Scanner

René R-E
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Merci Alain et Coignet pour vos réponses. Pensez-vous qu'il est mieux de faire de la diapo que du néga couleur pour ensuite scanner ? Ou c'est quifquif. la difficulté est la même ?
Coignet
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Les avis sont partagés...
J'utilise un Coolscan Nikon, et le trouve les négatifs beaucoup plus faciles à scanner. J'ai du mal avec les noirs des diapos.
J'en ai discuté avec DIDO qui constate la même chose (il a aussi un Nikon Coolscan). Je ne sais pas si c'est inhérent à ce matériel.
On peut penser que la source lumineuse n'est pas assez puissante pour "trouer" certains noirs des diapos...
Je ne sais pas, mais cette difficulté est réelle.
Attendre de voir ce qu'en disent d'autres ici.
Summicron2
    ma solution
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Le néga couleur est développé en bande chez Photo-Service :shock:
Pb : se battre avec les filles :roll: au comptoir car elles veulent absolument faire des tirages papier. Il m'est arrivé qu'elles fassent exprès de me donner une pochette avec des tirages. Avec leurs arguments, disons... féminins :P je suis bien obligé d'accepter. :roll:
Coignet
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Les arguments de Photo-Service ne sont pas féminins, ils sont mercantiles, et s'apparentent à la vente forcée. Pression pour prendre la carte, etc... De plus leurs bains ne sont pas toujours bien neufs...
René R-E
    Re: ma solution
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Summicron2 a écrit :
Le néga couleur est développé en bande chez Photo-Service :shock:
Pb : se battre avec les filles :roll: au comptoir car elles veulent absolument faire des tirages papier. Il m'est arrivé qu'elles fassent exprès de me donner une pochette avec des tirages. Avec leurs arguments, disons... féminins :P je suis bien obligé d'accepter. :roll:


Ah ben moi je les envoie par une pochette au labo donc il suffit de cocher ce que l'on veut dans les cases ad hoc :wink: et je n'ai pas à me battre avec les jolies filles :oops:

En ce qui concerne ma question diapos ou négatifs pour le scan, il n'y a pas encore beaucoup de réponses. Merci déjà Coignet pour ton avis.
Filament
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René, perso j'ai numérisé des diapos et des négatifs, je préfère les diapos, mais comme certains négatifs venait d'un appareil de gamme moyenne mon jugement est peut-être faussé. De toute façon je compte numériser les négatifs que ma mère à fait lors d'un séjour au Quebec, je t'en dirais plus lorsque j'aurais fini.
herisson
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Bonjour,

Je suis d'accord avec la plupart des choses qui se disent ici, mais il ne faut pas tout mélanger...

DIDO a écrit :
:wink: qu'est-ce que c'est que ce plan ?
il faut scanner à donf (réso max du scanner)
com il dit, "qui peut le plus peut le moins"
et une Image scannée à résolution maximum, sera toujours bien meilleure,
une foi sous-réechantillonnée,
qu'une Image , scannée en basse résolution, sur-échantillonnée,


Oui, ça c'est vrai, on considère qu'il faut prendre 1/3 en plus, mais pas plus. Après, on perd du temps pour rien. Sur un scan, c'est quelques minutes, sur 10 = ... Il faut différencier ce qui va être imprimé en 30*40, ou ce qui est destiné à être archivé, notamment en réglant le nombre de passes du scanner. Ensuite, on pourra toujours refaire le scan en plus grand s'il faut, mais toutes les photos ne pas en 30*40. En plus, en cas d'impression offset, il vaut mieux le faire faire pas un photograveur qui dispose de scan rotatif, genre Imacon ( + de 7000 dpi), calibration "qui déchire sa race".


Coignet a écrit :
:
Pour avoir une impression correcte, il faut au minimum 300 points pas pouces dans le fichier d'impression. Il faut que ces points soient les mêmes que ceux qui ont été saisis lors de la numérisation, sinon c'est le logiciel qui doit extrapoler la nouvelle définition de l'image, et donc la détruire partiellement en effaçant certaines informations pour les remplacer par d'autres



En effet, il faut 300 points par pouces pour avoir une bonne impression : c'est la résolution demandée en offset. Mais il y a un phénomène de trame, et, aujourd'hui, avec la hausse de la performance parallèle des presses et de imprimantes maison, on arrive à la même résolution en très haute définition. La presse utilise le CTP : des plaques imprimées au laser, donc sans flashage, à partir du fichier - on atteint entre 200 lpp et 300 au max. Les imprimantes "domestiques" (si elles sont bien domestiquées), atteignent 300-350 lpp. De toute façon, après, ça ne se voit plus... (lpp : lignes par pouce : finesse de la trame).
Il ne faut pas chercher à faire mieux ! Même si on augmente la définition du fichier : de 300 -> 600, par exemple, sans modifier la taille d'impression, il n'y aura pas de gain. Juste du poids, du temps de calcul, et des planages plus fréquents.



mektoub a écrit :
On peut aussi garder le fichier plein pot, et imprimer l'image simplement en spécifiant la taille de l'image (sans changer les DPI) => c'est le RIP de l'imprimante qui se chargera de faire pour le mieux, et à mon avis cela dépend d'une imprimante jet d'encre à l'autre.

Sur mon HP 8450 (jet d'encre), j'ai constaté que cette deuxième option donnait des résultats bien meilleurs, parce que le RIP est remarquable, et exploite le maximum d'information pour optimiser la projection des gouttelettes

Ensuite se pose la question de savoir si l'on ré-échantillonne dans photoshop, ou si on laisse cette tâche au RIP de l'imprimante


Deux choses :
1) Une imprimantes connaît ses limites, à la fois en résolution sur le papier, à la fois en mémoire. Si vous la gavez, elle plante ! Pour cela, elle utilise un pseudo RIP, sur l'ordinateur hôte, qui limite la taille du fichier. Il ne fait pas de ré-échantillonnage, mais du sous-échantillonnage, c'est kif-kif en qualité, et voici pourquoi :

2) Qu'est ce qu'un RIP, ou plutôt, pour ne pas vous ennuyer, comment ça marche :
Pour ripper, on commence par imprimer, non pas sur l'imprimante, mais dans un fichier postcript. Pour simplifier, c'est un énoooooooorme pdf, qui décrit les images, leur profils, leur taille donnée (en fonction de l'échentillonage : 300 dpi, 266, 600, voire 1200 pour un flashage). il garde les polices et les vectoriels tel quel, garde aussi les profils, les préférence couleurs, sans les appliquer à chaque élément. Le fichier postcript est généré à partir d'un driver postcript, le plus courant, celui d'Adobe (postcript 8,6, donc Virtual printer).
Ensuite, soit on le passe dans le "distiller" d'Acrobat pour générer un pdf (qui sera ensuite imprimé avec un RIP plus léger), soit on l'envoie au RIP machine (genre quadri processeurs, PIV 3 Ghz , 4 Go de RAM, sous Unix ou Win NT...), qui fera un encore plus énorme fichier à imprimer de manière séparément : Cyan, Magenta,Jaune et Noir. Quatre plaques, directement par le CTP, ou 4 films par une flashageuse !
Comment ça marche : le RIP sépare les encre de chacun de vos pixels, codé sur 4 couleurs au plus, une au moins, ou zéro si de la réserve (blanc), il le fait en fonction des profils couleurs pour les images, dessin les polices et les fichiers vectoriels (logos, plans autocad, illustrator...) de la même manière, le tout à partir du fichier normale, qui, je le rappelle, ressemble à un pdf (texte, logos et images séparés, donnée conservées mais non appliquées à chaque éléments). Il corrige ensuite les 4 couleurs en fonction des caractéristiques de la machine offset ou rotative, sérigraphie... qui se chargera de tirer.

En fait, les drivers des imprimantes s'apparentent à des RIP, mais font le travail grossièrement : elle ne savent pas très bien respecter les profils, les caractéristiques des encres... Pour vous donner une idée, les logiciels de RIP coûtent entre 1500 (les nuls) et 30000 euros (les bons). Ceux des imprimantes ne sont pas terribles, encore une fois !
Mais vous pouvez en acheter un meilleur, qui coûtera autour de 750 euros, et là, vous verrez la différence...
Ces RIP sont livrés avec les imprimantes laser couleurs, sous la forme d'un PC spécifique embarqué ou séparé de la machine : 6000 euros...

3) Encore plus simple : les RIP des imprimantes correspondent à un 'flatten image' ou un aplatissement des calques sous Photoshop... Un peu barbare !

précisions : 300 dpi quadri : 300 dpi de chaque couleur CMYK : 1200 dpi effectifs. C'est ce sur quoi jouent de manière éhontée les vendeurs d'imprimantes : la mienne est garantie 5760 dpi. je ne sais pas ou ils ont trouvés ça !

mektoub a écrit :
Comme le dit justement Coignet, un ré-échantillonage bicubique dans PS adoucit l'image, c'est pour cela qu'il faut ensuite lui rajouter un poil d'accentuation, et c'est pour cela que dans la dernière version Photoshop CS, Adobe a rajouté un algo "bicubique plus net" qui ré-échantillone en préservant la netteté.


Oui et non : le ré-échantillonage bicubique colle des points moyens entre les points existants, moyenne pour donner de la place. Il faut utiliser le ré-échantillonage nrmale, plus faire l'accentuation à partir du "unsharp mask", en commençant par les grandes zones (rayon +-30), puis par les petites zones, le grain ou micro détail (+-0,30)...


Bien sûre, le tout est un véritable casse-tête pour obtenir de bons résultats ! et les RIP, Requiesc in pace, porte bien son nom !

N'hésitez pas à me demander des précisions !

A+

hérisson
=== de retour ===
François-L
    Re: moi aussi !
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René RE a écrit :
(...)
Merci à Alain, mektoub, Coignet et Summicron. :D Vous m'avez donné envie de passer à ce "métissage" boîtier argentique + scanner. C'est super. Faudra juste que j'attende de renflouer la caisse :lol:

Donc pour la couleur, vous faites juste développer le négatif dans un labo ? professionnel ? ou vous développez vous-même le négatif ?

Merci de me dire comment vouv vous y prenez

salut à tous ce sujet m'interrese , bien sûr :D ,
et j'ai tenté un début de sondage dan la rubrique "divers".
Et il semble bien pour l'instant que bon nombre d'entre nous fasse le developpement de leurs negas eux mêmes.
j'attends un peu d'aide (help gautier pour transformé mon fil en "vrai sondage...) à suivre donc...
françois.
LaurentT
    Re: ma solution
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René RE a écrit :
En ce qui concerne ma question diapos ou négatifs pour le scan, il n'y a pas encore beaucoup de réponses. Merci déjà Coignet pour ton avis.


Coignet a écrit :
J'utilise un Coolscan Nikon, et le trouve les négatifs beaucoup plus faciles à scanner. J'ai du mal avec les noirs des diapos.
J'en ai discuté avec DIDO qui constate la même chose (il a aussi un Nikon Coolscan). Je ne sais pas si c'est inhérent à ce matériel.
On peut penser que la source lumineuse n'est pas assez puissante pour "trouer" certains noirs des diapos...


Je résume mon expérience personnelle déjà citée ça et là dans les fils (d'où l'intérêt non pas d'un fil mais d'une rubrique scan, à moins de s'entendre et de poster dans "numérique").
Le néga couleur est environ 10 fois plus tolérant que la dia à l'exposition (dans un intervalle de densité de 0 à 2.5 il va prendre des intensité de 1 à 4000, 500 pour la dia).

Dans un scanner qui monte à une Dmax de presque 5, un néga développé avec un gamma standard va être très largement encadré et va restituer ses 0-4000 d'intensité sans problème. Le néga est donc très facile à scanner mais en revanche, la correction du masque orangé empêche de l'étallonner avec une dia standard, à moins de penser à photographier une mire Kodak avec une Tc connue à chaque film !
Le rendu des couleurs est donc livré à l'appréciation de l'opérateur, s'il est expert comme Dido c'est bon, sinon ça peut être assez mauvais (ciels lavés jaune, ...).

En revanche sur la dia, les noirs se bouchent vite. Dans la pratique je ne déclenche pas si j'ai plus de 3 diaph dans l'image (ou je recadre, et encore 3 diaph c'est beaucoup).
Pour scanner de la dia, il faut éviter les sous-expositions (donc proscrire la velvia 50 qui fait en réalité 42, ou la poser à 42) et les films trop contrastés = Fuji Velvia et Astia.
Malgré cela les noirs peuvent être sinon bouchés opaques, du moins encombrés, car pour rendre toutes les valeurs de la dia il faut toute la gamme de densité du scanner. Et là, Nikon Scan a un gros défaut, il fait un point noir sur l'image (à moins de calibrer avec une dia IT8 et de désactiver la gestion des couleurs). Ce qui oblige à bricoler l'histogramme de construction du gamma avec les fameuses courbes (ou le LCT) et au final de sortir une image sans grand rapport avec ce qui est sur la dia (sauf à être un expert, à nouveau). Et si ça n'est pas bon, il faut rescanner.

Donc néga = plus "facile" d'avoir tous les tons, mais rendu colorimétrique subjectif.
Dia = plus délicat d'avoir tous les tons, mais rendu colorimétrique parfait.

Je ne sais pas si je suis clair...
alain.besancon
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Toi t'es un copain ... ou t'as des super antennes :lol: =
- à peine déballé le Coolscan V ED que je vous envoyais un négatif Fuji Supéria 200 ISO scanné sans réfléchir ni tout comprendre ... quasi les "doigts dans le nez"
- hier, n'y tenant plus, j'attaque une diapo .... le cauchemard, pas nette, dégueulasse ... suis allé me coucher la ... entre les ... (c'est sa place!)
- ce matin, rebelotte "toi la diapo tu vas pas m'em... bien longtemps" ... je n'ose pas vous dire comment je m'y suis pris, c'était enfin net et "bon" mais très nettement en dessous du scan de négatif.
Du coup, je crois que je sais quelle orientation je vais prendre et le projet diapos scannées puis tirées ... aux oubliettes!

Alain
LaurentT
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Bon, je vais me re-re-répéter, il y a un gars qui s'appelle Hamrick, qui, désespéré de la piètre qualité des logiciels de scan a développé le sien, il s'appelle Vuescan, coûte 80 US$ en version pro avec MAJ illimitée, et il se trouve que ce logiciel, en plus de qualités intrinsèques inégalées (sauf sur SilverFast peut-être mais 10 fois plus cher), pilote bien mieux le firmware Nikon que Nikonscan lui-même : plus net, moins bouché.

Je sais que Mektoub est convaincu, l'essayer c'est l'adopter !
Qu'on se le dise !

On peut télécharger la version d'essai .

Inconvénient : être anglophone.
Eric Bascoul
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alain.besancon a écrit :
Toi t'es un copain ... ou t'as des super antennes :lol: =
- à peine déballé le Coolscan V ED que je vous envoyais un négatif Fuji Supéria 200 ISO scanné sans réfléchir ni tout comprendre ... quasi les "doigts dans le nez"
- hier, n'y tenant plus, j'attaque une diapo .... le cauchemard, pas nette, dégueulasse ... suis allé me coucher la ... entre les ... (c'est sa place!)
- ce matin, rebelotte "toi la diapo tu vas pas m'em... bien longtemps" ... je n'ose pas vous dire comment je m'y suis pris, c'était enfin net et "bon" mais très nettement en dessous du scan de négatif.
Du coup, je crois que je sais quelle orientation je vais prendre et le projet diapos scannées puis tirées ... aux oubliettes!

Alain

:wink: tiens, donc, il semblerait que je ne soit pas le seul à trouver
que les négatifs soient plus faciles à scanner que les dias ! :wink:

LaurentT
pour ce qui est de vue-scan, je m'y met petit à petit et ça à l'air très bien ! :D
mais il me faudra du temps pour retrouver mon savoir-faire de Nikon-scan4 :wink:
donc je continue de bosser avec NS4, et j'explore VS :wink:
alain.besancon
    may be
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Laurent ... tu vas finir par me faire faire des âneries: j'ai téléchargé et essayé disons 15 mn; outre le fait que je suis un "anglo-handicapé" oui ça paraît plus simple, oui on doit obtenir de bons résultats "standards" assez vite et sans trop de prise de tête, oui ça semble moins bouché .... mais pour ce que j'ai pu rapidement obtenir, pas trop convaincu par la meilleure netteté ... mais bénéfice du doute.
Bon, ne supportant pas de dépenser un Euro pour quiconque ne parle pas ma langue .......... poubelle.

Alain
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Avec mon Coolscan III, j'ai voulu commencer à numériser les négatifs que ma maman avait fait au Quebec (Leica C3), sur 24 il y en a peut être 4 ou 5 de bien, le reste est horrible, en brut de scan. Mes préférences iront encore à la diapo.
LaurentT
    Re: may be
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alain.besancon a écrit :
Laurent ... tu vas finir par me faire faire des âneries: j'ai téléchargé et essayé disons 15 mn; outre le fait que je suis un "anglo-handicapé" oui ça paraît plus simple, oui on doit obtenir de bons résultats "standards" assez vite et sans trop de prise de tête, oui ça semble moins bouché .... mais pour ce que j'ai pu rapidement obtenir, pas trop convaincu par la meilleure netteté ... mais bénéfice du doute.
Bon, ne supportant pas de dépenser un Euro pour quiconque ne parle pas ma langue .......... poubelle.


Très bien Alain, j'ai commencé exactement comme ça avec Vuescan !
C'est donc un bon début !
En fait, il faut lire le user's guide ligne à ligne. On y apprend non seulement à utiliser le soft, mais en plus à scanner correctement. Evidemment, c'est en anglais. Si j'étais en retraite, je le traduirais.

Celà dit, Vuescan ne prend sa vraie dimension que pour scanner des dias dans une chaîne calibrée. Ca m'est arrivé d'en faire 150 en un week-end, sans déchet, sans passeur auto.
Seule exception : la kodachrome. La structure du film empêche toute numérisation correcte.

Filament, il y a des ruses pour scanner le néga. Par exemple, tu scannes une portion non exposée (juste le masque orange), tu essaies d'avoir un noir pur puis tu verrouilles l'exposition et les réglages (ça ne marche pas à tous les coups car dans ce cas tu n'as pas de point blanc pour te donner la Tc...).
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