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Agitation dans la Rondinax ?

MessagePosté: lundi 25 janvier 2010 - 21:22
par Pandani
Hello,

J'ai bien lu et appliqué la leçon de Jean D. lors de mes premiers développements à la Rondinax. Notamment la règle du quart de tour toutes les 5 secondes.

Maintenant que la Rondinax est mon amie, je me pose la question d'aller plus loin en jouant notamment sur les paramètres de dilution, temps de dvpt et agitation.

En particulier, je me demande quelle devrait être l'agitation dans le cas où on veut augmenter sensiblement la dilution et le temps afin d'obtenir plus de modelé dans les ombres sans cramer les hautes lumières. J'ai cru comprendre que dans ce cas on agite moins dans une cuve "normale".

Mais dans la cas d'une Rondinax (où la spire est à moitié immergée), agiter moins, ça va donner quoi ? et combien de moins d'ailleurs ?

Quelqu'un à une expérience sur le sujet ?

merci d'avance :wink:

MessagePosté: lundi 25 janvier 2010 - 22:20
par lemax
A vrai dire je ne comprends pas trop l'intéret d'envisager d'agiter moins avec un systéme où une agitation spécifique (rotation réguliére) esr seule capable de permettre un développement homogéne du film (qui n'est qu'à moitié immergé en permanence). Si tu es tenté par des fortes dilutions avec agitation minimum il faut recourir à une cuve classique il me semble.
Bonne chance dans ta "cuisine".

Tourner différemment doit être également possible !

MessagePosté: mardi 26 janvier 2010 - 0:05
par Jean D.
Bonjour ! :idea: « Jouer notamment sur les paramètres de dilution, temps de dvpt et agitation » comme le souhaite Pandani doit être également possible avec une cuve Rondinax
Il a écrit :
(…) Mais dans la cas d'une Rondinax (où la spire est à moitié immergée), agiter moins, ça va donner quoi ? et combien de moins d'ailleurs ? (…)
Le fait que la spire n’est qu’à moitié immergée ne me paraît pas rédhibitoire… La rotation selon « la règle du quart de tour toutes les 5 secondes » équivaut à l’agitation telle qu’elle est pratiquée avec une cuve traditionnelle dans le but d’obtenir un développement "normal". Il est certainement possible d’opérer différemment : par exemple en réduisant l’amplitude angulaire de la rotation, ou en tournant le gros bouton moleté constamment mais très lentement… L’essentiel est que le film demeure en permanence imbibé de révélateur.
« Et combien de moins d'ailleurs ? » demande Pandani : cette utilisation ne correspondant pas à la pratique habituelle, il faudra évidemment procéder à quelques tests expérimentaux pour établir un nouveau mode de rotation en fonction des résultats obtenus.

Jean D.