Dimanche glacé
Posté: mardi 24 octobre 2006 - 21:25C'était le premier week-end d'octobre, un dimanche pourri sauf dans le massif du Mont-Blanc. Le mauvais temps venait de chez les champions du monde donc le foehn retardais l'arrivée de la pluie. J'ai donc décidé de vous emmener en ballade, direction le refuge du couvercle ou de leschaux, on verra avec retour dès qu'il pleut. Summilux oblige j'ai mis dans la sac le MP mon 28mm et de la Kodak E200.
Au début du siècle dernier il y a des zozos qui se sont embêtés à construire un train pour aller voir la mer de glace, 900 mètres de dénivelé en moins à faire, faut pas se priver, allez hop en voiture.
Au terminus il pleut on va essayer de forcer le destin sachant qu'il y a une éclaircie sur le Grand-Charmoz.
Pour commencer cela descend, on va la remonter jusqu'à buter sur l'aiguille du Tacul au fond puis prendre à gauche sur le glacier de Leschaux, voilà la bête.
Comme les glaciers fondent il faut descendre une centaines de mètres d'échelle. Gardez-en sous le pied la remonté ça fait les cuisses.
Ca y est on marche sur la mer. Sur un glacier tout est en équilibre précaire donc on ne s'appuie par sur les gros cailloux.
Les Drus chatouillent les nuages.
Allez, c'est là bas au fond
eau pas dans les caniveaux de paris
Une éclarcie fait flamber le granit fauve
Là c'était au départ une dépression de laquelle sont venu s'accumuler des débris morainique. Ces débris font office de couverture isolante, la glace fond moins vite et cela donne des formes originales.
Une gouille et un champignon
Sur un glacier coule de véritable torrent, les bédières. Le débit varie en été de manière importante au cours d'une journée chaude, c'est impressionnant à voir. Elles finissent toujours dans un moulin sorte de puit où l'eau passe sous le glacier. La couleur de la glace provient soit du sable saharien amené par les flux de sud, soit d'algues qui colonisent la glace.
La dent du Géant pris dans la tempête daigne se montrer. A cet endroit il y a 400 mètres de glace environ.
Ca y est la pluie arrive j'vous aime bien mais de là à marcher des heures sous la flotte faut pas pousser. Au premier plan une curiosité pas granitique: le parpin.
C'est la fin des haricots
Y en à marre de contourner les crevasses, hop saut de crevasse au MP
Voilà retour dans la vallée au début de l'après-midi, y a plus qu'à regarder Drucker, triste fin
Au début du siècle dernier il y a des zozos qui se sont embêtés à construire un train pour aller voir la mer de glace, 900 mètres de dénivelé en moins à faire, faut pas se priver, allez hop en voiture.
Au terminus il pleut on va essayer de forcer le destin sachant qu'il y a une éclaircie sur le Grand-Charmoz.
Pour commencer cela descend, on va la remonter jusqu'à buter sur l'aiguille du Tacul au fond puis prendre à gauche sur le glacier de Leschaux, voilà la bête.
Comme les glaciers fondent il faut descendre une centaines de mètres d'échelle. Gardez-en sous le pied la remonté ça fait les cuisses.
Ca y est on marche sur la mer. Sur un glacier tout est en équilibre précaire donc on ne s'appuie par sur les gros cailloux.
Les Drus chatouillent les nuages.
Allez, c'est là bas au fond
eau pas dans les caniveaux de paris
Une éclarcie fait flamber le granit fauve
Là c'était au départ une dépression de laquelle sont venu s'accumuler des débris morainique. Ces débris font office de couverture isolante, la glace fond moins vite et cela donne des formes originales.
Une gouille et un champignon
Sur un glacier coule de véritable torrent, les bédières. Le débit varie en été de manière importante au cours d'une journée chaude, c'est impressionnant à voir. Elles finissent toujours dans un moulin sorte de puit où l'eau passe sous le glacier. La couleur de la glace provient soit du sable saharien amené par les flux de sud, soit d'algues qui colonisent la glace.
La dent du Géant pris dans la tempête daigne se montrer. A cet endroit il y a 400 mètres de glace environ.
Ca y est la pluie arrive j'vous aime bien mais de là à marcher des heures sous la flotte faut pas pousser. Au premier plan une curiosité pas granitique: le parpin.
C'est la fin des haricots
Y en à marre de contourner les crevasses, hop saut de crevasse au MP
Voilà retour dans la vallée au début de l'après-midi, y a plus qu'à regarder Drucker, triste fin
