Le contraste : Objectif, pellicule, temps d'exposition, revelateur, papier ou photoshop ?

Bonjour,
Je retourne à l'argentique depuis peu et je cherche un façon optimale de travailler mon noir et blanc.
Je pense développer et scanner chez moi car je suis un peu déçus de mes fichiers issus d'un labo bien connu du nord de paris.
Si je suis revenu à l'argentique c'est en partie pour rechercher une plus grande dynamique, des détails dans les hautes lumières et une douceur des dégradés.
Je n'ai pour le moment que des images JPEG RVB 8bit beaucoup trop contrastées qui font apparaitre des effet de bandes très rapidement lorsque je touche aux niveaux.
J'aimerais obtenir une image avec une immense gamme de gris assez "plate" et choisir mon contraste sur photoshop.
En vidéo c'est le workflow que j'utilise avec les caméras numériques comme l'Alexa : une image plate, peu contrastée dans un espace de couleur "log cinema" mais qui contient une grande dynamique et toutes les infos couleurs dont j'ai besoin pour faire un étalonnage et une colo poussée.
J'aimerais avoir votre avis sur cette grande question du contraste :
Avant même d'être sous photoshop plusieurs éléments entre en jeu, sans compter le sujet photographié évidemment :
l'objectif : certains sont plus contrastés que d'autre, on dit souvent que les meilleurs le sont plus.
le filtre : Les filtres rouge et orangés sont souvent utilisés pour augmenter le contraste.
le film : Tmax vs TriX vs Pan F ... On glorifie aussi les films qui savent rester contrastés à des faibles sensitivités.
Le couple exposition / développement : je n'arrive pas à avoir des infos claires là dessus d’ailleurs (effet de la surex vs la sous ex d'une vue, développement poussé vs retenu)
Le révélateur : ce produit semble aussi influer sur les contrastes !
le papier sous agrandisseur ou celui dans l'imprimante...
Bref,
- Où faites vous votre choix de contraste ?
Pour moi la décision du contraste doit se faire en bout de chaine, au tirage (sous l'agrandisseur ou sous photoshop).
Si un objectif, un film ou un produit me l'augmente en amont cela réduit forcement ma gamme tonale et me laisse moins de liberté.
Je retourne à l'argentique depuis peu et je cherche un façon optimale de travailler mon noir et blanc.
Je pense développer et scanner chez moi car je suis un peu déçus de mes fichiers issus d'un labo bien connu du nord de paris.
Si je suis revenu à l'argentique c'est en partie pour rechercher une plus grande dynamique, des détails dans les hautes lumières et une douceur des dégradés.
Je n'ai pour le moment que des images JPEG RVB 8bit beaucoup trop contrastées qui font apparaitre des effet de bandes très rapidement lorsque je touche aux niveaux.
J'aimerais obtenir une image avec une immense gamme de gris assez "plate" et choisir mon contraste sur photoshop.
En vidéo c'est le workflow que j'utilise avec les caméras numériques comme l'Alexa : une image plate, peu contrastée dans un espace de couleur "log cinema" mais qui contient une grande dynamique et toutes les infos couleurs dont j'ai besoin pour faire un étalonnage et une colo poussée.
J'aimerais avoir votre avis sur cette grande question du contraste :
Avant même d'être sous photoshop plusieurs éléments entre en jeu, sans compter le sujet photographié évidemment :
l'objectif : certains sont plus contrastés que d'autre, on dit souvent que les meilleurs le sont plus.
le filtre : Les filtres rouge et orangés sont souvent utilisés pour augmenter le contraste.
le film : Tmax vs TriX vs Pan F ... On glorifie aussi les films qui savent rester contrastés à des faibles sensitivités.
Le couple exposition / développement : je n'arrive pas à avoir des infos claires là dessus d’ailleurs (effet de la surex vs la sous ex d'une vue, développement poussé vs retenu)
Le révélateur : ce produit semble aussi influer sur les contrastes !
le papier sous agrandisseur ou celui dans l'imprimante...
Bref,
- Où faites vous votre choix de contraste ?
Pour moi la décision du contraste doit se faire en bout de chaine, au tirage (sous l'agrandisseur ou sous photoshop).
Si un objectif, un film ou un produit me l'augmente en amont cela réduit forcement ma gamme tonale et me laisse moins de liberté.