
J'ai toujours mon M9 Monochrome, acheté à sa sortie, après avoir eu la chance, grâce à Fabrice Deutscher, de tester le prototype dénommé Henry.
Ni le 246 ni le M10M ne m'ont vraiment séduit pour différentes raisons. Bien sûr, le capteur a été changé, mais l'ensemble est toujours vaillant.
Après une discussion avec M. Palliot au Leicastore Village Royal, je me suis laissé tenter par un essai dont je vous livre quelques images réalisées au cours d'une déambulation bien parisienne.
1. Les fichiers bruts sont spontanément "gris", ce qui n'est pas nouveau.
Comme j'en suis resté à Capture One Pro 22, il n'y a pas de profil M11M...
J'ai essayé les profils Leica Monochome (M9M et M10M) sans voir de différence et j'ai adopté une courbe linéaire avant toute modification.

On arrive cependant très vite à de bons résultats et les fichiers sont très riches...

2. Le M11M possède plusieurs modes de réglage de la cellule et j'ai choisi le mode "protection des hautes lumières".
Les ombres sont très récupérables.

3. La lumière ce jour là était franchement difficile, ciel très nuageux et lumière plombée, plate, avec quelques rayons de soleil, mais...

mon vieux 90 AA qui ne passait pas sur le M10M garde quelques qualités.
4. Le WATE (16-18-21) à 16 se sent bien

5. Belle gamme de gris

6. Jeux

7. Il fait très lourd, mais "Basket ball never stops"

8. Clin d'oeil à Jean-Phillippe

9. Que d'eau, que d'eau

10. Le soleil donne du contraste

11. Bien traduit, même par forte lumière

12. Avec du détail dans les ombres

13. À 32 000 Iso, le M11M craint peu la pénombre

14. Beau modelé

15. Voilà qui ouvre des perspectives

La première impression est bonne...
La finition du M11M est excellente, évidemment, et la finition un peu granitée est très agréable.
La première chose que l'on remarque lorsque l'on vient du M9M est la précision du viseur qui donne un cadre quasi exact.
Le boîtier est très silencieux en mode mécanique et l'image apparaît instantanément sur un LCD parfaitement lisible.
La batterie est parfaitement endurante et j'avoue avoir bien fait joujou d'où l'intérêt du LCD
J'ai utilisé l'exposition manuelle par habitude mais aussi l'exposition automatique qui m'a parue très efficace.
Par contre, et je comprends mieux ce que le testeur de Réponse Photo a voulu exprimer car j'ai eu un certain nombre de cas de perte de netteté par flou de bougé,
y compris à des vitesses élevées. C'est assez déroutant et il faut donc se méfier...
La mise sur le papier donne de superbes images, très détaillées.
J'ai profité d'un prêt assez long pour refaire une sortie avec d'un côté le M9M et de l'autre le M11M.
La comparaison est très intéressante et j'y reviendrai prochainement après avoir un peu médité.
Ni le 246 ni le M10M ne m'ont vraiment séduit pour différentes raisons. Bien sûr, le capteur a été changé, mais l'ensemble est toujours vaillant.
Après une discussion avec M. Palliot au Leicastore Village Royal, je me suis laissé tenter par un essai dont je vous livre quelques images réalisées au cours d'une déambulation bien parisienne.
1. Les fichiers bruts sont spontanément "gris", ce qui n'est pas nouveau.
Comme j'en suis resté à Capture One Pro 22, il n'y a pas de profil M11M...
J'ai essayé les profils Leica Monochome (M9M et M10M) sans voir de différence et j'ai adopté une courbe linéaire avant toute modification.

On arrive cependant très vite à de bons résultats et les fichiers sont très riches...

2. Le M11M possède plusieurs modes de réglage de la cellule et j'ai choisi le mode "protection des hautes lumières".
Les ombres sont très récupérables.

3. La lumière ce jour là était franchement difficile, ciel très nuageux et lumière plombée, plate, avec quelques rayons de soleil, mais...

mon vieux 90 AA qui ne passait pas sur le M10M garde quelques qualités.
4. Le WATE (16-18-21) à 16 se sent bien

5. Belle gamme de gris

6. Jeux

7. Il fait très lourd, mais "Basket ball never stops"

8. Clin d'oeil à Jean-Phillippe

9. Que d'eau, que d'eau

10. Le soleil donne du contraste

11. Bien traduit, même par forte lumière

12. Avec du détail dans les ombres

13. À 32 000 Iso, le M11M craint peu la pénombre

14. Beau modelé

15. Voilà qui ouvre des perspectives

La première impression est bonne...
La finition du M11M est excellente, évidemment, et la finition un peu granitée est très agréable.
La première chose que l'on remarque lorsque l'on vient du M9M est la précision du viseur qui donne un cadre quasi exact.
Le boîtier est très silencieux en mode mécanique et l'image apparaît instantanément sur un LCD parfaitement lisible.
La batterie est parfaitement endurante et j'avoue avoir bien fait joujou d'où l'intérêt du LCD

J'ai utilisé l'exposition manuelle par habitude mais aussi l'exposition automatique qui m'a parue très efficace.
Par contre, et je comprends mieux ce que le testeur de Réponse Photo a voulu exprimer car j'ai eu un certain nombre de cas de perte de netteté par flou de bougé,
y compris à des vitesses élevées. C'est assez déroutant et il faut donc se méfier...
La mise sur le papier donne de superbes images, très détaillées.
J'ai profité d'un prêt assez long pour refaire une sortie avec d'un côté le M9M et de l'autre le M11M.
La comparaison est très intéressante et j'y reviendrai prochainement après avoir un peu médité.