ailleurs :grin:
Le matériel j'en ai plein le dos ! Plus c'est léger mieux c'est.
Robert
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Vieux débat. Chacun fait ce qui lui plaît, entre photos et "oeuvre numérique", avec PS ou sans PS ou GIMP ou Z ou Y...
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