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Planche-contact : quel crayon pour y écrire ?

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 10:40
par Rive Gauche
J'ai ma première planche contact dans les mains, j'aimerais écrire dessus mais je n'ai pas le matériel pour. Je me demandais si un stylo à cd pouvait passer ?...

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 16:34
par le vrai rdu
je pencherais a priori pour les crayons gras :o

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 17:10
par ninjéjé
Depuis mes débuts,j'écris a l'aide d'un stylo a cd.
Sur la face émulsionnée,je vois que ça qui marche bien et tiens dans le temps avec les manipulations.

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 18:59
par Rive Gauche
Bon ben, le stylo à cd, ça marche ! :)

Si quelqu'un a un solution plus orthodoxe, je suis preneur...

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 19:25
par Geraud
Si ca se trouve en Europe, les marqueurs "Sharpie" existent en pointe fine.

Mais c'est comme un stylo a CD...

Sinon moins orthodoxe, les stylos pour faire les circuits imprimes a la main, ca doit marcher aussi ;-)

MessagePosté: dimanche 16 août 2009 - 21:14
par Parmodyne
En ce qui me concerne: STABILO OHPen Permanent (pour surfaces lisses - transparents - verre - métal etc...)
Ref Art: N° 842/46
J'en suis satisfait depuis plusieurs années.

MessagePosté: lundi 17 août 2009 - 10:58
par Jeromeaparis
La tradition c'est le crayon gras rouge. (par ex Stabilo ref 8040)

Le feutre à cd etant indelebile, on peut pas l'effacer.
Le crayon gras s'efface tres bien en frottant ou à l'alcool.

Sur les contacts, on fait plusieurs lectures, le premier coup d'oeil n'etant pas forcement le bon.
On encadre plus ou moins suivant qu'on est plus ou moins sur, ou attirer l'attention d'une image ayant un interet meme si pas aboutie. La planche n'est pas qu'un outil de selection, mais aussi matiere à reflexion ou l'on observe le fil de la demarche.

Il y a eu aussi des porte mines grasses, mais je sais pas si on en trouve encore.

Jerome

MessagePosté: lundi 17 août 2009 - 14:13
par danyves
Crayon gras parce que effaçable, surtout pas de feutre.

Porte-mine grasse, rue des Beaux Arts Paris 6ème; quasi angle Rue de Seine, après une galerie; gauche en allant vers l'Ecole des Beaux Arts. Un des derniers lieu de la sorte, sans parler de Sennelier, ou Adam.

Couleurs : rouge, blanc, vert.

MessagePosté: mardi 18 août 2009 - 9:23
par Rive Gauche
Jeromeaparis a écrit :
La tradition c'est le crayon gras rouge. (par ex Stabilo ref 8040)

Le feutre à cd etant indelebile, on peut pas l'effacer.
Le crayon gras s'efface tres bien en frottant ou à l'alcool.


Ah merci, je n'avais pas pensé à cet usage. :oops:
En fait, comme je numérise, Lightroom remplace la planche-contact pour la visualisation et la sélection des photos.
Mais ayant eu l'occasion de faire une ou deux pellicule de portraits, je me suis fait plaisir et ai demandé les planches à mon labo. Je voulais juste noter la date... Je n'avais pensé aux crayons gras de couleurs...

M'enfin, je passerais vers les Beaux Arts ces jours-ci...

Merci pour les réponses !

MessagePosté: mardi 18 août 2009 - 16:41
par iPascal
Les marqueurs pour les tableaux blancs fonctionnent bien et s'effacent avec un chiffon sec. Et surtout, ça se trouve très facilement.

MessagePosté: jeudi 20 août 2009 - 20:14
par danyves
Rive Gauche a écrit :

M'enfin, je passerais vers les Beaux Arts ces jours-ci...

Merci pour les réponses !


Rue des Beaux Arts il s'agit du magasin Esquisse.

MessagePosté: mercredi 30 septembre 2009 - 9:29
par danyves
En juin 1977, Henri Cartier-Bresson 11.000 planches contact, Josef Koudelka, 15.000.

MessagePosté: mercredi 30 septembre 2009 - 15:42
par danyves
Pour Josef le nombre très important -en 10 ans- venait aussi que sur les routes d'Europe il travaillait avec 3 boîtiers: si j'en ai le temps -de scanner- je publierait chez les Pirates et peut-être ici un portrait de Josef au petit matin à Killorglin; lors de la fête de la Chèvre, Puck Fair.

MessagePosté: mercredi 30 septembre 2009 - 15:48
par danyves
danyves a écrit :
En juin 1977, Henri Cartier-Bresson 11.000 planches contact, Josef Koudelka, 15.000.


Correction :

En juin 1977, Henri Cartier-Bresson 14.000 planches contact, Josef Koudelka, 11.000.

MessagePosté: mercredi 30 septembre 2009 - 15:52
par danyves
paga a écrit :
Ça calme en effet... d'où l'importance de shooter beaucoup MAIS d'éditer encore plus, sans complexes (pas facile parfois hein ___________?!) :wink:


Et c'est littéralement épuisant que de consulter pour edition beaucoup de planches contact.