a.noctilux |
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Vieux briscard Messages : 10497Depuis le 9 mars 2007 Montpellier |
J'avoue que je ne sais plus comment j'ai découvert le M.
Est-ce quand j'avais 13 ans (par les publications!) à la sortie du M4 Est-ce quand on m'avait prêté un M3 beaucoup plus tard Est-ce quand j'ai enfin un M4 d'occasion à moi (sans objectif), encore beaucoup plus tard Est-ce quand j'ai enfin mon premier Summicron 50 ( tout râpé déjà à l'époque, au moins 6 mois après le M4 orphelin) ... Par contre, je sais comment j'ai découvert un Nikon F très récemment et enfin compris pourquoi un F c'est autre chose qu'un M. F= sophistication dans la simplicité et ces ajouts d'accessoires pensés dès sa conception: viseur, verre de visée, cellule, moteur, etc. M= simplicité dans la sophistication (allez comprendre !), on commence simple et on crée au fur et à mesure des besoins des fonctions supplémentaires, un nouveau boîtier (M2 pour accepter les 35mm, M5 pour ajout de la cellule, M8 pour un capteur numérique, là j'exagère évidemment!) ... En tout cas, pour moi ils sont complémentaires et non exclusifs. Arnaud |
romainmassola |
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Régulier Messages : 256Depuis le 11 mars 2010 Lyon |
Depuis que j'ai commencé à m'intéresser à la photo (vers 13/14 ans je pense) j'ai toujours connu Leica. Mais sans envie particulière.
Courant 2001, alors en école de photo (privée, que je déconseille et dont je ne donnerais pas le nom) j'ai eu l'occasion d'assister Eric Gillet, prof de studio de l'école, sur une prise de vue pour la Croix Rouge. Les photos ont été faite au Blad mais il avait avec lui son M6 avec lequel il a doublé certaines prises de vues. J'ai pu manipuler le boitier à ce moment la et c'est immédiatement devenu l'objet de toutes mes envies. 11 plus tard, sur Summilux j'ai enfin acquis MON Leica, un M6. |
MIMI 25 |
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Spécialiste Messages : 2794Depuis le 23 août 2011 DOUBS |
Cela fait du bien d'assouvir un rêve
A+ |
romainmassola |
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Régulier Messages : 256Depuis le 11 mars 2010 Lyon |
Oh que oui ! |
vivieneye |
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Messages : 48 Depuis le 19 avr 2011 Paris |
A mon tour de vous raconter comment je suis arrivé au monde du Leica M.
J'ai commencé la photo il y a 11 ans (j'en avais 12) quand mon père m'a mis dans les mains son vieux Praktica et m'a appris à m'en servir (pas évident à cet âge de comprendre toutes les nuances, l'usage du diaphragme, et autres...). Quelques années plus tard, je me vois offrir un compact numérique lors d'un noël. Je me demande bien ce que je vais pouvoir faire de ce presse-bouton tout automatique, mais j'apprécie sa très grande compacité, et j'en fais un bon camarade de jeu. Mais au bout de 6 mois, je reprends le reflex, juste pour le plaisir de "fabriquer ma photo" (c'est à dire faire tous mes réglages en manuel). Je revends donc ce compact et achète à la place un bridge qui me permet l'usage du mode M que j'apprécie tant. J'abandonne ici l'usage de l'argentique pour quelques années. En entrant dans les études supérieures, je m'inscrit dans un club photo et passe très rapidement au réflex numérique (ça faisait quelques mois que l'idée me trottait dans la tête, mais je n'osais faire le pas) avec un Sony A100 et double kit. Je retrouve ici mes vieux amours ! Chemin faisant, j'améliore ma technique, mon niveau d'exigence augmente, je change d'objectifs, puis d'appareil pour revenir au 24x36 avec l'A850, accompagné depuis par quelques très belles optiques, Allemandes elles aussi, mais Zeiss et non Leica. Entre temps, je retente l'aventure argentique en réflex, mais je ne suis pas vraiment convaincu, ne trouvant pas vraiment de différence au niveau des sensations, mais je découvre le développement noir et blanc et je trouve ça fort sympathique. Puis arrive enfin notre ami Leica (enfin diront certains à raison) ! A ce moment président du club photo cité précédemment, j'ai le plaisir d'accueillir en son sein un Leica CL offert gentiment par un Monsieur à la retraite ne se servant plus de ses anciens "jouets". J'avais entendu parler quelques temps auparavant du Leica M (je ne savais pas alors qu'il en existait plusieurs...) et avais trouvé ça hors de prix et ne comprenais pas le pourquoi du comment en cette ère numérique, mais j'avais tout de même été fort intrigué. Je me mets donc à essayer ce Leica et en tombe très vite amoureux ! Malheureusement, d'autres priorités et un porte feuille trop vide me font arrêter là mes rêves, et je me convainc que tout ceci n'est pas raisonnable. Malgré tout, le télémétrique m'ayant bien plu, je trouve un petit compact Olympus XA et m'habitue à ce nouveau mode de visée et de mise au point. Puis entre en scène un ami (qui sévit ici sous le pseudo de Bsimon) qui vient d'acquérir un M4P et me fait bien envie ! Après quelques longs mois de résistance, je craque enfin pour un M3 accompagné d'un summitar, d'un leicameter, ainsi que d'un IIIf qui s’avérera inutilisable et irréparable, juste bon à faire le beau sur une étagère. J'utilise donc ce couple avec de plus en plus de plaisir, malgré son 1/1000 qui zone et les vitesses en dessous du 1/15 qui collent, avant de craquer et d'offrir à ce très bel outil une cure de jouvence. Je me retrouve donc avec un M3 remis à neuf, auquel j'offre un Summicron 50 MAPR, le Summitar étant trop sujet au flare pour moi qui aime tant le contre jour. Voilà comment j'utilise tous les jours avec plus de plaisir ce couple fabuleux que forment le M3 + 50 cron. Un petit Voitg 25/4 est en transit pour compléter la famille et former en ensemble léger et qualitatif en complément de mon lourd mais tout aussi agréable matériel numérique. |
lenicolas |
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Spécialiste Messages : 1887Depuis le 3 déc 2010 Oslo, Norvège. |
Comment j'ai eu mon premier M, je l'ai déja raconté dans un autre fil... (je suis d'ailleurs surpris que la moderation n'ai pas fusionné!)
Donc ici je vais raconter comment j'ai decouvert le M... Tres tot j'ai su que Leica existait, même si personne à mon club photo (au debut des années 2000) n'en avait... Je ne connaissais pas les modeles, ni la difference entre un M et un R, mais quand je passais devant Arta photo avec des copains on se moquait des prix du materiel Leica et des medecins monégasques qui l'achetaient. Vers 2006, le frere d'un copain, guide de haute montagne et photographe amateur revend tout ses nikons numériques et argentiques, et s'achette deux m6 (.72 et .58) et un Blad. "ça y est, ton frere arrette la photo, il devient collectionneur" je lance à mon pote Flash forward jusqu'en 2008, je suis etudiant au LEP brassaï, à quelques mois d'obtenir mon bac pro en photographie. Le prof de prise de vue nous ramene son M6 en classe. La maniere dont il le manipule, la peur dans son regard quand il le tend à une élève... Je trouve la scene gentiment ridicule, et je me dis que le Leica est decidement un appareil bizare. A ce moment là, je shoote principalement au Mamiya 7 et je rève de 4x5. Mes héros sont Alec Stoh ou Stephen Shore, et je ne comprend pas qu'on puisse s'interresser autant à un appareil 24x36. Enfin, en 2010, je suis etudiant aux Gobelins, et je commence à en avoir marre de produire en moyen et grand format. Sans doutes sous l'influence de toutes les etudiantes en photo qui font des autoportraits de leurs pieds pendant leurs vacancess en stop à Berlin, je me dis que j'aimerais faire des photos qui ressemblent plus à ma génération, qui me racontent plus... Pour etre plus spontané, je me dis qu'il faut laisser tomber le trepied, passer au noir et blanc et au petit format. Mon pote Dylan uttilise un M6ttl, et j'adore ce qu'il fait. Surtout, sa production ne ressemble pas à du Leica, il uttilise de la tri-x à 1600iso, un flash... c'est sale et sauvage, authentique. Je comprend alors qu'on peut uttiliser un telemetrique simplement parceque c'est petit, discret et fiable, sans adherer à des valeurs ou à un marketing, sans s'inscrire dans une tradition ronflante, sans en faire un signe ou un totem... Donc apres plusieurs changements de boitier (m6 puis R3A puis FE2) je trouve enfin mon compagnon : un M6TTl .85 et un cron 50 v4 C'est un choix qui a mis longtemps à maturer, et qui est lié à des micros ajustements pour bien coller à ma pratique (le 1er M6 ne m'avait pas convaincu, le 40mm du R3A etait trop mauvais, le FE2 parfait mais trop bruyant...). Je n'ai jamais révé dun Leica, Il s'est imposé à moi. D'ailleurs, j'ai toujours un peu de mal à assumer les valeurs que les gens projetent sur ce boitier. je l'ai recouvert de gaffer pour bien cacher les logos. Je ne l'emene pas aux vernissages, quand je descend en Arles debut Juillet, il reste à la maison. Je frequente ce forum depuis un peu plus d'un an, et je me rend compte que je n'aime toujours pas les Leicaistes En tant que personnes, je les trouve sympatiques, mais je ne comprend toujours pas tout ce qu'ils projetent sur leur appareil photo Mais c'est pas grave, on peut quand meme cohabiter, partager des images et des techniques ; je suis un mec tres tolerant. Lumiere et teinte. http://www.nicolaslevy.no |
aileka |
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Spécialiste Messages : 2127Depuis le 22 juil 2008 Paris, France |
Le M, je l'ai découvert lorsque mon père a vendu son IIIg pour s'acheter un M3. J'avais dans les 12 ans et déjà un vieux boîtier IIIa, pas très reluisant, acheté très peu cher avec mon argent de poche. Je vissais dessus les objectifs de mon père, avant de m'acheter un vieil Elmar 50.
J'avais beaucoup joué avec le IIIg, que j'aimais beaucoup, mais je ne savais pas prendre des photos. C'était de l'ordre du jouet mécanique de précision. Le M3, bien sûr, c'était un passage au moderne! Je me souviens que mon père avait même acheté un second boîtier, un M1 sans télémètre, pour sa nouvelle folie, la Visoflex! J'ai finalement pu avoir un M2 avant un voyage aux U.S. en 1965. C'était un cadeau, il était d'occasion. Je lui ai adjoint une Lunasix pour ce voyage. Et me voilà parti. J'avais emprunté l'Elmar 135 de mon père, et son Summaron 35. Mais durant ce voyage, j'ai découvert le reflex, le Pentax d'un ami, et pour moi, l'appareil de rêve, ce n'était pas le Leica, c'était le Nikon F noir! Le reflex avait alors pris le pas technologique sur le M télémétrique, qui paraissait démodé. J'ai accédé à mon rêve bien plus tard, en 1971, un Nikon F Photomic ftn noir avec un 24mm, ramené du Japon par un ami de mon père! Le M2 est longtemps resté dans un coin, mais je n'avais pas voulu m'en défaire. J'avais acquis en Allemagne un 35 Summicron que j'ai gardé jusqu'à l'arrivée du Lux 35 asph. J'ai troqué le M2 contre un M6 en 1986, et là, j'ai retrouvé l'avantage du Leica, la discrétion, le poids. Quel soulagement comparé à ma valise de 3 Nikon et ses 12 objectifs (entretemps, la photo était devenu mon métier), sans parler des divers MF et des Sinar, des pieds et des générateurs de flash, qui avaient perdu tout leur charme, étant devenus les compagnons quotidiens de mes travaux pas toujours aussi passionnants que je les avais imaginés. Le M est donc revenu et j'ai alors pu apprécier la qualité des optiques Leica, comparée à celle des autres marques. C'est le passage au numérique, en 2000, avec un Nikon D1, qui m'a vraiment fait encore plus apprécier ce M6 et ses objectifs légers et fabuleux. Le numérique était alors exigeant en matériel annexe, et les images étaient médiocres. Le poids du D1, des gros zooms, de l'ordinateur, etc, m'ont fait délaisser totalement les Nikon pour le M lors de mes voyages. Depuis, le M est l'appareil qui m'accompagne partout, les DSLRs étant des machines de travail que j'apprécie, mais dont je n'aime pas trop me charger. Le M8, puis le M9 ont été des révélations sur la qualité des images numériques. J'ai du mal à me servir des autres, sachant que je n'aurai pas les fichiers subtils du M9. Voilà. Pour conclure, je ne suis pas un obsédé du boîtier M. Je suis tellement habitué à ses caractéristiques que je l'oublie. En revanche, je suis toujours étonné par les optiques de la marque. |
Jean-Claude ROMAND |
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Régulier Messages : 215Depuis le 6 déc 2007 Blois |
Pratiquant les reflex depuis 1958 Minolta, Canon et en 2001 Nikon Dquelquechose! on déclenche à tour de bras et hop il y a un nouveau D autrechose...... bref on s'ennuie et des tonnes de photos vont sur des cd que personne ne verra jamais.
Puis, par hasard, je vois sur un site de vente un Leica M6: un appareil qui ressemble à des Foca dont j'avais rêvé tout gosse! Alors je l'ai acheté! Plus pour le bel objet, un peu par nostalgie du beau matériel en vrai métal. Puis j'ai essayé de faire des photos!!!Il a fallu s'obstiner pour le télémètre! Mais le virus prenait possession de l'individu. Maintenant, en plus du M6, j'ai un M8, un IIIf et ça s'aggrave de jour en jour! Mon entourage ne parle plus de guérison ni même d'accalmie...je m'en fout! je ne souffre pas!!!!!!!!!!!! jclrphot |
pmil67 |
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Régulier Messages : 243Depuis le 25 juil 2005 Alsace |
La recherche etait simple, le resultat beaucoup moins.
Photo de rue traitee en argentique... Au depart je pensais à un boitier discret, fiable, mon Fm est un peu bruyant, le f3 , un peu, à peine moins, alors un M, j'ai mon M2 mais j,suis un peu distrait alors trop de dechet...avec cellule,un 6 ou un 7... Et puis viennent au hasard de mes lectures , hexar af, zeiss ikon, hexar rf...aucun n'est mauvais... Mon prefere, Le konica Af...mais il en faut deux ou plus pour etre tranquille, puisqu'on ne peut les reparer. Au prix affiché pour les hexar autant un m6...Au moins en cas de pepin on peut le reconstruire... L'ikon zeiss... Grande inconnue. Dommage. Bref on revient au M... Ne demandons pas pourquoi il a du succes.... Il existe depuis si longtemps...c'est un peu comme ces voitures flat six...on aime ou pas mais difficile de faire plus perenne... L'image Leica? Pff, ce n'est pas en achetant les meme crayons que l'on va dessiner comme HCB.... non je veux un outil fait et pensé par et pour des gens qui font des Photos... ni plus ni moins. |
Eric5132 |
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Messages : 45 Depuis le 22 déc 2011 Gers |
En ce qui me concerne, je fais de la photo, en amateur, depuis plus de quarante ans. Je me suis fait plaisir avec pas mal d'appareils de différentes marques, tous reflex acquit en occasion. J'adorait également développer et réaliser mes propres tirages en N&B.
J'ai découvert le M au milieu des années 80. J'ai cassé ma tirelire pour acheter neuf un M4-P, un Summicron 35mm. Plus tard j'ai acquit un 50mm rentrant. J'ai beaucoup aimé cet appareil qui ne me quittait pas. En 88-89 je me suis retrouvé à faire de la photographie sportive (course de voitures). Le M ne répondant pas vraiment à la situation, j'ai "abandonné" mon Nikon ainsi que le M4-P et tous le reste de mon matériel dans la vitrine du 2ème déclic de la FNAC pour acheter un Minolta Dynax 7000i équipé d'un 35-80 et d'un 100-300. Par la suite, j'ai regretté m'être séparé de mon M4-P ! Il y-a maintenant plusieurs mois que je suis inscrit sur summilux et c'est vous qui m'avez fait craquer !!! C'est comme ça que lorsque l'occasion c'est présenté j'ai fait l'acquisition d'un M3 dont je rêvais depuis bien longtemps. Celui la, je le garde !! Merci à vous fondateurs, modérateurs et membres de ce site captivant et passionnant. |
LACORDAIRE |
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Habitué Messages : 584Depuis le 6 août 2008 Paris |
Totalement aveugle, et continuant malgré ça à faire des photos, je n'avais bien sûr pas vu ce fil. C'est mon chien qui, en aboyant, a attiré mon attention.
Comment j'ai entendu parler du Leica? Ça ne remonte pas à hier! Notre voisin bricolait des appareils photos. Un jour il me dit: "Tiens p'tit viens dans ma cave voir ce que j'ai inventé". Mes parents m'avaient averti depuis longtemps qu'il ne fallait pas que j'écoute les propositions des étrangers. Or il était allemand. Pourtant, dans ce cas-là, il n'y avait rien à craindre! Il s'appelait Oskar Barnack. Mais je vous ennuie avec mes histoires… |
remyphotographe |
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Régulier Messages : 176Depuis le 16 fév 2009 ILE DE FRANCE |
J'ai commencé le télémétrique avec un Canonet, Hexar AF, Leica IIIC puis de fil en aiguille M6... Passionné de photo - www.studio-plus.fr |
olivierT |
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Spécialiste Messages : 1473Depuis le 20 fév 2010 |
bah, avec un M4-P et un summicron 35 en 1982. ensuite un M2 qui s'est rajouté avec un summicron de 50, un summicron de 90, un visoflex avec un 12,5cm... de très belles années de bonheur. en 2010, le M9... mais ça c'est une autre histoire ! |
nikleitz45 |
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Habitué Messages : 423Depuis le 12 mai 2012 orléans |
Por moi ce fut un m3. J'ai appris la,photo vers 14/15 ans avec un bon vieux semflex tout pourri! Une photo réussie par film quand ça se passait mal et toutes les autres entassées sur 10 cm de rouleau 120 !
Puis ce fut le Rolleiflex un rêve ! Et puis un jour au milieu des années 90 un petit magasin photo dans une rue piétonne de Bourges, en vitrine Canon Nikon Minolta et au milieu de tout ça un vieux M3 double armement avec son étui et son Elmar 2,8. J entre, je discute un peu avec le,vendeur et je ressort avec plus un 4/90 et même les factures d'achat d'époque ! Le tout pour...4000 francs ! Depuis il y a toujours eu u. M dans ma,sacoche. |
remi56 |
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Habitué Messages : 639Depuis le 18 jan 2009 Drome, Buis-les-Baronnies |
J'ai lu les 9 pages de témoignages avec délectation, qui me rappellent tant de lointain souvenirs.
En ce qui me concerne j'ai pris mes premières photos à la fin des années soixante et j'étais déjà fou de photo. En 84 j'ai acheté mon premier M, un M4-P, à crédit, chez Suffren, déjà compréhensif et accueillant. Depuis, je les tous eu entre les mains: M2, M3, M4-P, M5, M6 M7, M8 et M9. J'ai revendu les trois derniers et mon M5 donne des signes de faiblesse depuis cet été (un beau 50ième anniversaire en état cosmétique parfait), mais je le confierai bientôt à Gérard pour une petit remise en forme. J'utilise occasionnellement un IIIf et un IIIg pour leur discrétion (même si le M5 est plus doux et plus silencieux) et leur compacité. J'ai aussi un R-E que j'aime bien avec quelques bons cailloux (Summicron 35, 60 micro, 90, 1135, 180 apo). S'ajoutera peut-ètre un "M"l'année prochaine, si les retours sont bons. Depuis 84, je ne suis jamais sorti de chez moi sans un M dans ma besace. mutatis mutandis
http://store.blurb.fr/ebooks/p35b7c0f263871911095e |
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