Shocking !?

Le reportage, c'est d'une certaine façon une intrusion (du photographe) dans le subjectif du "sujet". Ce dernier va alors réagir à sa façon à l'intrusion, en composant, en ignorant, ...
Avec un appareil photo, ce syndrome est inévitable. C'est une mise en scène.
D'où une interrogation : comment construire une vision de son rapport aux autres sans le mettre en scène ?
Depuis quelques mois, je fréquente la ligne B du RER "aux heures de pointe", tôt le matin, retour vers 19h. Ceux qui connaissent comprendront. Mais comment raconter ces voyages dont la répétition confine à une forme d'initiation ?
Alors une idée m'est venue. Hors de question de trimballer un appareil photo, de viser, faire la lumière, ... Trop incongru. Je me fonds donc dans la foule. Trouvez comment...
Et je moissonne quelques clichés par ci par là... Je vous donne un exemple, pas stocké sur summilux bien sûr, qui n'a pas vocation à rester... Une forme de reportage éphémère. Votre avis ?

Avec un appareil photo, ce syndrome est inévitable. C'est une mise en scène.
D'où une interrogation : comment construire une vision de son rapport aux autres sans le mettre en scène ?
Depuis quelques mois, je fréquente la ligne B du RER "aux heures de pointe", tôt le matin, retour vers 19h. Ceux qui connaissent comprendront. Mais comment raconter ces voyages dont la répétition confine à une forme d'initiation ?
Alors une idée m'est venue. Hors de question de trimballer un appareil photo, de viser, faire la lumière, ... Trop incongru. Je me fonds donc dans la foule. Trouvez comment...
Et je moissonne quelques clichés par ci par là... Je vous donne un exemple, pas stocké sur summilux bien sûr, qui n'a pas vocation à rester... Une forme de reportage éphémère. Votre avis ?
