Posté: dimanche 27 septembre 2015 - 19:55
Bonjour
Imaginons qu’un photographe gravement fêlé ai choisi d'user une pellicule de trente six poses par journées de douze heures au cours de quarante années de dur labeur, le malheureux aurai appuyé cinq cent vingt cinq mille six cent fois sur le déclencheur de son appareil photographique.
En estimant que la moyenne des temps de pose ait été de 0,250 secondes, le pauvre homme aura consacré trente deux mille huit cent cinquante secondes à cette tâche autant ingrate que répétitive. Soit cinq cent quarante sept minutes et trente secondes chrono. En allant au plus court, neuf journées et demi de veille consacrée à cette éreintante activité.
Ramené aux quatorze mille six cent journées de douze heures ou aux six cent trente million de secondes de cette banale existence, nous pourrions déclarer sans trop nous avancer que le temps de la pose, en photographie, est une coquille de noix dans le déluge des civilisations.
Raymondo
Imaginons qu’un photographe gravement fêlé ai choisi d'user une pellicule de trente six poses par journées de douze heures au cours de quarante années de dur labeur, le malheureux aurai appuyé cinq cent vingt cinq mille six cent fois sur le déclencheur de son appareil photographique.
En estimant que la moyenne des temps de pose ait été de 0,250 secondes, le pauvre homme aura consacré trente deux mille huit cent cinquante secondes à cette tâche autant ingrate que répétitive. Soit cinq cent quarante sept minutes et trente secondes chrono. En allant au plus court, neuf journées et demi de veille consacrée à cette éreintante activité.
Ramené aux quatorze mille six cent journées de douze heures ou aux six cent trente million de secondes de cette banale existence, nous pourrions déclarer sans trop nous avancer que le temps de la pose, en photographie, est une coquille de noix dans le déluge des civilisations.
Raymondo