Mon scanneur fétiche depuis quelques années m'a dit que la tendance actuelle de ces clients va vers des films 120 plus que du 24x36mm. Un peu comme si la qualité des téléphones est perçue comme proche de ce qu'on peut avoir avec du 24x36mm. Le MF permettrait de garder une différence visible.

La PKR-64 n'a pas duré longtemps en 120 et je me suis retrouvé il y longtemps avec un stock de film+ dev. inutilisable il y a 25 ans.

Pour moi la Velvia est une très bonne alternative au Kodachrome. Possible enfin que le secret du traitement comprend aussi des composants chimiques hautement nocifs ou devenus hors de prix à exploiter.

Le numérique en 24x36 n'arrive pas a détrôner le film moyen format, n'en déplaise à certains. J'ai également un Fuji GSW690III pour le paysage, mon ordinateur n'est même pas assez puissant pour gérer des 6x9 en 300 DPI... enfin il chauffe quoi... (...)

Je ne suis pas d'accord pour dire que la Velvia est une alternative au kodachrome...En effet la saturation des couleurs était bien présente sur le Kodachrome, mais en terme de contraste elle est beaucoup moins contrasté que le Velvia et je ne parle pas du rendu des couleurs qui n'est pas aussi clinquant que la Velvia. De par son principe de film trichrome à base d'émulsion noir et blanc, le Kodachrome n'a aucun équivalent.

Il y a 10ans j'hésitais pour ce Fuji 6x9 (Texas Leica), j'aurais dû essayer.

Perso, avec le montage du 18mm Super-Elmar sur le M240 j'ai été convaincu de virer:
Ma Technorama 6x12 qui donnait des images trop "bouillie" dans les bords
Mon Blad SWC pas aussi extra que ce que je pensais
Et j'ai failli virer le Blad Distagon 30mm... qui n'a pas d'équivalent géométrique mais présente des choses curieuses hors mise au point.

J'ai largement pratiqué la Kodachrome (surtout la 25asa) dans le années lointaines, je dois dire que si la Velvia 50 (32asa) avait existé en même temps, je l'aurais préférée même si la sous-exposition avec cette pellicule ne pardonne pas.
Il existait aussi un film moins connu mais intéressant pour le rendu des couleurs, c'était l'Agfachrome 50

La floraison des cerisiers est l'occasion pour les japonais d'aller
"voir les fleurs", Hanami ou O-Hanami, en l'occurrence celles des
cerisiers (sakura) dont la brièveté rappelle l'impermanence,
la brièveté de l'existence.
C'est aussi l'occasion de peindre, de photographier, de chanter
et de boire.
Ici, tout d'abord autour des douves du palais impérial puis
au parc de Ueno.

Leica M2 35 et 90 Summicron Canada
K 64