Posté: dimanche 1 octobre 2017 - 15:58
Je n'ai pas trouvé de fil sur le sujet, bien que certains Summiluxiens comme Philippe Grunchec l'aient photographié avec talent !
J'ai toujours eu envie d'aller visiter ce site et j'ai eu la possibilité de le faire ce samedi.
Le Désert de Retz est un jardin "anglo-chinois" créé à la fin du XVIIIe siècle par François-Nicolas-Henri Racine de Monville
qui a a acheté le domaine en 1774.
Il est aujourd’hui l’un des rares à subsister dans une forme proche de sa création d’origine.
Son propriétaire-créateur le nomma Désert, à l’instar de l’Alceste du Misanthrope de Molière,
pour évoquer ces endroits solitaires où, dès le XVIIe siècle on aimait à se retirer et à recevoir sans étiquette.
Établi dans un domaine de 40 hectares situé en bordure nord de la forêt de Marly, à Saint-Jacques-de-Roye (ou de Retz),
dans la commune de Chambourcy, le Désert de Retz tirait son originalité de ses dix-sept fabriques et de ses essences rares importées des quatre coins du monde.
Le site connu de multiples péripéties de la Révolution jusqu'à nos jours et, seuls,
les 20 hectares rétrocédés à la commune de Chambourcy par le Golf de Joyenval sont aujourd’hui accessibles au public.
Les visites se font de d'avril à octobre un samedi sur deux sur inscription auprès de la mairie de Chambourcy
(http://www.chambourcy.fr/culture-patrim ... rt-de-retz).
Les visites sont guidées par des bénévoles.
J'avais prévu de photographier en argentique en MF mais le temps n'était guère encourageant au lever
et j'ai donc pris le SL = 1,4/35 R et 2/90 R AA, la conversion en noir et blanc remplaçant le Rollei 400 S que j'avais l'intention de tester.
1. La tente de Tartarie sert de toile de fond aux feuillages chargés d'eau...
2. Hommage au Blad en forme de reflets
3. L'eau est omniprésente et auprès de cette pièce d'eau se tenait un maison chinoise en teck
qui a fini de s'effondrer dans les années 60.
Les plans qui subsistent laisse supposer qu'elle devait être magnifique
4. Le domaine contient des essences rares et lors de l'inventaire révolutionnaire,
une partie des collections a rejoint les collections nationales.
Ici, un sequoia géant...
5....voisine avec un catalpa assez banal et une petite ruine
6. Le site est assez vallonné et offre différents points de vue sur la "colonne détruite" qui est l'emblème du lieu
7. On l'aperçoit sous différents angles
8. Et différentes trouées...
9. Voire de près
10 La glacière a été transformée en pyramide sous les bois,
Siècle des Lumières et Maçonnerie obligent, avant l'égyptomanie.
11. Les vestiges de l'église sont bien dans l'esprit de Hubert Robert,
voire de David-Kaspar Friedrich
12. Retour au point de départ
Un tel endroit ne se maîtrise pas en une fois et j'espère bien retourner.
J'espère que ce fil donnera envie de poster à ceux qui y sont déjà allés
J'ai toujours eu envie d'aller visiter ce site et j'ai eu la possibilité de le faire ce samedi.
Le Désert de Retz est un jardin "anglo-chinois" créé à la fin du XVIIIe siècle par François-Nicolas-Henri Racine de Monville
qui a a acheté le domaine en 1774.
Il est aujourd’hui l’un des rares à subsister dans une forme proche de sa création d’origine.
Son propriétaire-créateur le nomma Désert, à l’instar de l’Alceste du Misanthrope de Molière,
pour évoquer ces endroits solitaires où, dès le XVIIe siècle on aimait à se retirer et à recevoir sans étiquette.
Établi dans un domaine de 40 hectares situé en bordure nord de la forêt de Marly, à Saint-Jacques-de-Roye (ou de Retz),
dans la commune de Chambourcy, le Désert de Retz tirait son originalité de ses dix-sept fabriques et de ses essences rares importées des quatre coins du monde.
Le site connu de multiples péripéties de la Révolution jusqu'à nos jours et, seuls,
les 20 hectares rétrocédés à la commune de Chambourcy par le Golf de Joyenval sont aujourd’hui accessibles au public.
Les visites se font de d'avril à octobre un samedi sur deux sur inscription auprès de la mairie de Chambourcy
(http://www.chambourcy.fr/culture-patrim ... rt-de-retz).
Les visites sont guidées par des bénévoles.
J'avais prévu de photographier en argentique en MF mais le temps n'était guère encourageant au lever
et j'ai donc pris le SL = 1,4/35 R et 2/90 R AA, la conversion en noir et blanc remplaçant le Rollei 400 S que j'avais l'intention de tester.
1. La tente de Tartarie sert de toile de fond aux feuillages chargés d'eau...
2. Hommage au Blad en forme de reflets
3. L'eau est omniprésente et auprès de cette pièce d'eau se tenait un maison chinoise en teck
qui a fini de s'effondrer dans les années 60.
Les plans qui subsistent laisse supposer qu'elle devait être magnifique
4. Le domaine contient des essences rares et lors de l'inventaire révolutionnaire,
une partie des collections a rejoint les collections nationales.
Ici, un sequoia géant...
5....voisine avec un catalpa assez banal et une petite ruine
6. Le site est assez vallonné et offre différents points de vue sur la "colonne détruite" qui est l'emblème du lieu
7. On l'aperçoit sous différents angles
8. Et différentes trouées...
9. Voire de près
10 La glacière a été transformée en pyramide sous les bois,
Siècle des Lumières et Maçonnerie obligent, avant l'égyptomanie.
11. Les vestiges de l'église sont bien dans l'esprit de Hubert Robert,
voire de David-Kaspar Friedrich
12. Retour au point de départ
Un tel endroit ne se maîtrise pas en une fois et j'espère bien retourner.
J'espère que ce fil donnera envie de poster à ceux qui y sont déjà allés