summilux.net

Bonjour,
Pourrait on me donner la dilution (rapport) eau + vinaigre blanc pour constituer un bain d'arrêt pour le développement d'un film. , TX400 avec D76.
Ce serait sympa, Merci.
Alain

Perso c est 10% ... Mais d autres auront peut-etre une autre recette...
Cordialement
Philippe

J'utilise du fixateur usé dilué à 50% et aucun problème

JP

Moi de même, et cela prolonge la durée du second fixateur

Des trucs de vieux

JP

et pour vivre avec son temps et un peut plus moderne sans se casser l'C..

http://www.photostock.fr/acide-acetique ... QUE_1L.cfm

QQun sait si on peut encore trouver de l'acide ultra-concentré (80% ou plus)?

Le Téténal paraît bien falot avec ses 60%... ca me fait toujours mal au portefeuille d'acheter un bidon qui content presque la moitié de flotte...

J'utilise pour les papiers de l'acide citrique sous forme de sel, que j'achète dans des magasins de bricolage au rayon produit d'entretien. Pour les négatifs, comme sud pigalle.
Adrien

L'acide citrique est à mon avis plus approprié que l'acide acétique. Il est beaucoup moins dangereux. Il est sous forme solide et on peut le manipuler facilement. On le trouve dans les magasins d'outillage et les magasins bio.
5g par litre pour les films et 10g par litre pour le papier c'est suffisant.
La méthode du fixateur usé fonctionne aussi très bien. L'eau claire, je n'ai pas essayé.

Y en a qui disent... qu'il faut un bain d'arrêt cad une liquide (légèrement) acide qui va interrompre immédiatement l'action du révélo et qui va aussi protéger le fix.
Un bain à l'eau claier n'offre pas ce tampon chimique et pourrait selon certains créer des zones sur le néga.

C'est vrai : à un moment, j'avais expérimenté une fin de développement en "stand dev" en rinçant une première fois à l'eau claire et en laissant ce bain quelques minutes sans agitation. Résultat catastrophique, moutonnement dans les hautes lumières et aucune amélioration de la gamme des gris. Alors je suis revenu à la formule du fixateur épuisé que j'avais expérimenté dans un souci de maîtrise de la consommation d'eau.

Pour éviter ces problèmes, on soumet la cuve à une agitation peu vigoureuse, mais continue. Dans le meilleur des cas, on obtient un léger accroissement des détails les zones les moins exposées.
Mais cette technique remonte à l'époque -- jusque dans les années 1980 -- où les films étaient épais (aussi bien la couche sensible que la gélatine), ce qui permettait de différer ou de "retenir" les volumes de révélateur dans les zones les plus exposées (= gonflées de liquide). Aujourd'hui, avec les films à couches ultra-fines, plus aucun gain n'est à attendre de la technique du "bain d'eau" (water bath chez A. Adams), tout comme le bain d'arrêt est devenu inutile avec les films.

Je fais toujours un rinçage pour éviter de charger le fixateur des résidus de révélateur.
Pas de bain d'arrêt, de l'eau claire. Un rinçage très court de la cuve, rapidement remplie au robinet à l'eau du robinet préparée à l'avance à la température des autres bains, immédiatement vidée et remplacée sans temps mort par le fixateur. Ainsi, le temps entre fin de révélateur et remplissage avec le fixateur ne dure pas plus de 30 secondes.

Ici, c'est pareil.
Quelques rinçages de la cuve avec l'eau du robinet à température vaguement semblable à celle du révélateur.
Puis, j'y mets le fixateur.
Je pratique de la sorte depuis des années sans aucun problème postérieur.