Moi non plus je n'utilise pas le liveview ni le focus peaking (je crois l'avoir utilisé une seule fois, néanmoins).
Quant aux boitiers Sony, ils ne font pas toujours bon ménage avec les optiques M, notamment aux grands angles.
Si le M262 était sorti avant l'achat de mon 240, je l'aurais pris !! D'autant plus que je ne regarde que très rarement l'écran arrière (j'expose assez bien, après 50 ans de pratique, et la mise au point télémétrique ne me laisse aucun déchet, ou presque, peut-être 1%?). Le M-D aurait aussi pu faire l'affaire !!

Moi non plus je n'utilise pas le liveview ni le focus peaking (je crois l'avoir utilisé une seule fois, néanmoins).
Quant aux boitiers Sony, ils ne font pas toujours bon ménage avec les optiques M, notamment aux grands angles.
Si le M262 était sorti avant l'achat de mon 240, je l'aurais pris !! D'autant plus que je ne regarde que très rarement l'écran arrière (j'expose assez bien, après 50 ans de pratique, et la mise au point télémétrique ne me laisse aucun déchet, ou presque, peut-être 1%?). Le M-D aurait aussi pu faire l'affaire !!

C'est une jolie formule, mais l'un n'empêche pas l'autre.
Je crois pour ma part que M exige de son propriétaire plus la quasi totalité des appareils disponibles sur le marché (hors moyen et grand format).
M exige d'abord un effort financier important.
Mais celui-ci étant consenti, M est alors l'école de la patience et de l'humilité.
M éduque et dit à son propriétaire comme je le dis à mes fils : "Si tu fais un effort, j'en ferai un aussi. Dans le cas contraire, débrouille toi tout seul". Car M refuse de tout faire tout seul.
M se dévoile à petits pas, ne donnant le meilleur de lui-même qu'après quelques années de vie commune et d'attentions multiples.
Moyennant quoi, soit on adhère, soit on divorce très vite.

M est tout sauf facile. Mais M est généreux.

C'est une jolie formule, mais l'un n'empêche pas l'autre.
Je crois pour ma part que M exige de son propriétaire plus la quasi totalité des appareils disponibles sur le marché (hors moyen et grand format).
M exige d'abord un effort financier important.
Mais celui-ci étant consenti, M est alors l'école de la patience et de l'humilité.
M éduque et dit à son propriétaire comme je le dis à mes fils : "Si tu fais un effort, j'en ferai un aussi. Dans le cas contraire, débrouille toi tout seul". Car M refuse de tout faire tout seul.
M se dévoile à petits pas, ne donnant le meilleur de lui-même qu'après quelques années de vie commune et d'attentions multiples.
Moyennant quoi, soit on adhère, soit on divorce très vite.

M est tout sauf facile. Mais M est généreux.

A mon avis, la correction "yeux rouges" a été un peu trop poussée