En convoi, de Djibouti au Sud de l'Ethiopie

Pendant 10 jours, j'ai eu la chance de pouvoir suivre un convoi routier entre Djibouti et le Sud de l'Ethiopie (1900 kilomètres tout de même).
Entre rencontres inattendues (des chameaux, un prêtre orthodoxe, des jeunes filles de la vallée de l'Omo) et paysages magnifiques et variés (montagnes, savanes et plaines désertiques) le voyage fut rempli d'émotions et riche en occasions photographiques: un régal!
Tout commença à Djibouti, entre le port, le port sec et une base de stockage. Les camions furent chargés, le convoi constitué, les formalités accomplies avant que le convoi ne s'élança dans le désert de sable et de cailloux. Première rencontre: les chameaux, incontournables dans le coin.
Après le désert djiboutien, s'enchaînèrent les collines, plaines et montagnes éthiopiennes. Le convoi y avança doucement mais sûrement, sous la direction attentive du chef de convoi, qui ouvrait la voie. Son assistant jouait les voitures balais, parfois à un kilomètre de là, voire plus. Une crevaison au pied d'une minuscule église fut l'occasion d'un moment hors du temps avec un curé orthodoxe, adorable vieillard très bavard qui se répandit en bénédictions.
Au fur et à mesure des kilomètres, la température monta et les paysages changèrent. Lors d'une pause au milieu de nulle part, de fiers représentants du peuple Omo vinrent à notre rencontre, dont ces deux jeunes filles.
Le périple toucha à sa fin dans un coin désertique au possible et sous les coups cinglants d'un soleil omniprésent. Dans la zone bien gardée par l'armée éthiopienne, les camions furent consciencieusement déchargés et repartirent un par un vers un nouveau chargement...
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M8
Elmarit 28 asph
Mak.
Entre rencontres inattendues (des chameaux, un prêtre orthodoxe, des jeunes filles de la vallée de l'Omo) et paysages magnifiques et variés (montagnes, savanes et plaines désertiques) le voyage fut rempli d'émotions et riche en occasions photographiques: un régal!
Tout commença à Djibouti, entre le port, le port sec et une base de stockage. Les camions furent chargés, le convoi constitué, les formalités accomplies avant que le convoi ne s'élança dans le désert de sable et de cailloux. Première rencontre: les chameaux, incontournables dans le coin.
Après le désert djiboutien, s'enchaînèrent les collines, plaines et montagnes éthiopiennes. Le convoi y avança doucement mais sûrement, sous la direction attentive du chef de convoi, qui ouvrait la voie. Son assistant jouait les voitures balais, parfois à un kilomètre de là, voire plus. Une crevaison au pied d'une minuscule église fut l'occasion d'un moment hors du temps avec un curé orthodoxe, adorable vieillard très bavard qui se répandit en bénédictions.
Au fur et à mesure des kilomètres, la température monta et les paysages changèrent. Lors d'une pause au milieu de nulle part, de fiers représentants du peuple Omo vinrent à notre rencontre, dont ces deux jeunes filles.
Le périple toucha à sa fin dans un coin désertique au possible et sous les coups cinglants d'un soleil omniprésent. Dans la zone bien gardée par l'armée éthiopienne, les camions furent consciencieusement déchargés et repartirent un par un vers un nouveau chargement...
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