Bangkok: Espoirs déçus.

Bonjour à toutes et à tous. Voici enfin la série promise sur Bangkok.
Ces images ont été prises entre les 1er et le 5 juillet derniers, à Bangkok, au cours de mes pérégrinations à travers la ville. C'était mon premier contact Asie du Sud-Est. La destination principale de mon voyage était le Laos, mais en tout, sur une période de deux mois, j'ai bien dû passer 15 jours dans cette ville fascinante.
Ce qui m'a le plus marqué c'est la confrontation parfois assez brutale de deux mondes: l'extrême richesse et l'extrême pauvreté. En effet, contrairement à un certain nombre de pays que j'avais déjà pu visiter, la Thaillande, et Bangkok en particulier, peut apparaître comme un temple de la société de consommation, très occidentalisée à ce point de vue, tout en laissant une majorité de la population vivre avec le salaire minimum (voire moins) qui est de 200 baths par jour, soit environ 4 euros.
C'est cet écart entre le rêve de richesse que cela suscite chez la plupart des gens, et la réalité qui est toute autre que j'ai voulu montrer dans ce reportage assez sombre.
Le centre ville de Bangkok est un impressionnant entrelac d'autoroutes, d'avenues immenses, de métros aériens et de passerelles.
Autoroute urbaine, près de Thanon Silom.
Des passerelles qui permmettent de relier entre-eux les plus grands centres commerciaux qu'il m'ait été donné de voir.
MBK Shopping center.
Des magasins où une partie de la jeunesse passe son temps libre.
Lycéennes dans un bus en direction de Siam Square, quartier commercial.
Mais cette abondance et apparente insouciance n'est pas le lot de tous.
Jeune sans abri endormi après avoir sniffé de la colle.
Pour la grande majorité des habitants de Bangkok, la seule perspective quotidienne est celle d'un dur labeur.
Face à la machine, menuiserie environs de Thanon Boriphat.
Et ce, sans possibilité de s'arrêter avant que le corps lui-même ne le permette plus.
Ponçage, menuiserie environs de Thanon Boriphat.
Perdre sa vie à la gagner, menuiserie environs de Thanon Boriphat.
D'autres encore, en sont réduits à ramasser les ordures pour (sur)vivre.
Fantôme, China town.
Famille recyclant les cartons, Soi Ekkamai, à quelques minutes à pied du quartier des ambassades...
A proximité, pourtant, malgré la misère, ou peut-être à cause d'elle, des fillettes étudient. L'éducation apparaîsant comme un moyen de s'en sortir.
Famille musulmane devant sa maison d'environ 10 m² où vivent au moins cinq personnes, Soi Ekkamai.
Dans cette ville, l'activité ne semble jamais s'arrêter, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit. Jusqu'aux petites heures du matin on peut voir des gens tenir des stands dans la rue pour assurer leur revenu.
Vendeuses de nourriture jusqu'au milieu de la nuit, China town.
Tuk-tuks, Thanon Yaowarat.
Beaucoup sont ceux qui rêvent de vivre mieux, alors, à Bangkok comme ailleurs, les vendeurs d'espoir font recette.
Vendeurs de billets de loterie, Banglamphu.
Mais il y a bien peu d'élus.
Espoirs déçus, devant le panneau affichant les résultats, Banglamphu.
Certains essayent de s'abstraire de cette dure réalité.
Danseurs hip-hop, parc du Sumen Fort.
Mais il est difficile de s'en échapper.
Femmes mangeant seules, échoppe de nouille, Banglamphu.
Ces images ont été prises entre les 1er et le 5 juillet derniers, à Bangkok, au cours de mes pérégrinations à travers la ville. C'était mon premier contact Asie du Sud-Est. La destination principale de mon voyage était le Laos, mais en tout, sur une période de deux mois, j'ai bien dû passer 15 jours dans cette ville fascinante.
Ce qui m'a le plus marqué c'est la confrontation parfois assez brutale de deux mondes: l'extrême richesse et l'extrême pauvreté. En effet, contrairement à un certain nombre de pays que j'avais déjà pu visiter, la Thaillande, et Bangkok en particulier, peut apparaître comme un temple de la société de consommation, très occidentalisée à ce point de vue, tout en laissant une majorité de la population vivre avec le salaire minimum (voire moins) qui est de 200 baths par jour, soit environ 4 euros.
C'est cet écart entre le rêve de richesse que cela suscite chez la plupart des gens, et la réalité qui est toute autre que j'ai voulu montrer dans ce reportage assez sombre.
Le centre ville de Bangkok est un impressionnant entrelac d'autoroutes, d'avenues immenses, de métros aériens et de passerelles.

Autoroute urbaine, près de Thanon Silom.
Des passerelles qui permmettent de relier entre-eux les plus grands centres commerciaux qu'il m'ait été donné de voir.

MBK Shopping center.
Des magasins où une partie de la jeunesse passe son temps libre.

Lycéennes dans un bus en direction de Siam Square, quartier commercial.
Mais cette abondance et apparente insouciance n'est pas le lot de tous.

Jeune sans abri endormi après avoir sniffé de la colle.
Pour la grande majorité des habitants de Bangkok, la seule perspective quotidienne est celle d'un dur labeur.

Face à la machine, menuiserie environs de Thanon Boriphat.
Et ce, sans possibilité de s'arrêter avant que le corps lui-même ne le permette plus.

Ponçage, menuiserie environs de Thanon Boriphat.

Perdre sa vie à la gagner, menuiserie environs de Thanon Boriphat.
D'autres encore, en sont réduits à ramasser les ordures pour (sur)vivre.

Fantôme, China town.

Famille recyclant les cartons, Soi Ekkamai, à quelques minutes à pied du quartier des ambassades...
A proximité, pourtant, malgré la misère, ou peut-être à cause d'elle, des fillettes étudient. L'éducation apparaîsant comme un moyen de s'en sortir.

Famille musulmane devant sa maison d'environ 10 m² où vivent au moins cinq personnes, Soi Ekkamai.
Dans cette ville, l'activité ne semble jamais s'arrêter, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit. Jusqu'aux petites heures du matin on peut voir des gens tenir des stands dans la rue pour assurer leur revenu.

Vendeuses de nourriture jusqu'au milieu de la nuit, China town.

Tuk-tuks, Thanon Yaowarat.
Beaucoup sont ceux qui rêvent de vivre mieux, alors, à Bangkok comme ailleurs, les vendeurs d'espoir font recette.

Vendeurs de billets de loterie, Banglamphu.
Mais il y a bien peu d'élus.

Espoirs déçus, devant le panneau affichant les résultats, Banglamphu.
Certains essayent de s'abstraire de cette dure réalité.

Danseurs hip-hop, parc du Sumen Fort.
Mais il est difficile de s'en échapper.

Femmes mangeant seules, échoppe de nouille, Banglamphu.