summilux.net

Bonjour,

Nouveau sur le forum et heureux propriétaire d'un M9 avec cron 35mm depuis samedi dernier. Je viens de faire ma première série dans une église près de chez moi . Je profite du fil pour vous poser une petite question :
Y'a t'il une différence d'un point de vue technique et rendu entre le N&B du M9 (régler sur l'appareil) et le N&B d'un RAW shooter en couleur mais désaturé sur ordinateur ?

Je vous fais partager :

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Bonsoir,

Juste ne ptite remarque: c'est grisou, va falloir remonter les points extrêmes de ton histogramme et donner un bon coup de contraste.
Tu as des cadrages interessants, je pense que ca mérite un meilleur post traitement.

Pour ta question, je n'ai pas de M9 mais bon, je fais toujours les prises de vues en couleurs puis après je la passe en noir et blanc.
Beaucoup plus souple et ça permet de revenir en arrière sur une image qui marche mieux en couleur.

Mon choix: 2, 5, 12, 16, 17

A+
Sébastien

pareil qu'au dessus :
trop grisouille dans l'ensemble.
Le mieux est de prendre les photos en raw couleur et de les convertir en n/b. la desaturation n'est pas la meilleure solution. le mieux est de jouer sur les couches ou d'utiliser des softs spécifiques tel que silver effect.
sinon série très cohérente.

salut,

je trouve qu'il n'y a pas de cohérence entre tes photos et certaines n'ont pas d'intérêt ou sont sans sens. Dommage

J'aime beaucoup ce reportage de ce monde qui m'est étrange. Il y a aussi quelques beaux portraits (la 15!).

En ce qui concerne le traitement n/b, je le trouve bien adapté à l'ambiance, après tout ce n'est pas un concert rock



Oui, bien sur, car ce que tu sors du M9 est déjà un jpg, donc tu te prives de toutes les adaptations et paufinages possibles. C'est autant plus intéressant au n/b, qui donne pas mal de possibilités de trouver un rendu adapté à ton sujet.

Pour ma part, je suis touché par la 12 et la 15.

La 12 m'amène à me demander dans quelles pensées cet homme est plongé. Il semble porté vers la perplexité, et son environnement (celui visible à l'image) vide de présence humaine renforce l'impression qu'il fait sur moi.

La 15, quant à elle, retient mon attention par le triangle que forment le visage de cet organiste, la lumière de sa lampe, et la multiprise au sol. Une sorte de triangle incongru, entre ce visage intemporel, cette lumière un peu violente, et l'aspect "bricolo" de la multiprise, le tout sur fond de boiseries et de pierres qui en ont vu bien d'autres.