La veille nous avions gravi la Barre des Écrins ; nous avions "dormi" au refuge du même nom et, vers 3 h., étions redescendus à Cézanne avant de remonter le glacier Noir puis les pentes inférieures du Coolidge, pour ceux qui connaissent. Après cette longue marche d'approche nous sommes au pied de l'arête.





Mes deux compagnons dans un passage assez délicat. Nous étions en juillet mais le massif était encore bien enneigé


Pas loin de la fin des difficultés


Vers le Nord : les Écrins à gauche, les Agneaux en second plan, et le mauvais temps qui arrive


Vers le Sud : Pic sans Nom, Coup de Sabre, Ailefroide orientale


Vers l'Est : le Pelvoux.

Je reconnais que ce n'est pas le plus court chemin pour aller du refuge des Écrins à la Bérarde. Mais je n'avais vraiment pas envie de repasser par le col des Écrins, dans le sens de la descente...

M2 'Cron 50 Agfachrome

(et, oui, contrairement à celles de la Kodachrome, les couleurs de l'Agfachrome ont acquis de vilaines dominantes...)

CL 'Cron 40 K25

Ce jour là nous avions fait toute la course dans les nuages...


...cet autre jour il faisait grand beau ! Façon "les conquérants de la montagne"











...on peut même, à la descente, offrir quelques petites frayeurs (sous contrôle, bien sûr) à ses camarades de cordée !

CL 'Cron 40 K25

Et mon Mentor, qui m'a appris l'art de l'alpinisme :



III modèle F Hektor 5 cm Isopan FF