Pandani |
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Habitué Messages : 741Depuis le 2 nov 2005 Paris |
J'adore ! Pourquoi ces doigts de pieds sont ils crispés ? Quelle est l'origine de cette tension ? M'enfin ! Qu'est-ce qui se passe donc hors champ ? A l'imagination du spectateur de trouver la réponse. |
Phil VDD |
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Vieux briscard Messages : 6109Depuis le 3 sep 2007 Arquennes |
Merci!
voici une autre image... un essai de sténopé super chic: un trou d'épingle dans le bouchon de boîtier de mon M8... A main levée (3 secondes de pose)... Ca m'a plu et j'ai commandé un "trou" de 0,223 réalisé au laser et bien centré pour continuer mes expériences. Il est en chemin via les postes internationales... A suivre donc... M8: dix millions de pixels, tout de même "Toute photographie est une fiction qui se prétend véritable. (...) la photographie ment toujours, elle ment par instinct, elle ment parce que sa nature ne lui permet pas de faire autre chose." Joan Fontcuberta |
Yohanntv |
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Habitué Messages : 678Depuis le 2 jan 2008 Amplepuis |
au poil Phil, j'aime ! |
Yohanntv |
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Habitué Messages : 678Depuis le 2 jan 2008 Amplepuis |
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xom6 |
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Spécialiste Messages : 1373Depuis le 12 fév 2006 Arles |
Leica M8 28f2,8 asph |
Phil VDD |
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Vieux briscard Messages : 6109Depuis le 3 sep 2007 Arquennes |
Phil VDD a écrit : Ca m'a plu et j'ai commandé un "trou" de 0,223 réalisé au laser et bien centré pour continuer mes expériences. Il est en chemin via les postes internationales...... et le facteur me l'a déposé ce matin! Donc, j'ai le sténopé le plus snob, mais aussi l' "optique" leica-M la moins chère du monde! Tout de suite, une autre image mais cette fois avec le "trou" au laser. La lumière n'est pas terrible aujourd'hui dans mon salon mais j'ai joué avec une petite lampe complémentaire. 12 secondes de pose (160 ISO). Le trou de 0,223 correspond presque parfaitement à un repère dans le viseur de mon M8! Voilà le résultat: Alors, il faut dire que le sténopé au M8 révèle toutes les poussières sur le capteur donc il faut faire un dépétouillage digne du pire potache argentique... Mon M8 est assez baroudeur et je change très souvent d'objectif. Mais avec Lightroom il y a un très bon outil! A suivre! "Toute photographie est une fiction qui se prétend véritable. (...) la photographie ment toujours, elle ment par instinct, elle ment parce que sa nature ne lui permet pas de faire autre chose." Joan Fontcuberta |
pbenotti |
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Vieux briscard Messages : 4080Depuis le 18 fév 2006 Annecy ! |
MP + 50/1,5 Sonnar - APX400 |
Phil VDD |
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Vieux briscard Messages : 6109Depuis le 3 sep 2007 Arquennes |
Ami des pieds, bonsoir!
Etes-vous nombreux à partager mon avis: un nu sans pieds n'est pas un nu? Bande de va-nu-pieds! (désolé, je joue sur les mots immodérément) "Toute photographie est une fiction qui se prétend véritable. (...) la photographie ment toujours, elle ment par instinct, elle ment parce que sa nature ne lui permet pas de faire autre chose." Joan Fontcuberta |
xom6 |
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Spécialiste Messages : 1373Depuis le 12 fév 2006 Arles |
Une sorte de pieds de nez ? |
Liv |
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Spécialiste Messages : 2025Depuis le 10 nov 2005 Toulouse |
L'ami Phil a écrit : Etes-vous nombreux à partager mon avis: un nu sans pieds n'est pas un nu? + d'images ? C'est par là... |
Invité |
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Message supprimé à la demande de son auteur. |
pbenotti |
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Vieux briscard Messages : 4080Depuis le 18 fév 2006 Annecy ! |
Bien vu JJB
JJB a écrit : ...Vision moins érotique et moins sensuelle que les prédédentes........Qui sait ! JJB ... y'a quand même un côté Bécassine qui n'est pas sans charme |
Bertrand S |
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Membre des Amis Messages : 3813Depuis le 20 mai 2005 Lyon |
Et puis la chanson de Brassens
Les sabots d'Hélène Etaient tout crottés Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine De les déchausser Les sabots d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Dans les sabots de la pauvre Hélène Dans ses sabots crottés Moi j'ai trouvé les pieds d'une reine Et je les ai gardés Son jupon de laine Etait tout mité Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine De le retrousser Le jupon d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Sous le jupon de la pauvre Hélène Sous son jupon mité Moi j'ai trouvé des jambes de reine Et je les ai gardés Et le cœur d'Hélène N'savait pas chanter Les trois capitaines L'auraient appelée vilaine Et la pauvre Hélène Etait comme une âme en peine Ne cherche plus longtemps de fontaine Toi qui as besoin d'eau Ne cherche plus, aux larmes d'Hélène Va-t'en remplir ton seau Moi j'ai pris la peine De m'y arrêter Dans le cœur d'Hélèn' Moi qui ne suis pas capitaine Et j'ai vu ma peine Bien récompensée Et dans le cœur de la pauvre Hélène Qu'avait jamais chanté Moi j'ai trouvé l'amour d'une reine Et moi je l'ai gardé Ou sa chanson sur Bécassine Un champ de blé prenait racine Sous la coiffe de Bécassine, Ceux qui cherchaient la toison d'or Ailleurs avaient bigrement tort. Tous les seigneurs du voisinage, Les gros bonnets, grands personnages, Rêvaient de joindre à leur blason Une boucle de sa toison. Un champ de blé prenait racine Sous la coiffe de Bécassine. C'est une espèce de robin, N'ayant pas l'ombre d'un lopin, Qu'elle laissa pendre, vainqueur, Au bout de ses accroche-cœurs. C'est une sorte de manant, Un amoureux du tout-venant Qui pourra chanter la chanson Des blés d'or en toute saison Et jusqu'à l'heure du trépas, Si le diable s'en mêle pas. Au fond des yeux de Bécassine Deux pervenches prenaient racine, Si belles que Sémiramis Ne s'en est jamais bien remis'. Et les grands noms à majuscules, Les Cupidons à particules Auraient cédé tous leurs acquêts En échange de ce bouquet. Au fond des yeux de Bécassine Deux pervenches prenaient racine. C'est une espèce de gredin, N'ayant pas l'ombre d'un jardin, Un soupirant de rien du tout Qui lui fit faire les yeux doux. C'est une sorte de manant, Un amoureux du tout-venant Qui pourra chanter la chanson Des fleurs bleu's en toute saison Et jusqu'à l'heure du trépas, Si le diable s'en mêle pas. A sa bouche, deux belles guignes, Deux cerises tout à fait dignes, Tout à fait dignes du panier De madame de Sévigné. Les hobereaux, les gentillâtres, Tombés tous fous d'elle, idolâtres, Auraient bien mis leur bourse à plat Pour s'offrir ces deux guignes-là, Tout à fait dignes du panier De madame de Sévigné. C'est une espèce d'étranger, N'ayant pas l'ombre d'un verger, Qui fit s'ouvrir, qui étrenna Ses joli's lèvres incarnat. C'est une sorte de manant, Un amoureux du tout-venant Qui pourra chanter la chanson Du temps des ceris's en tout' saison Et jusqu'à l'heure du trépas, Si le diable s'en mêle pas. C'est une sorte de manant, Un amoureux du tout-venant Qui pourra chanter la chanson Du temps des ceris's en tout' saison Et jusqu'à l'heure du trépas, Si le diable s'en mêle pas. Pour le fil Bla bla bla |
Aymeric |
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Spécialiste Messages : 1219Depuis le 19 mars 2007 Savane centre bretonne |
Kung fu panda c'est du cinéma
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jackf |
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Vieux briscard Messages : 3709Depuis le 13 juin 2007 Nantes |
Pieds (les miens) sur tirage baryté humide et froissé (de ma douce)
Symbolisme, interprétations multiples et contradictoires, psychanalyses de comptoir bienvenues ! Sachant que Sainte Véronique est entre autres la patronne des photographes, c'est du lourd... M2 / cron 50 rentrant |
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