En conclusion, le Monochrom est un boîtier exceptionnel et la contrainte du noir et blanc pur est la même que celle du film.
C’est donc une question purement philosophique…

Enfin, la technique numérique (Monochrom ou autre) ouvre aussi la liaison vers des procédés anciens, encres au charbon/piézographe,
mais aussi création de négatifs ou de positifs pour tirages contacts, sur papier argentique ou par d'autres procédés comme le platine/palladium.
Je vous dirai sans doute bientôt ce que donne ce trait d'union entre les années 50 (1850) et 2013

. Au final, sur cette piste faite de sels d'argents on peut slalomer, faire de la descente pure ou du hors piste mais le domaine skiable est moins vaste.

j'essaye le paysage en n&b:



mais parfois aussi autre chose:

Kadolor, je n'ai pas d'Imacon non plus mais ce n'est pas tout à fait le sens de ma réflexion. Je ne raisonne pas en terme de qualité pure mais j'essaye de dire que le film place assez naturellement le photographe devant un horizon aux perspectives mieux définies et plus intuitives. Le support "t'accompagnera" même de loin, si j'ose dire.
Le Monochrom lui, peut vite se transformer en labyrinthe sans au préalable une vague idée de la direction à prendre.
Plus que de technique, c'est d'instinct et de fluidité dont il s'agit, donc de sensations et rien qui puisse être démontré par A+B.