Chimies : poudre ou liquide ?

clicclac
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Vieux briscard
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Léopold a écrit :
Quel outil faut-il utiliser pour le couper ?


:shock:

Ben, un AK 47, pourquoi :?: :?: :?:
Nikoviet en revend à bon prix, vipère lubrique...
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clicclac
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:content:
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Jean D.
    Les chiens aboient et la caravane passe...
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Bonjour ! Mieux vaut ne pas épiloguer après ce tir nourri, curieux rabâchage de préjugés et d’inexactitudes concernant la Rondinax de la part de personnes qui n’ont probablement jamais dû utiliser cette cuve, voire même simplement en examiner une ou encore réfléchir objectivement à son principe... :roll:
Je me contenterai d’apporter quelques réponses à Rive Gauche :
citation :
(…) des rayures profondes sur une grande partie des photos. Liées à la cuve, je pense. (…)
:non: Non !
citation :
(…) Malgré le nettoyage de la Rondinax à l'alcool à 90° (pour les parties que touche le film lorsqu'il se dévide), toujours quelques vues rayées. (…)
Il était inutile d’utiliser de l'alcool à 90° ; ces rayures ont une autre origine.
citation :
(…) la solution aux deux rayures qui courent sur les cinq-six dernières vues : le chargeur de la Rondinax (la pièce mobile, entre la cartouche et la spire) appuie sur les dernières vues enroulées et les raie. Solution probable que je tente demain : soulever le compteur de vue pour soulever ladite pièce avec, et l'empêcher de toucher le film après le chargement. (…)
Ce que tu nommes le « chargeur » correspond au "guide". Cette petite pièce frôle en effet tangentiellement le dernier tour de spire, en deux points opposés de part et d’autre, mais en raison de son polissage (absence d’aspérités) et de sa légèreté il est impossible que le guide endommage ce dernier tour. Depuis largement plus d’un demi-siècle, cela aurait été remarqué…
:idea: Pour t’en persuader je te conseille de bien localiser les rayures que tu as constatées : symétriques ? constantes ou restreintes à une partie du film ? côté gélatine ou côté support ?
citation :
(…) soulevage de la pièce qui posait problème via le compteur de vue : plus de rayures. La Rondinax, j'aime bien. (…)
Soulever le "doigt" du compteur élève en effet le guide (Miguel procède ainsi par acquit de conscience) mais je t’assure que c’est inutile.
« Plus de rayures » ? Il s’agit d’une coïncidence ; ces rayures avaient une autre origine qui demeure à élucider...
Tu aimes encore la Rondinax ? Tu as du mérite, après cette curée qui m’a bien amusé ! :wink:

Jean D.
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jackf
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Rive Gauche a écrit :

:iobj: Nokton 50 1.1 à pleine ouverture :ifilm: Tri-X 400 & P-B 1:1

Bonjour,
ça a pas l'air mal du tout, je suis intéressé par les temps de développement au Picon-bière 1+1 à bain perdu.
La Rondinax peut elle servir de bacs à glaçons ?

Merci !
Rive Gauche
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jackf a écrit :
Bonjour,
ça a pas l'air mal du tout, je suis intéressé par les temps de développement au Picon-bière 1+1 à bain perdu.
La Rondinax peut elle servir de bacs à glaçons ?

Merci !

'lut,

je préfère 1:3, soit le dosage à la bretonne, 1/3 de Picon pour de 2/3 de bière. Ne pas avaler le tout en 8 minutes comme le préconise le fabriquant...
À défaut de servir de bac à glaçons, la Rondinax a eu son petit succès au comptoire du rade, tout comme le Rolleiflex avant elle. :wink:
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danyves
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Pour le noir, tissus noir épais sur fenêtre salle de bain, ou carton fort noir.

Boudin tissus noir bas de porte.

Plateau amovible sur baignoire pour plateau de travail.

Pour la poussière, il faut trouver une solution salle de bain, séchage de nuit.

http://www.elezia.com/catalogo.php?id_c ... at=3&id=73
Rive Gauche
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Bon, le mystère des rayures parallèles et régulières qui couraient sur les six dernières vues de mes films rondinaxés est résolu.
Pour mémoire :



Jean D. a écrit :
mézigue a écrit :
(…) des rayures profondes sur une grande partie des photos. Liées à la cuve, je pense. (…)
:non: Non !

Hélas, trois fois hélas...

Jean D. a écrit :
Ce que tu nommes le « chargeur » correspond au "guide". Cette petite pièce frôle en effet tangentiellement le dernier tour de spire, en deux points opposés de part et d’autre, mais en raison de son polissage (absence d’aspérités) et de sa légèreté il est impossible que le guide endommage ce dernier tour. Depuis largement plus d’un demi-siècle, cela aurait été remarqué…

J'ai sacrifié une pellicule, enroulée dans la spire sans le couvercle.
Deux problèmes : le guide ne frôle pas le film, il le touche, et il y a des aspérités.
Usure mécanique de la pièce ?
Après plusieurs tours, le film est bel est bien rayé.
Les rayures parallèles, qui couraient sur les six dernières vues de chaque pellicule développée par mes soins, ont disparu en soulevant ledit guide lors du développement.





Donc, comme disait Paga, une main pour mouliner, une main pour bloquer le guide, une main pour tenir ma bouffarde.

Jean D. a écrit :
Soulever le "doigt" du compteur élève en effet le guide (Miguel procède ainsi par acquit de conscience) mais je t’assure que c’est inutile.

Miguel a bien raison, en plus que d'avoir de belles chaussures.

Je commence à croire que je suis poissard en ce qui concerne le matériel...

Édition : et maintenant le forum qui déco*** et mes images qui ne s'affichent pas malgré les balises... À se taper la tête dans un mur...
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zznortz a écrit :
ton probléme semble le séchage de tes films.
Solution trés pratique:
Tu te met dans ta salle de bain ou tes WC ,
Tu traite ton film avec cahttp://macodirect.de/rapidry-ecobr500ml-p-2015.html , au bout de 5mn il est sec , tanné et antistatic et tu n'a pas bloqué la salle de bain ou les WC pendant plus longtemps qu'une douche ou la lecture d'un des sine hebdo maintenant "collectors".

Un summiluxien de bon conseil m'avait suggéré, au détour d'une rencontre improbable, de me trouver une jolie belette dotée d'un terrier, histoire d'avoir à la fois et un modèle et une salle de bain pour développer.
Il m'avait ensuite parlé d'un grand photographe américain dont le nom m'échappe, qui, lorsqu'il était à Paris, développait ses films dans sa chambre d'hôtel, à l'essence. :D

Bref, quel est ce produit ?
Y a-t-il une incidence sur la conservation des négatifs à long terme ?

Je lis cela sur la notice : Hang up the film at a dry, dust free place ; bref, on en revient à mon problème de pouscailles...
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Je redonne ma solution pour tendre un fil d'acier dans la salle de bain, 17,90 euros

http://www.elezia.com/catalogo.php?id_c ... at=3&id=73

Pour les rayures, Paterson et manchon de chargement.
Pythéas
    Drysonal
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Tetenal fabriquait un tel produit. Nom de fabrique : le Drysonal. On essore l'excédent d'eau du film ou du papier RC et on les plonge dans le Drysonal. Tetenal conseille le traitement en deux bains : on trempe tout d'abord les films et papiers RC pendant 20 à 30 secondes dans une solution de Drysonal dilué à 1+1 avec de l'eau déminéralisée avant de les plonger 30 à 90 secondes dans un bain de Drysonal pur. L'agitation doit être constante dans les deux bains. Ensuite, on suspend. Le Drysonal résiduel doit être essoré efficacement et le plus rapidement possible avec une peau de chamois propre et humectée de Drysonal, côté émulsion d'abord, puis côté support. Le séchage dure de 3 à 5 mn. Si des tâches apparaissent : les enlever avec une peau de chamois.
Tetenal conseille de contrôler la non-nocivité des cuves par rapport au Drysonal.
Voila : j'ai résumé les informations techniques données par Tetenal dans une brochure de 1996.
Rive Gauche
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Petit Montrouge
danyves a écrit :
Je redonne ma solution pour tendre un fil d'acier dans la salle de bain, 17,90 euros [...] Pour les rayures, Paterson et manchon de chargement.

Merci bien...
La salle de bain familiale vient d'être refaite à neuf, et je ne peux toucher à quoi que ce soit sans déclencher un incident diplomatique. Une baignoire sans rideau ni tringle, deux portes et des appels d'air et de poussières. Une baie vitrée donnant sur un couloir, des volets qui laissent passer la lumière... Et les membres de ma famille qui ne dorment pas cinq heures par nuit sont insomniaques.

Donc pour calfeutrer le tout et/ou bosser la nuit, c'est mort de chez mort... :evil:

paga a écrit :
Garry Winogrand?

M'en rappelle vraiment plus.
Winogrand, je viens de découvrir, put*** qu'est-ce que c'est bon. :D
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Jean D.
    Une anomalie affecte le guide, tout simplement !
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Bonjour !
Jackf a écrit :
(…) La Rondinax peut elle servir de bacs à glaçons ? (…)
:content: Oui, d’autant que cette cuve possède un thermomètre incorporé !

Rive Gauche a écrit :
Bon, le mystère des rayures parallèles et régulières qui couraient sur les six dernières vues de mes films rondinaxés est résolu. (…)
Deux problèmes : le guide ne frôle pas le film, il le touche, et il y a des aspérités.
Usure mécanique de la pièce ? (…)
:applaudir: Tu as enfin trouvé l’explication : « il y a des aspérités » !
Une anomalie affecte tout simplement le guide, peut-être récuré au papier de verre par un précédent propriétaire…
Le petit doigt en l’air, il a écrit :
(…) Les rayures parallèles, qui couraient sur les six dernières vues de chaque pellicule développée par mes soins, ont disparu en soulevant ledit guide lors du développement. (…)
Eh bien, en attendant de repolir le guide au papier triple zéro, puis au feutre, procède comme Miguel en maintenant le "doigt" élevé après le chargement à l’aide d’une petite cale glissée dans le compteur.
Défaitiste, il a écrit :
(…) Je commence à croire que je suis poissard en ce qui concerne le matériel... (…)
:non: Mais non ! Tout débutant fait sa propre expérience…
Je te souhaite de continuer de bons développements : celui des images que tu nous as montrées semble excellent !
Rasséréné, il a écrit :
(…) Il m'avait ensuite parlé d'un grand photographe américain dont le nom m'échappe, qui, lorsqu'il était à Paris, développait ses films dans sa chambre d'hôtel, à l'essence. :D
Un autoportrait illustre Weegee développant ses plans-films, les faisant sécher suspendus à des fils tendus dans sa chambre d'hôtel.

Jean D.
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