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Je viens d'acquérir un 6X6, un Yashica 124 G . Quelqu'un sur le site m'en avait donné envie avant de jouer au yoyo avec le prix.

Je n'ai jamais développer de film 120. Je vais pas changer mes process : ça va être Tri-x et D-76 selon Jules. Par contre, je m'interroge beaucoup sur la bande de papier qui couvre le négatif. Y a t-il une technique particulière pour l'enlever au moment de développer ? Où suffit t-il de tirer dessus ? Toutes les suggestions sur le film 120 seront appréciées.

La bande papier est seulement plaquée le long du film, et enroulée "en sandwich" avec lui. Elle est collée à une extremité ( à la fin du rouleau exposé) sur une bande d'environ d'1/2 cm de largeur. Il suffit de tirer lentement pour la décoller. Je dis lentement, parcequ'en allant trop vite, j'ai pu observer sur certains films que ça peut produire un peu de lumière d'origine electrosatique.
Je crois savoir que certains l'otent avant le chargement en spire, mais pour éviter de trop mettre mes doigts de partout je le fais à la fin du chargement, quand le film est majoritairement sur la spire.
Globalement ça ne pose aucun problème.

Pas de quoi s'affoler... Tu bobines le film sur la spire en le séparant au fur et à mesure de la bande de papier. Tout au bout ils sont collés l'un à l'autre, on les sépare très facilement.
Si tu utilises des spires type Paterson la difficulté, je pense, est d'acquérir le coup pour bien faire pénétrer le début du film sur la spire. Pour cela il faut veiller à tendre le film latéralemnt (sur sa largeur) .

Pour bien faire pénétrer le film sur une spire Paterson en plus du conseil de Jean Pierre P ci dessus , je coupe les coins de mon film sur quelques millimètres avant de le rentrer dans la spire .
Cela fait office de petit chanfrein et le film ne se coincera pas quand tu l'enroulera .
Sinon il vaut mieux séparer la bande de papier du film quand celui ci est bobiné ça évite les traces de doigt et les rayures .

Bon courage

oui, le plus gros problème c'est le début du bobinage, il faut guider la peloche sur une bonne dizaine de centimètres. souvent elle a tendance à sortir, pour cela que jene coupe pas les coins. pour le papier, je l'enlève aussi au fur et à mesure, je n'ai jamais vu de traces ou rayures... cela me rassures : en cas de problème je peux rembobiner, mais c'est idiot car on peut aussi mettre le film en vrac dans la cuve sans la spire, et allumer la lumière. Ce qu'il faut c'est surtout bien rembobiner, faire des tours et des tours de manivelle dans le boitier pour que le film s'enroule et se serre bien sur lui même, au début je ne le faisais pas assez et j'avais des traces de voile de lumière. les EKFES vendues par photoimpex sont livrés dans des boites plastiques comme les 24x36, trés pratiques, plus de poussières, pas de jour (elle sont noires ), car le risque principal de traces et autres et entre l'appareil et le labo, un sachet proptécteur de papier labo noir me semble pratique et propre.

....je coupe pas les bouts nonplus. des fois ca va comme sur des roulettes et des fois c'est limite que j'envoi tout valser mais c'est rare. avec un peu de patience et un chouia de technique ca entre.
j'ai trouver un moyen de coincer la spire contre mon bide en la tennant par l'interieur et utiliser la main qui coince la bebette egalement pour tenir et tirer le debut du film......je pas si c'est claire ca

bobiner du 6/6 sur spire Parerson c'est une vraie galère ! glisser la bobine entre les genoux , c'est un bon plan: il faut s'assoir , la chaise devient utile !parfois je'amorce le film sur la spire en conservant la bande collée sur le film , j'ai l'impression que cela rigidifie un peu le début du film , finalement le 24/36 >>c'est plus facile
d'autre cuve à proposer ?

les doigts sur le support c'est inévitable avec du 120 ...l'important c'est de ne pas toucher le côté émulsion

la jobo ( série 1000 ou autre en plastique ) est plus facile que la paterson

les spires en inox ou il faut introduire le film au centre ça ne va pas du tout !

Je n'ai pas encore reçu mon Yashica, mais je me suis procuré quelques TRI-X 120 et j'en ai sacrifier une pour m'entrainer. Avec ma bobine Paterson, je n'ai pas vraiment vu de différence qu'avec un film 35. En y allant lentement, aucun problème et du premier coup les yeux fermés. Le papier s'enlève tout seul. Du coup je commençais presque à regretter d'avoir sacrifier un film. Sauf que ma Paterson qui est prévue pour un seul film 35 ne ferme pas avec la bobine déployer en mode 120 à l'intérieur. Je vais donc être quitte pour m'acheter une plus grande cuve.

....je viens de faire une (pour tester la polaris que j'ai en prêt) et ca allait tout seul aussi mais crois moi, si c'est commeca le plus souvent, c'est pas TOUJOURS le cas mais même si ca passe pas toujours le premier coup j'ai pas encore perdu de film....alors, vive le moyen format (aussi)

Je viens d'en réussir une après avoir bu une bouteille de vin Je m'épate, je m'épate

Un conseil pour ceux qui veulent économiser chimie et manipulations : ne pas hésiter à bobiner deux films 120 l'un derrière l'autre, pour exploiter à fond le développement de la spire... 8)

Jadis autrefois dans ma jeunesse j'ai fait ça! mais comment fais tu pour éviter que, lors de l'agitation par rotation tes 2 films ne viennent partiellement se superposer et "coller" perdant ainsi une à 2 vues? Perso je mettais un bout d'adhésif pour les tenir bout à bout .... mais ce n'est pas sans risque et je n'ai pas connaissance de butée réglable ....

Alain

On bobine le premier à fond. Puis le second : quand il est entré en entier, il y a encore un peu de marge pour que sa "tête" arrive sur la "queue" du premier... Si j'ose dire....

Les deux films ne se recouvrent donc jamais...

moi j'éviterai ...déjà pas trop simple de charger un film ...le coût du révélateur ne vaut pas ce risque ( x-toll 8 € pour 5 litres ) mais chacun fait ce qu'il veut c'est bien sûr un avis personnel