Présentation d'un premier reportage ...
Posté: mercredi 28 août 2013 - 22:50
Bonjour à tous
Après des mois à vous lire, croiser certains d'entre vous et surtout presque un an après l'achat ici même d'un magnifique M2 et son 50mm,
je me décide enfin à vous soumettre quelques images.
J'ai eu l'occasion de travailler plusieurs fois avec l'association Aides, qui est, depuis quelques mois, autorisée à faire réaliser des dépistages au HIV par certains de ses bénévoles formés pour cela.
J'ai donc passé plusieurs heures avec eux, autour du 1er décembre dernier, avec mon M2 dans des conditions de lumière pas toujours faciles. Voilà le résultat :
1 - Pour cette occasion particulière, Aides sort de ses locaux et s'installe en pleine rue, derrière le BHV.
Cela nécessite de la logistique et de l'organisation : barnums, campings cars, signalétique, c'est un stand complet qui est monté chaque jour, avec deux postes de dépistages à l'abri des regards.
2 - La signalétique est particulièrement importante : le dépistage se fait maintenant en 30 min avec un prélèvement de sang au bout d'un doigt, de manière beaucoup plus facile et rapide qu'avant.
3 - A l'intérieur du barnum de dépistage, c'est bien sûr le matériel médical et la sécurité des bénévoles qui sont au coeur des préoccupations.
4 - Pendant tout l'après-midi, un responsable organise l'ordre des dépistages en fonction des arrivées.
Sur ces journées particulières, il n'est pas rare à certaines heures de devoir patienter plus d'une heure pour être dépisté.
5 - Et il arrive qu'il y ait des soucis ; le dépistage est anonyme, les noms donnés ne sont pas toujours les bons, et le froid de ce 1er décembre rend l'écriture un peu moins lisible .
6 - En fin d'après-midi, les "clients" sont nombreux, et la place manque. Les bénévoles s'isolent pour commencer les entretiens à l'abri des oreilles indiscrètes.
Ici, une jeune fille discute avec une bénévole.
7 - Le dépistage et la lecture du résultat sont faits, eux, à l'abri des regards dans le camping-car ou dans un des barnums.
8 - Une grosse partie du travail de ces bénévoles est aussi d'informer, de distribuer des flyers et des tracts d'informations sur le HIV, les MST ou le dépistage, ou de répondre aux questions.
Avec le froid, l'exercice devient un peu plus difficile.
9 - En début de soirée, un calme relatif s'installe sur le stand. Cela ne dure pas longtemps.
10 - En fin de soirée, pendant que certains démontent le stand, c'est rattrapage de paperasse pour les volontaires qui ont fait les dépistages.
11 - Tout sera rangé dans deux véhicules, en attendant le lendemain ... ou la prochaine action.
12 - Démontage, pliage, rangement : malgré l'heure tardive (il est 23h30), c'est aussi l'occasion de se réchauffer en bougeant un peu.
13 - Et c'est l'indispensable débriefing, en pleine rue, à minuit ...
14 - ... mené par le coordinateur local et le responsable de l'action. Une autre journée d'action et de dépistage les attend le lendemain.
Après des mois à vous lire, croiser certains d'entre vous et surtout presque un an après l'achat ici même d'un magnifique M2 et son 50mm,
je me décide enfin à vous soumettre quelques images.
J'ai eu l'occasion de travailler plusieurs fois avec l'association Aides, qui est, depuis quelques mois, autorisée à faire réaliser des dépistages au HIV par certains de ses bénévoles formés pour cela.
J'ai donc passé plusieurs heures avec eux, autour du 1er décembre dernier, avec mon M2 dans des conditions de lumière pas toujours faciles. Voilà le résultat :
1 - Pour cette occasion particulière, Aides sort de ses locaux et s'installe en pleine rue, derrière le BHV.
Cela nécessite de la logistique et de l'organisation : barnums, campings cars, signalétique, c'est un stand complet qui est monté chaque jour, avec deux postes de dépistages à l'abri des regards.
2 - La signalétique est particulièrement importante : le dépistage se fait maintenant en 30 min avec un prélèvement de sang au bout d'un doigt, de manière beaucoup plus facile et rapide qu'avant.
3 - A l'intérieur du barnum de dépistage, c'est bien sûr le matériel médical et la sécurité des bénévoles qui sont au coeur des préoccupations.
4 - Pendant tout l'après-midi, un responsable organise l'ordre des dépistages en fonction des arrivées.
Sur ces journées particulières, il n'est pas rare à certaines heures de devoir patienter plus d'une heure pour être dépisté.
5 - Et il arrive qu'il y ait des soucis ; le dépistage est anonyme, les noms donnés ne sont pas toujours les bons, et le froid de ce 1er décembre rend l'écriture un peu moins lisible .
6 - En fin d'après-midi, les "clients" sont nombreux, et la place manque. Les bénévoles s'isolent pour commencer les entretiens à l'abri des oreilles indiscrètes.
Ici, une jeune fille discute avec une bénévole.
7 - Le dépistage et la lecture du résultat sont faits, eux, à l'abri des regards dans le camping-car ou dans un des barnums.
8 - Une grosse partie du travail de ces bénévoles est aussi d'informer, de distribuer des flyers et des tracts d'informations sur le HIV, les MST ou le dépistage, ou de répondre aux questions.
Avec le froid, l'exercice devient un peu plus difficile.
9 - En début de soirée, un calme relatif s'installe sur le stand. Cela ne dure pas longtemps.
10 - En fin de soirée, pendant que certains démontent le stand, c'est rattrapage de paperasse pour les volontaires qui ont fait les dépistages.
11 - Tout sera rangé dans deux véhicules, en attendant le lendemain ... ou la prochaine action.
12 - Démontage, pliage, rangement : malgré l'heure tardive (il est 23h30), c'est aussi l'occasion de se réchauffer en bougeant un peu.
13 - Et c'est l'indispensable débriefing, en pleine rue, à minuit ...
14 - ... mené par le coordinateur local et le responsable de l'action. Une autre journée d'action et de dépistage les attend le lendemain.