summilux.net

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Passage de la Vierge

M8 + 75mm

A Saint-Malo

Je pense qu'avec un tel boîtier, c'est presque une injure que de poster
des images de 38Ko (et voilées) sans un minimum de post-production

C'est toute la différence entre une démarche "photographique"
et un "opérateur" qui se contente d'appuyer sur le déclencheur

un exemple à la va-vite:



Ceci était mon interprétation, mais ce qui nous intéresse, c'est TON interprétation, afin que des commentaires plus riches s'ensuivent

Désolé d'être un peu direct, mais fallait que ça sorte

encore un exemple:

quel soft, photoshop? DxO?..., quelle procédure???
sol

3 clics dans un logiciel gratuit, Picasa pour ne pas le nommer

Je suis bien d'accord avec toi Mektoub, mais en même tps, faut pas abuser du contraste!

Bonne photo!

cette image travaillée "claque" bien à l'écran mais ton bleu est peut-être trop éloigné de ce qu'a vu Noctilux
à lui de nous le dire
michel

Merci Michel de défendre les faibles(en couleurs qui claquent à l'écran).

J'aime bien les couleurs qui claquent mais il y a des moments (des photos) où le spectaculaire (les couleurs éclatantes, contrastes à couper le souffle, etc...) tuent la photo. On ne voit que le côté "pub" et passe sur la subtilité des couleurs bien différenciées que permettent justement les cailloux (horriblement chers mais sans équivalents) allemands (ou canadiens pour certains qui ne sont pas les moins bons).

Sans rancune pour la suite:


Plage de Coralejo à Fuerteventura

Sur mon écran je vois bien la différence entre le bleu de la mer (qui est bien nuancé en plusieurs bleus), le ciel et la flèche double sous le chien.

Arnaud

Peut-être que ce détail aurait été mieux à la place de la première ?



Arnaud

Comment choisir le bon train :
.


M8, 'cron 35 Asph.

Concernant le commentaire de Mektoub, je suis bien d'accord avec les propos de Julien L et A. Noctilux concernant les couleurs éclatantes et les contrastes à couper le souffle.

En regardant les revues de photographie, je suis toujours surpris de voir à quel point les images de GÉO ou du NATIONAL GEOGRAPHIC (saturation et contrastes extrèmes) sont devenues une référence incontournable chez les photographes, autant professionnels qu'amateurs, avec pour effet de nous tromper parfois sur la réalité.

Oui, il faut s'assurer de profiter de tout le spectre disponible, mais certainement pas au point de faire d'une prise de vue sous la pluie une journée brumeuse une image qui donne l'impression d'avoir été prise une journée ensoleillée sur le rivage d'une île du Sud...

J'exagère peut-être, mais je vois de plus en plus d'images (et c'est facile avec le numérique) totalement dénaturées, comme le sont à leur manière les cartes postales... avec comme seule motivation de faire pro, comme dans les revues !

C'est malheureux, parce qu'une exploitation juste de l'image devrait nous permettre plutôt de rendre compte le plus fidèlement possible de toutes les subtilités des ambiances disponibles.

Avec la GÉO STANDARDISATION de la photographie, j'ai bien peur qu'on se dirige vers un appauvrissement de la marge de manoeuvre dans le rendu de nos créations.

C'était la réflexion toute humble d'un gars qui habite une région qui a reçu aujourd'hui son 400 cm de neige depuis le début de l'hiver... et ce n'est pas fini.


Marc Nolin
Trois-Rivières

Marc, très belle réflexion.

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M6, 'cron 50, kodachrome 64

D350 35L

une déjà postée, mais il y a si longtemps.....

Crédit est mort ?