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MessagePosté: samedi 5 août 2017 - 14:56
par Piga
Bonjour,

Si j'en crois cet article de Libération, le conservateur de Wellington permettrait de sauver et exploiter des plaques négatives de plus de 100 ans. Même s'il est certain que ces plaques ont été développées à l'époque de la prise de vue (et dans les conditions que l'on imagine : comment obtenir des bains à 20° C par une température extérieure de -40°C ??) la conservation en est remarquable.

Aussi serait-il utile d'avoir la formule chimique de ce conservateur de Wellington, qui a permis de restaurer ces négatifs :smile: :grin: :grin: :grin: Si quelqu'un a un Glafkidès sous la main...

Re: Conservateur de Wellington

MessagePosté: samedi 5 août 2017 - 18:37
par Jbz
Pas besoin du Glafkidès Raymond. Il y a du conservateur de Wellington dans toutes les boites contenant des tomates chinoises puisque son autre dénomination est E203.

MessagePosté: lundi 7 août 2017 - 15:45
par Piga
Merci Jean !

Une recherche approfondie m'a permis de trouver une composition chimique complexe qui n'est sans doute pas spécifique au conservateur de Wellington, mais commune à toute l'espèce. Il y a essentiellement de l'oxygène, du carbone, de l'hydrogène, de l'azote et du calcium, ainsi qu'une quarantaine d'autres ingrédients.

Le processus d'élaboration est très agréable au tout début, mais demande plusieurs mois pour être mené à terme (neuf en général).