Evidemment, on photographie ce qu'on voit, mais souvent je me dis en face d'une scène que j'essaye de photographier : "si je l'imaginais en peinture, comment serait-elle ?". Souvent, ainsi, je trouve une solution. Les yeux fermés en quelque sorte. Ce qui me fait dire ici, en appliquant la même formule, que j'aurais "peint" la scène sans la mère. Je sais : le mieux est l'ennemi du bien !
