Tiens, on croirait bien que Pirandello s'invite sur summilux...
Amusante, oui, mais dans la limite des masques, des déguisements, du travestissement. Qui évoquent également la quête identitaire, le regard de l'autre, la vérité nue - l'artifice.
Dans une certaine mesure, cette photo est triste à pleurer. A l'instar de cette terrible image saisie par Marielle, au carnaval de Dunkerque (que je me permets de reproduire ici, par association d'idées). Où l'amusement cède à un abîme d'interrogations :
(c. Marielle)
Des oiseaux maladroits, envolés un temps. Et qui rentrent prudemment dans le rang, au petit matin.
But the show must go on, pas vrai Rainer ?...