i2b, soit le bienvenue sur

Comme le M5 utilise des piles au mercure (bien sur introuvable) il me semble que pour débuter un M6 serait une meilleurs solution. Si c'est pour faire uniquement du noir et blanc, peut-être qu'il serait judicieux d'envisager un M sans cellule.

J'avoue avoir découvert tardivement le M5 lorsque l'on me l'offrit cette année pour mon anniversaire, avant cette affaire j'avais le même préjugé que beaucoup à l'encontre du vilain petit canard et je n'aurais juré que par le M6 (ou MP maintenant) pour un Leica semi auto. Mais ce M58 est très doux, très silencieux, avec un beau viseur qui montre la vitesse affichée (et pas le diaph contrairement à ce que j'ai lu plus haut) et surtout qui permet de suivre le réglage en tournant la molette des vitesse sans quitter la visée des yeux, vu la position affleurante de la dite molette qui va donc s'actionner par l'index déclencheur. La coïncidence des trois répères de mesur de lumière (horizontale, verticale, oblique) tient au génie par rapport aux diodes des successeurs.

Il est noter que selon la notice on ne doit pas mesurer la lumière en cadrage verticale, mais en horizontal avant de faire pivoter l'appareil.

Enfin une fois la vue prise l'alim cellule est coupée et le bras pivotant est en repos.

La transformation pour des piles modernes se fait encore sans problème par exemple à Photo Suffren.