Stock-cars

Depuis plus de vingt ans, tous les dimanches - sous le soleil le plus impitoyable ou un déluge - un groupe d'amateurs passionnés se réunit pour s'affronter dans un enfer mécanique bon enfant.
L'entrée au public ne coûte pas grand chose et les stands vendent boissons et hot-dogs à prix dérisoire car il ne s'agit pas d'une opération purement mercantile, mais plutôt du partage d'une passion touchant tous les âges.
Véritables opérations familiales, on est bien loin des compétitions sponsorisées à outrance. Il y a des femmes qui participent, le plus souvent en soutien moral, mais aussi derrière le volant. Les émulations ne sont pas rares.
Quant au public, il réagit en hurlant dès qu'une action spectaculaire se produit, conspue les commissaires de course lorsque les arrêts se prolongent et avec des éclats de rire généraux, le tout souvent couvert par les rugissements des moteurs à échappement libre.
1.

Il faut avoir le dos solide.
2.

Les compagnes ne sont jamais loin.
3.

Quels derniers réglages...
4.

Sur la grille.
5.

Les regards deviennent sérieux et concentrés.
6.

7.

8.

9.

Et c'est parti dans un boucan d'enfer !
10.

11.

Les premiers chocs ne tardent pas... il s'agit de stock-cars tout de même !
12.

Déjà pas forcément nickel, les bagnoles sont rapidement cabossées au point qu'il devient difficile de les identifier.
13.

Ca crame aussi un peu...
14.

15.

Les sorties de piste - très aidées - sont fréquentes.
16.

Et parfois très spectaculaires. Le public fait un bruit énorme !
17.

Il faut ramasser les pièces qui se baladent sur la piste et qui pourraient se transformer en projectiles. Ici, la technique de transport par brin de foin d'un disque de frein brulant.
18.

Ote-toi de là que je m'y mette...
19.

Abandon...
20.

Plus la compétition avance, plus les coups sont vicieux.
21.

Voici un véhicule en début de course...
22.

...et en fin de journée.
23.

Certains s'en sortent mieux.
24.

La galanterie reste une valeur sûre dans cet univers somme toute chevaleresque.
Voilà. Merci d'avoir regardé. J'espère que ça n'est pas trop long.
Tout ce qui est en grand angle est fait au Leica M9 avec un 18 et les longues focales au Canon 100-400 (il fallait, pour la compression).
L'entrée au public ne coûte pas grand chose et les stands vendent boissons et hot-dogs à prix dérisoire car il ne s'agit pas d'une opération purement mercantile, mais plutôt du partage d'une passion touchant tous les âges.
Véritables opérations familiales, on est bien loin des compétitions sponsorisées à outrance. Il y a des femmes qui participent, le plus souvent en soutien moral, mais aussi derrière le volant. Les émulations ne sont pas rares.
Quant au public, il réagit en hurlant dès qu'une action spectaculaire se produit, conspue les commissaires de course lorsque les arrêts se prolongent et avec des éclats de rire généraux, le tout souvent couvert par les rugissements des moteurs à échappement libre.
1.

Il faut avoir le dos solide.
2.

Les compagnes ne sont jamais loin.
3.

Quels derniers réglages...
4.

Sur la grille.
5.

Les regards deviennent sérieux et concentrés.
6.

7.

8.

9.

Et c'est parti dans un boucan d'enfer !
10.

11.

Les premiers chocs ne tardent pas... il s'agit de stock-cars tout de même !
12.

Déjà pas forcément nickel, les bagnoles sont rapidement cabossées au point qu'il devient difficile de les identifier.
13.

Ca crame aussi un peu...
14.

15.

Les sorties de piste - très aidées - sont fréquentes.
16.

Et parfois très spectaculaires. Le public fait un bruit énorme !
17.

Il faut ramasser les pièces qui se baladent sur la piste et qui pourraient se transformer en projectiles. Ici, la technique de transport par brin de foin d'un disque de frein brulant.
18.

Ote-toi de là que je m'y mette...
19.

Abandon...
20.

Plus la compétition avance, plus les coups sont vicieux.
21.

Voici un véhicule en début de course...
22.

...et en fin de journée.
23.

Certains s'en sortent mieux.
24.

La galanterie reste une valeur sûre dans cet univers somme toute chevaleresque.
Voilà. Merci d'avoir regardé. J'espère que ça n'est pas trop long.
Tout ce qui est en grand angle est fait au Leica M9 avec un 18 et les longues focales au Canon 100-400 (il fallait, pour la compression).