Un simple PC comme nous en avons tous pour le traitement, etc.

Je crois qu'une photo tirée plein cadre avec la pellicule est un plus dans ce cas, on sait que le photographe a porter tout sont soin a la prise de vue, on est certain qu'elle n'a pas été recadrée, on est certain que l'on a pas enlever ou ajouter un quelconque objet .Dans le cas de l'argentique j'apparente plus a de l'art pur
monfort

Mais le M8 a tout de même été pensé comme un appareil destiné aux pros et aux amateurs passionés. Il faut passer en raw, traiter ses fichiers et là, c'est une autre paire de manches Il faut du matériel performant, si possible calibré, et surtout; apprendre à s'en servir. On comprend assez vite pourquoi Dido propose des stages

"Pensé pour les pros et les passionnés" n'est pas une excuse pour ne pas savoir sortir tout seul un JPEG normalement pêchu Nous sommes bien d'accord. La magie de Leica, c'est que son long prestige fera d'abord culpabiliser le néophyte sur son inexpérience ou son incurie avant même d'oser incriminer l'outil à la pastille rouge .

Mais inversement, et sans nier qu'il y ait un apprentissage à faire, le post-traitement de base n'est ni trop compliqué ni trop chronophage : Ben voyons, c'est comme en argentique; le Bachelier dans une main, il n'y a plus qu'à faire passer de la lumière à travers le néga, sans oublier de mettre le papier ad hoc en dessous, de tremper dans du révélo, dans du fixateur, rincer, laver, sècher et le tour est joué, on a un tirage niveau expo...


On peut faire mieux et plus soigné, mais il faut aussi que la qualité du photographe à la prise de vue le mérite. Oups, je voulais dire que le numérique ne permet pas de faire de vraies photos bien sûr Le rapport à la forme et au fond reste le même, numérique ou argentique... C'est ce que je tentais d'exprimer. Si l'on veut la qualité, le process et la formation passent par les mêmes contraintes.