bob_j |
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Régulier Messages : 106Depuis le 13 juin 2007 Diverses, Afrique surtout |
Face au m…..r pour le profane au mou bourré et aux perspectives d’avenir façon vision de Soeur Anne, le coup de gueule du professionnel ; post-éditorial. Bon, maintenant que les derniers malheureux acquéreurs-amateurs ont eu l’occasion de liquider leur M8 au prix extra fort comme le divin salami Sicilien ce avant de n’avoir plus qu’un presse-papier sous la main, je peux sans remord dire qu’ils ont ici été remplacés par du Fuji… ce qui ne veut certes pas dire que l’actuel M soit à enterrer pour oublier ce M8 de présérie, celui que l’on se fait refiler gratos ou presque pour combler les vides de l’APS-H et qui ne vaudrait plus que trois francs six sous en brocante sans baïonnette compatible avec les optiques chinoises et l’affairisme forcené de quelque marchand du temple écumant fora naturellement. Il faut dire que Leica n’a déjà pas jugé bon d’en fournir, des optiques véritablement dédiées à ce « prototype » au format classé sans suite, ceci rendant assez amusant l’impératif d’une relation consanguine du couple boîtier-objectif ; rassurez-vous, les camarades de Pékin en gens prudents n’ont pas jugé utile de faire mieux, bien que ceci n’ait qu’une importance relative soulignée par le raisonnement « coeur de meule », cette sélection du centre de l’optique rendant par là même caduque le seul intérêt notoire de l’optique définie jusque dans les coins et au prix élyséen, ainsi est-il toujours bon sinon amusant de pointer les contradictions. En revue de détail, l’examen visuel de la carte « DSP » (un Analog Device ADSP-BF561 en l’occurrence) donne l’impression d’avoir affaire à un module d’évaluation avec ces emplacements vides de composants alors inutiles… ou « stripped down » pour employer le langage consacré ; il paraîtrait aussi qu’il subsistait quelques « bugs » même dans la révision 05 de ce DSP (celle que l’on trouve encore chez Mouser pour 39,17€, la 03 étant celle équipant le M inspecté) et trouver le « workaround » logiciel -la « voie détournée», le correctif externe pour bug en dur pas prévu au programme- lorsque le problème vient de la bête elle-même autrement dit, n’est souvent pas chose aisée, il faut le reconnaître. Sinon, pour rassurer le fan club, précisons que Leica nous a bien gratifié d’un Digital Signal Processor « industriel » -40 +85° mais pas de la rapide version 600 mégacycles par seconde, non Hertz -étrange comme cette société humaine veut toujours des noms pour tout compliquer et nous mener vers l’idolâtrie, non ? Si et nous sommes d’accord- ni automobile, puisque ce dernier a d’autres applications moins coûteuses -je plaisante-. Or donc certains avancent même que suivant la date de production du M le maudit, pardon le huitième, nous l’aurions « dans l’os » -pardon Mesdames- question espoir d’avoir jamais un engin phallique, pardon bijou de famille fiable sans changer de DSP, j’avoue à ma grande honte n’avoir pas été vérifier cette assertion ; de toute manière la question défaillance de l’obturateur 1/8000 en enceinte non stérile était déjà hélas céans un sacré handicap. Quoi qu’il en soit, fondées ou non, rumeur et inquiétude se propagent, idées s’assemblent et gens se rassemblent naturellement en Anglo-Saxonie, même là où le Dollar coule à flot toujours sans améliorer la vie du serviteur dévoué. De fait, là où l’importance d’un groupe -nous- est profitable une fois débarrassé du négationnisme intéressé, c’est bien en tentant déjà d’établir non pas quelque cotation triomphante auprès du naïf impénitent et tant désirée des marchands du temple mais des statistiques établies à partir d’un registre « 4ième échelon », celui des choses qui fâchent et demandent réparation, retour direct d’information qui permettrait dans ce cas de mettre fissa en évidence ces « bugs » persistants actuellement même 13 piges déjà après la date de première mise en circulation par exemple -j’en ai encore les crocs qui grincent-… Ainsi pour la bonne cause, celle de l’amateur limité en ressources et pour être encore plus clair, je parlerai disons… de suicide assisté en 8 compte tenu des divers commentaires soutenant mordicus la thèse de la vieille brique immortelle et de risque élevé en 9, d’ailleurs j’ai encore une lame d’obturateur qui bat la chamade sur un de ces M8 « légués » ou acquis pour des clopinettes, pardon une somme raisonnable dans le monde échangiste des travailleurs et même sur ebay d’ailleurs, il n’y a pas si longtemps. La foultitude de 9 à la dynamique amoindrie malgré le format et en neuf ou presque sur ce média est autrement révélatrice de l’activité sinon l’inquiétude toujours ambiante chez les fourgues « utilisant » la marque... et désirant nous faire encore avaler la pilule, pardon pastille façon argentique, soit le « coup du 8 » en replay ; las, il s’agit de numérique qui devra à la moindre défaillance générique toujours décoter à mort, comme disent les jeunes talents, pour qu’il n’y ait plus d’excuse à laisser passer l’imperfection sur un boîtier à ce prix. Au moins avec ce cher M5 -oui, cher aussi- mais novateur en avions-nous pour notre pognon... Mon Dieu, très cher, disent-ils encore nos adeptes du précieux, ce CCD ne reste-t-il point supérieur… - Mordieu dignes affreux atteints d’une sagesse humaniste, gentlemen ou même affreux gentlemen portés sur l’apparence, qu’importe le capteur car nous n’en sommes plus à tolérer un M9 à la carte officiellement recyclé et refourgué sans honte à 3000 balles mais à réclamer un produit enfin opérationnel. Dans la série indiscrétions déclassifiées sur les espérés rois de l’interception, pardon de la photographie créatrice à discrétion disons... Ces grands D contemporains qui sont toujours bêtes de la nuit, au centre ceux de l’époque pompeusement affublés d’un M majuscule mais que le gentleman de coeur ne conseillera plus même à son pire ennemi du lucre journalistique monochrome actuellement seulement concurrentiel en appointements corrupteurs, à droite celui qui momentanément les remplace... Des M8 en veux-tu en revoilà, certains n’ayant pas attendu de perdre leur robe et prendre un aspect mature pour être en rade comme le Charles, un comble ; j’adore la plaisanterie certes et je suis heureux d'apprendre que certains ont résisté même à l'eau sans anis avec la mise en boîte en compagnie de quelques sachets de Silica-gel -attention, n'avalez pas, ce n'est pas du sucre en poudre-, pardon dessicant mais quand bien vieillir signifie capacité d’encore attirer le chaland malgré l’évidence des problèmes non résolus, il faudrait du moins signaler que le sens du mot « bien » soit relatif. L’option actuelle -par défaut- pour l’insatiable talent sans complexe de robe ? Un X-pro premier du nom -16 millions de petites zones photosensibles et c’est déjà beaucoup- que l’on pourra encore récupérer neuf ou assimilé se négocie dans le domaine public à un gros 250-300 tout au plus, ce sera un bon début pour apprécier la sacro-sainte visée claire et surtout à grand champ sans trop sacrifier une dynamique « hardware » bien réelle à l’asa, pardon l’iso émulé. « Mais c’est de l’APS-C sur celui-ci » et ce sera exact sur ce Fuji… en fait, j’ai en mémoire au moins une personne appointée par S&W ayant déclaré sans état d’âme sur le Red Dot avoir délaissé son 240 pour un 114-1 pouce, plutôt drôle non ? Pas seulement drôle d’ailleurs, instructif, de fait c’est exactement le type d’acte que j’effectue également sans état d’âme. Question photographie appliquée, il faut avoir un plan, savoir ce que l’on veut faire et que ce format ou même d’autres encore plus petits sont mieux adaptés à certains usages, à la vison diurne des choses ; penser le plein format, le « full frame » comme ils disent, plus « professionnel » tous azimuts, c’est tout simplement de l’amateurisme -non, pas dans ce sens-là, l’autre-, bon, juste du taoïsme façon recherche de la divine indécrotabilité si vous préférez. Nous parlions stratégie, voici donc le plan de sauvetage : cet appareil à trois francs six sous sera le parfait complément d’un futur Leica fiable au format actuel pour élargir le domaine d’application, sinon l’élément principal selon l’emploi ; autrement ne vous inquiétez pas pour la récupération d’un 240, tous ces boîtiers numériques sont vite passés de mode, les aficionados par défaut des versions précédentes fâchés de n’être plus « in the mood » n’ayant pas toujours les moyens de suivre, la bonne occasion viendra alors des impayables nouveaux nantis toujours plus nombreux puisque ceux qui sont trop loin de l’être le sont hélas aussi. Et puis surtout, avec l’économie réalisée, rien ne vous empêche de glaner en attendant quelques excellentes petites optiques du style summarit ou même un summicron un poil plus ouvert, que l’on prendra justement pour utiliser la pleine ouverture et surtout leurs qualités mécaniques car c’est pour cela que l’on devra acheter de tels produits et ce sont ceux-là qui devront rester appréciés, non ces boîtiers tristement périssables que le personnage hermétiste voudrait associés -oui, associer aussi- pour le meilleur comme pour le pire. Avec ce genre d’erreur philosophique sur les supposés bienfaits de telle association larguée sans faute de frappe, passée l’étape déjà fort amusante de la correction numérique prophylactique pour profiter pleinement d’une optique indûment clamée parfaite, vos boîtier et objectifs seront bientôt programmés pour s’autodétruire dans les 5 secondes en cas d’infidélité -je plaisante-. Certes faudra-t-il vous réaccoutumer sur 240 ou autre question utilisation des commodités offertes pour la visée et la mise au point, mais si vous aimez le « mode suivi de cible » mouvante ou sa ré-acquisition, même le « retour arrière » vers la pastille à coïncidence d’un vrai télémètre mécanique sera pour le moins tolérable ou même appréciable suivant la circonstance. Dans le cadre d’un retour aux sources revisité, à la philosophie de ces belles petites machines pré-M, avec leurs viseur et télémètre séparés, Fuji nous gratifie pour l’observation d’une association « optico-électronique » à choix multiples, alors pourquoi pas ? J’ai toujours rêvé de l’occultation de cette pastille centrale lorsqu’il s’agit de se concentrer sur la cible... ou du moins de la déplacer ailleurs, dans le coin inférieur droit, juste à l’endroit ou l’optique hyper lumineuse comme ils disent -vous en avez déjà vu une non badigeonnée au prométhéum 147 produire de la lumière, vous ?-, la porteuse d’orifice très ouvert disons, fait obstruction par exemple. « On the other hand, if you look at the X-Pro1 as a Leica alternative, then it is actually quite a decent camera, given its much lower cost… » disait, mieux conseillait avec retenue oserai-je dire, le sympathique M. Mansurov... en 2012, faisant donc référence au M sur étagère à une époque pas si lointaine. Vous avez donc la base d’un système complet avec des éléments achetés au bon moment et capable de redondance -matérielle-, que demander de plus ? Des sous, oui, à l’occasion… mais surtout de la nouveauté issue du staff de S&W. Du plan de rechange ou de ce qui devrait être... C’est en effet toujours la même rengaine, l’intérêt d’un tel format « plein » était aussi dans une série faite pour la « twilight zone », un capteur façon Nikon D3 sans supporter le poids de ce prince de la nuit utilisable comme casse-tête ou en apesanteur, las, on se retrouve avec une usine à pixels et son tripatouillage logiciel compositeur de drôles d’asa, pardon iso en pré-production effectuée par des processeurs voulus, non imaginés rivaux des Xeons de station Z HP ; amateurisme-bis aveugle ou fourberie du fourgue que d’admettre cela… Ainsi j’aurais pourtant juré que le compte sur le damier était bon sur ce satané M8 hélas conçu pour le productivisme en qualité tout juste passable -j’insiste car j’en avais encore en dotation, de ce... dinosaure-né- avec son .dng prédigéré façon jpeg pour cause de lenteur ; aussi pour justifier l’emploi d’un de ces 2 de 35 bien ouverts, il nous faudra donc attendre une nouvelle série M digne du clair obscur... avec changement de l’actuel capteur naturellement, soit la bonne vieille histoire que l’on eut voulu initiatique des duettistes Nikon D3 du joueur « hardcore » - D800 « studio » du contemplatif en somme. Or donc une petite hypothèse un tantinet onirique je vous l’accorde sera formulée avant que certains pensent à aller pendre à la haute vergue -nos gouvernants, oui je sais mais non, du moins pas pour cela- déjà les penseurs du market garden qui hantent les couloirs de toute entreprise dite moderne et nous parachutent vers l’absurde. Vers la logique… Un même boîtier pour que l’on puisse s’y retrouver en matière d’automatisme dans des usages impliquant au moins 2 capteurs différents, un tantinet logique et pourtant simple comme proposition non ? Certes moins ou pas de Graal ni d’appareil de danseuse -pardon Mesdames-, mais déjà du fonctionnel même si ce serait là -non, pas la, j’ai bien dit là- méthode pour recycler les coquilles de 9. Or donc, être définitivement infidèle à Leica ? Pourquoi donc… mais pousser un coup de gueule à l’occasion de l’expérience traumatisante en matière de mtbf et performance que furent ces M8 désastreux, 8.2 si simplement corrigés en moins performant et 9 de fermeture du rideau, cela entre autres pour éviter que le jeune talent ne tombe dans le panneau du fondamentalisme idolâtre de ceux soucieux de se refaire après une expérience tout aussi traumatisante pour leur portefeuille ? Pourquoi pas. « Sûrement en sortira-t-il du bien, une petite révolution de temps à autres, c’est assez sain, vous ne trouvez pas ? »... d’après M. Clancy Jr. Dieu que ces Leica pré-M8 d’un autre siècle semblent loin et désirables... |
"+1" de la part de : MichelB |
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JCR28 |
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Spécialiste Messages : 2671Depuis le 9 jan 2010 Chartres/Dreux |
Diatribe de "geek" ou éditorial destiné à un quelconque canard spécialisé que plus personne ne lit? La photographie est une brève complicité entre la prévoyance et le hasard. John Stuart Mill M10 + 15 f4.5 Voigt III + 24 Elmar + 35 Summicron, 50 Summilux Asph + 90 Summarit |
Wolf49 |
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Spécialiste Messages : 1280Depuis le 23 sep 2012 Paris |
C'est quasiment du Céline ! Bravo ! Mais plus prosaiquement et pour vous épargner un "vomituri te salutant", pourquoi ne pas rester à l'argentique ? |
bob_j |
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Régulier Messages : 106Depuis le 13 juin 2007 Diverses, Afrique surtout |
L’argent tout simplement, hélas... JCR28 a écrit : Diatribe de "geek" ou éditorial destiné à un quelconque canard spécialisé que plus personne ne lit?Mieux, à ceux qui savent lire et penser librement… -je plaisante-. Félicitations pour le récent M-10, j’avoue volontiers en être resté au(x) M8... et sur ma faim. |
"+1" de la part de : MichelB |
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tenmangu81 |
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Membre des Amis Messages : 3519Depuis le 7 jan 2012 Paris |
On m'a appris quand j'étais à l'école qu'il fallait faire court et savoir synthétiser. Mon passé professionnel m'a confirmé que, hormis les romans (pour certains au moins), quand la prose devenait trop longue, on ne lisait pas. C'est ce qui m'est arrivé. |
Alesane |
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Membre des Amis Messages : 2969Depuis le 11 juil 2013 Beauvais |
J’ai travaillé il y a bien longtemps avec un homme politique dont la carrière a culminé à Matignon. Il mettait systématiquement à la corbeille sans le lire tout mémo non tapé à la machine qui dépassait 20 lignes. Mon premier mémo a fini comme ça. Superbe école ! Le problème de ce type de prose est qu’on ne la lit pas alors même qu’elle contient (ou peut contenir) des choses intéressantes. Dommage... |
"+1" de la part de : Sylviea5 |
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bob_j |
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Régulier Messages : 106Depuis le 13 juin 2007 Diverses, Afrique surtout |
Pardonnez mon silence, j’avais un autre M à récupérer. Tudieu, il faut éviter de rester ainsi et consulter, cela tient de l’atteinte post-traumatique pour se croire encore au turbin, du réflexe Pavlovien pour la bouderie et du trouble neurobiologique pour l’absence de concentration, ici, nous pouvons nous lâcher gentiment, oublier l’école du basique, question d’évolution -je plaisante, mes bons amis, je plaisante et vous remercie de vos conseils-, la preuve, j’applique sur un exemple donné… « La frappe à la machine, c’est une question de saisie visuelle pour l’homme politique, le mémo de plus de 20 lignes, c’est le risque de blocage intellectuel pour lui », ainsi j’exagère naturellement puisqu’il en fut beaucoup d’excellents... mais bien peu de bons. M. Georges, vous êtes l’inspiration même... J’ai eu moi-même cette infinie patience mais je peux bien vous l’avouer, je ne mène pas ici un combat ni ne mène dans l’immédiat campagne pour libérer Matignon avant qu’il ne soit en vente chez Sotheby’s -suis-je bête, l’Elysée est plus proche… Matignon, Matignon, ne serait-ce pas cet hôtel particulier hélas déjà à l’époque un peu éloigné du caveau de la Huchette et où l’on s’occupe essentiellement de plantation ?- cela non pas par défaut de compétence ni de conviction puisque j’ai toujours comme lecture de chevet les écrits de ce bon M. JMK dont la pensée à un moment fit école mais parce que j’ai d’autres obligations plus importantes avec ce « cadeau » option têtes multiples modèle sacré de Birmanie offert par Mme Milady -de Winter, je sais- présente ci-dessous et ça, c’est une digne occupation où la rigueur est de mise -d’où l’utilité du mémo, là, je vous le concède-. Fin de série, nous voici donc de retour en photographie. Pour le reste, aucune importance, comprenne qui voudra, d’ailleurs je suis sûr qu’il y a d’honorables « Geeks » un peu poètes parmi nous, fort heureusement ajouterai-je. |
tenmangu81 |
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Membre des Amis Messages : 3519Depuis le 7 jan 2012 Paris |
bob_j a écrit : Pour le reste, aucune importance, comprenne qui voudra, d’ailleurs je suis sûr qu’il y a d’honorables « Geeks » un peu poètes parmi nous, fort heureusement ajouterai-je.Merci de préciser, je n'avais pas compris que c'était de la poésie.... |
bob_j |
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Régulier Messages : 106Depuis le 13 juin 2007 Diverses, Afrique surtout |
De rien, c’est tout naturel, la poésie est dans sa définition actuelle synonyme d’ouverture d’esprit, admettre sa variété preuve d’intelligence et de vraie sociabilité, ce ne fut pas toujours le cas donc pour l’esprit dogmatique, il est normal ce puisse être difficile à admettre sinon même à comprendre. Or donc pour ceux qui ne sont pas portés sur l’éclectisme en matière de lecture, il s’en trouve une bonne définition tout simplement sur Wikipedia… mes amis, "Geeks" ou simples mortels, si vous tentez ou créez des formes expressives et usez de figures d'analogie, de style en un mot donc si vous avez votre propre personnalité, vous êtes à coup sûr aujourd’hui poètes donc bons photographes. … sans le savoir si vous êtes confrontés à la ridicule vanité des apprentis juges du correct, michetons d’une société corruptrice éternellement sur le retour et qui tenta d’effacer tant de gens aujourd’hui reconnus ; bon, cessons mondanités ou réflexions sur notre position dans la divine comédie et revenons aux mézzes vu l’heure, non à nos affaires... M8 presque neuf sans dégâts apparents ni maltraitance mais cherchez l’erreur -obturateur ad patres… bonne réponse. Savoir pourquoi, à quelle occasion et sur quelle série est important, je ne sais pas pour vous, mais moi, j’aime en avoir pour mon fric surtout quand je paie cash et même au bout de 13 piges, question de principe. |
Paul |
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Membre des Amis Messages : 3154Depuis le 8 juin 2009 Paris |
bob_j a écrit : … sans le savoir si vous êtes confrontés à la ridicule vanité des apprentis juges du correct, michetons d’une société corruptrice éternellement sur le retour et qui tenta d’effacer tant de gens aujourd’hui reconnus ; On peut se demander qui juge qui... |
Alesane |
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Membre des Amis Messages : 2969Depuis le 11 juil 2013 Beauvais |
C'est vrai qu'il y a de la poésie chez Bob, même dans le titre du fil. Mais pour la poésie en prose, je préfère les Chants de Maldoror... Désolé |
Nicci78 |
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Vieux briscard Messages : 5523Depuis le 22 mai 2014 IdF |
TL;DR Reflex : Pentax K-3 III Monochrome + ME Super Compacts : Leica Q2 + Ricoh GR III + Pentax 17 |
igemo |
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Spécialiste Messages : 1678Depuis le 18 oct 2005 Paris |
tenmangu81 a écrit : On m'a appris quand j'étais à l'école qu'il fallait faire court et savoir synthétiser.Donc : le M8 est une daube qui - comble de l'ironie - a sauvé Leica dans le années 2000... En étant perfide on peut dire que la mascarade honteuse des filtres I.R. a fait comprendre aux gars de Sölms qu'ils pouvaient faire subir toutes les turpitudes à leurs clients : le leicaïste est une bonne poire... est et restera fidèle à la marque comme un bon vieux chien à son maître. Malgré les produits foireux les firmwares à la noix, les capteurs en papier maché, etc etc. "In the future, Russia will be the military center of the world, Iran the scientific center, and China the economic center." Ebrahim Raisi |
rederon |
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Habitué Messages : 808Depuis le 13 juin 2003 Saint-Cloud |
igemo a écrit : le leicaïste est une bonne poire et restera fidèle à la marque comme un bon vieux chien à son maître.Cette affirmation reste à démontrer. Aujourd'hui je m'éclate autant en Fuji en mode manuel qu'auparavant en Leica. Et avec un boitier qui peut prendre des photos avec moins de déchets dans des conditions bien plus délicates. Et je ne parle pas du prix... Stéphane |
M6leica |
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Vieux briscard Messages : 3699Depuis le 17 mars 2012 Bruxelles |
Moi, je resterai fidèle à Leica tout en étant fidèle à Fuji mais également à mes Olympus OM et aux Ricohs GXR, GRII, GRIII. Et si mes moyens me le permettent, je voudrais essayer le futur Sigma FP. L'essayer sans passer par la fastidieuse étape de lire de test, qui m'ont finalement fatigué. Trop de bla-bla! Désormais, je ne perdrai plus le temps avec les testeurs, souvent incapables de faire une seule bonne photo pour démontrer qu'ils connaissent quelque chose en photo! Ma fidélité à Leica est sans faille, oui, seulement Leica me donne la simplicité et les optiques dont je rêve, pour le reste Leica est une marque rempli de contradictions. Bref, avec Leica je dois m'accommoder. C'est certain jamais Leica va produire mon APN de rêve, mais ceci est valable pour tout photographe prof ou amateur. Merci M6Leica. |
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