Black and white magazine

Bonjour,
Jusqu'à présent, sur ce forum, j'ai surtout été "demandeur". Je vais essayer de participer un peu plus en parlant d'un article vu récemment dans la revue anglaise "Black and white magazine" (n°58, april 2006, je suis un peu fénéant sur ce coup-là).
Frances SCHULTZ, qui fait souvent des tests de télémétriques dans le magazine, aborde dans l'article la question de la "luminosité Leica" (Getting the Leica glow). Elle part du constat que les tirages de son mari Roger HICKS présentent parfois une brillance que les siens n'atteignent pas. Ce constat est partagé par des amis (un couple d'éditeurs dans la presse photo) auxquels elle soumet des tirages tests.
Parmi les explications possibles qu'elle examine:
- le constraste offert par le bafflage interne des optiques Leica, qui permettrait de bien "isoler" les taches lumineuses;
- son mari utilise souvent un diaph de 4 à 8, ou son Summilux 35 pré-asphérique est bien net. La combinaison contraste-netteté serait ainsi optimale;
- l'usage de films HP-5 ou tri-X, alors qu'elle utilise plutot du delta400. Elle pense que les films classiques favoriseraient cette impression de luminosité;
- son mari utilise un M3 et un M4, avec usage décontracté d'une cellule à main et correction "finement pifométrique" du coté de la sur-exposition. Cela va à l'encontre de sa pratique (au spotmètre Pentax) ou elle cherche à poser précis et à la limite de la sous-exposition, pour une bonne netteté;
- enfin le choix des sujets : son mari apprécie les sujets contrastés, scènes "couvertes" avec quelques tâches de lumière vive.
Sur le site "Luminous landscape", Mike JOHNSTON (qui a aussi une rubrique dans ce magazine) donnait des conseils proches pour avoir une "luminosité" : film classique sur-exposé, optique fixe des années 70-80 (il parlait des Takumar), limite sous-développement, usage d'un filtre jaune.
Voilà, j'espère simplement que cette rapide fiche de lecture donnera un peu de grain à moudre à quelqu'un.
Jusqu'à présent, sur ce forum, j'ai surtout été "demandeur". Je vais essayer de participer un peu plus en parlant d'un article vu récemment dans la revue anglaise "Black and white magazine" (n°58, april 2006, je suis un peu fénéant sur ce coup-là).
Frances SCHULTZ, qui fait souvent des tests de télémétriques dans le magazine, aborde dans l'article la question de la "luminosité Leica" (Getting the Leica glow). Elle part du constat que les tirages de son mari Roger HICKS présentent parfois une brillance que les siens n'atteignent pas. Ce constat est partagé par des amis (un couple d'éditeurs dans la presse photo) auxquels elle soumet des tirages tests.
Parmi les explications possibles qu'elle examine:
- le constraste offert par le bafflage interne des optiques Leica, qui permettrait de bien "isoler" les taches lumineuses;
- son mari utilise souvent un diaph de 4 à 8, ou son Summilux 35 pré-asphérique est bien net. La combinaison contraste-netteté serait ainsi optimale;
- l'usage de films HP-5 ou tri-X, alors qu'elle utilise plutot du delta400. Elle pense que les films classiques favoriseraient cette impression de luminosité;
- son mari utilise un M3 et un M4, avec usage décontracté d'une cellule à main et correction "finement pifométrique" du coté de la sur-exposition. Cela va à l'encontre de sa pratique (au spotmètre Pentax) ou elle cherche à poser précis et à la limite de la sous-exposition, pour une bonne netteté;
- enfin le choix des sujets : son mari apprécie les sujets contrastés, scènes "couvertes" avec quelques tâches de lumière vive.
Sur le site "Luminous landscape", Mike JOHNSTON (qui a aussi une rubrique dans ce magazine) donnait des conseils proches pour avoir une "luminosité" : film classique sur-exposé, optique fixe des années 70-80 (il parlait des Takumar), limite sous-développement, usage d'un filtre jaune.
Voilà, j'espère simplement que cette rapide fiche de lecture donnera un peu de grain à moudre à quelqu'un.