Posté: samedi 16 décembre 2017 - 10:55
Bonjour à tous,
Je me suis lancé un petit défi en « revenant » à l’argentique, en complément du SL et du M-P. L’idée est de s’affranchir des automatismes ou semi-automatismes, de moins déclencher, d’être plus posé et plus réfléchi dans ma pratique, retrouver mes sensations de 30 ans en arrière quand j’utilisais mon regretté OM-1. J’ai donc acquis à un prix raisonnable un superbe M6 (classic) de 1988, tout juste sorti de révision.
Je vais par contre « hybrider » le développement, en faisant scanner les négatifs (couleur et N&B) et en envisageant un travail numérique ultérieur sur DXO Photolab. Mon but est de retrouver une amplitude de contraste (couleur ou niveaux de gris) que je ne retrouve pas facilement en numérique, en vue de l’édition d’agrandissements. Cela restera une pratique secondaire, voire marginale.
J’ai commencé à consulter différents prestataires artisanaux de ma région qui proposent le scannage de négatifs. Leurs brochures associent le tarif à la résolution ou au format de fichier, mais ne parlent jamais de la « profondeur » en bit des couleurs ou des niveaux de gris. L’un d’eux peut fournir des fichiers DNG (ce que je recherche pour plus de possibilités sur DXO) et appliquer jusqu’à 48 bits, alors que les autres ne fournissent que Jpeg en 8 bits ou Tiff en 16 bits.
La logique voudrait que, vus ma pratique cible et ce que je recherche, je travaille avec l’artisan qui peut aller au delà des 8/16 bits traditionnels.
Mais quelle profondeur bits et quelle résolution dpi en vue de mon flux et de l’édition d’agrandissements ?
Notez que je sais qu’après exportation depuis DXO, le fichier sera en 8bits en Jpeg ou en 16bits en Tiff. Mais si je travaille un fichier qui a plus de profondeur au départ, je devrais avoir plus de « matière » et moins de perte au final, non ?
Merci pour votre aide et vos conseils.
Cordialement,
Stef.
Je me suis lancé un petit défi en « revenant » à l’argentique, en complément du SL et du M-P. L’idée est de s’affranchir des automatismes ou semi-automatismes, de moins déclencher, d’être plus posé et plus réfléchi dans ma pratique, retrouver mes sensations de 30 ans en arrière quand j’utilisais mon regretté OM-1. J’ai donc acquis à un prix raisonnable un superbe M6 (classic) de 1988, tout juste sorti de révision.
Je vais par contre « hybrider » le développement, en faisant scanner les négatifs (couleur et N&B) et en envisageant un travail numérique ultérieur sur DXO Photolab. Mon but est de retrouver une amplitude de contraste (couleur ou niveaux de gris) que je ne retrouve pas facilement en numérique, en vue de l’édition d’agrandissements. Cela restera une pratique secondaire, voire marginale.
J’ai commencé à consulter différents prestataires artisanaux de ma région qui proposent le scannage de négatifs. Leurs brochures associent le tarif à la résolution ou au format de fichier, mais ne parlent jamais de la « profondeur » en bit des couleurs ou des niveaux de gris. L’un d’eux peut fournir des fichiers DNG (ce que je recherche pour plus de possibilités sur DXO) et appliquer jusqu’à 48 bits, alors que les autres ne fournissent que Jpeg en 8 bits ou Tiff en 16 bits.
La logique voudrait que, vus ma pratique cible et ce que je recherche, je travaille avec l’artisan qui peut aller au delà des 8/16 bits traditionnels.
Mais quelle profondeur bits et quelle résolution dpi en vue de mon flux et de l’édition d’agrandissements ?
Notez que je sais qu’après exportation depuis DXO, le fichier sera en 8bits en Jpeg ou en 16bits en Tiff. Mais si je travaille un fichier qui a plus de profondeur au départ, je devrais avoir plus de « matière » et moins de perte au final, non ?
Merci pour votre aide et vos conseils.
Cordialement,
Stef.