"Workflow" argentico-numérique - besoin de conseil

luu
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Régulier
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Depuis le 22 mars 2007
Idf
En pratique, je pense que les solutions adoptées par chacun sont tributaires de la vitesse d'acquisition des données, un scan pro type Imacon permet de scanner des bandes en un temps record pour avoir un aperçu; je fais ça pour le N&B et les ektas, pour les néga couleur que je pratique assez peu, je préfère donner ça dans un labo en dev plus planche contact, les scans se débrouillent bien en diapo mais en néga le gestion des masques est svt plus problématique et il y a une montée du grain plus difficile à gérer. Après, c'est une question de budget.
Je reste en argentique à 99%, l'archivage numérique, c'est trop compliqué et fastidieux pour moi et j'aime ma table lumineuse et mes planches.
jean-pierre P.
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Spécialiste
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Depuis le 5 nov 2005
Nord
:shock: "Workflow" c'est quoi çà :?: :?:
hugues33
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Depuis le 12 nov 2007
BORDEAUX
workflow = littéralement "flux de travail"

Lorsque l'on applique un traitement à un groupe d'images, on parle de workflow.
Le noir est le refuge de la couleur. Mon Flickr
wo3
    Votre flux de travail ("workflow") avec Leica M argentique
Régulier
Messages : 108
Depuis le 22 août 2014
30
Intervention de modération : merci pour cette contribution, transférée dans un fil assez approprié.

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Bonjour,

Il y a pas mal des possesseurs de Leica M argentique dans le site.

Je voudrais bien connaitre votre processus après avoir terminé le film :ifilm:

Moi, habitué au numerique, fini mon reportage je branche mon appareil au mon ordinateur, et je telecharge avec Lightroom.

Comment ça marche avec l'argentique aujourd'hui ? Vous developez votre film, et puis scanning sur ordinateur... ?

Je vous ecoute.
L’immagine è un’esigenza là dove le parole da sole non bastano.
Olivier S.
Habitué
Messages : 938
Depuis le 23 mai 2007
Région Poitiers
Bonjour,

Après développement du film, je fais une planche contact à l'agrandisseur (j'en ai 60 en retard :???: ). Je sélectionne les vues qui me plaisent et je les scanne en mode raw (sur mon vieil Imacon c'est en "fff"). Je les développe et les imprime en A4. Puis je les observe longuement et j'imprime en A3 celles qui "tiennent": 1) elles sont intéressantes à regarder de près et 2) elles sont intéressantes à regarder de loin et 3) au bout d'un certain temps on a toujours envie de les regarder plus de quelques secondes. En pratique, il y en a peu....
A bon chat, bon rat !
bbjm
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Messages : 43
Depuis le 13 nov 2013
95
Je développe mon film à la maison ou j'ai mon labo.
Environ une heure après c'est sec et je scanne toutes les vues. Je trouve ca plus pratique que les planches contacts pour les visualiser.
Je sélectionne les photos qui me plaisent.
En faisant un peu de post-traitement des fichiers scannés, j'ai une idée des retouches à faire au tirage.
Quand il me prend l'envie, je fais une séance de tirage.
Je ne fais plus trop de tirages de lecture, mais directement des tirages argentique sur baryté le plus souvent.
Didier Quidam
Régulier
Messages : 109
Depuis le 18 oct 2013
Je passe toutes les photos d'un film sur un coolscan 5000 ed à 2000ppi avec le système en batch (~30'), de façon à imprimer toutes les vues sur une page. Puis je rescanne individuellement les photos sélectionnées avec le système manuel (FH-3/MA21) par défaut à 4000 ppi en peaufinant les paramètres, et notamment le positionnement du film.
Un point important pour moi dans ce workflow est le temps de ~murissement avant un tirage final. Sauf chef d'œuvre évident, je laisse passer plusieurs mois avant de procéder à un tirage, ceci afin d'éviter d'accumuler des photos médiocres qui viendront diluer la qualité (if any) de mon stock. C'est beaucoup plus facile après un certain temps d'éliminer des photos qui ont demandé des efforts pour être obtenues(par exemple sommets en montagne) quand on sait qu'il y en a d'autres qui attendent. Et c'est l'occasion de revenir sur d'autres que j'avais éliminées a priori. Mais le prix à payer est le décalage de la découverte de problèmes éventuels visibles seulement à grande échelle.
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