Mon deuxième développement (ou, les joies de la Rondinax)
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Bonjour.
Mon premier développement http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=24094, opéré dans une cuve Paterson, m'était apparu comme un parcours initiatique, semé de défis qu'il a fallu relever les uns après les autres : dosage des produits, ouverture de la cartouche, insertion du film dans la spire... Grâce à plusieurs summiluxiens qui m'ont donné les conseils nécessaires, j'ai cependant pu mener à bien cette tache.
Mon deuxième développement s'est, quant à lui, déroulé de façon beaucoup plus fluide. L'expérience récente -même modeste-, combinée avec l'utilisation de la géniale cuve Rondinax, a permis que le processus soit, de bout en bout, un grand moment de plaisir.
(Je remercie au passage Raymondo d'avoir accepté de me céder une cuve pratiquement neuve).
Cette fois-ci, j'avais pris garde de laisser l'amorce hors de la cartouche lors du rembobinage du film HP5+ placé dans mon M2 ; la préparation des solutions, pour la contenance totale de 200 ml nécessaire pour la Rondinax, est simplissible (180+20 pour le HC110 et 160+40 pour l'Ilford Rapid Fixer) ; pour moi, la mise en place du film dans la Rondinax est, à l'action équivalente dans la Parterson, ce que le rêve est au cauchemar. Certes, si j'avais plusieurs films à développer en même temps, j'aurais sans doute fait l'effort d'apprendre à maîtriser le placement du film dans la spire Paterson. Mais dans mon cas (je ne ferai sans doute pas davantage qu'un ou deux films par mois), le fait de pouvoir procéder en pleine lumière constitue un avantage inestimable.
Pour les manipulations, j'ai suivi scrupuleusement les prescriptions particulièrement pédagogiques de Jean D (Merci à toi aussi, Jean). Pour le dernier bain de rinçage, j'ai utilisé de la Volvic agrémentée d'un peu d'agent mouillant.
Mon négatif, même s'il n'est pas toujours parfaitement exposé (mais c'est une autre histoire), est très satisfaisant.
Dans l'ensemble, ce développement s'est fait de façon beaucoup plus sereine que le premier.
Je n'ai rencontré aucune véritable difficulté. J'ai juste trouvé un peu fastidieux de parvenir à mettre la cuve et les produits à 20° et de devoir fixer en permanence le minuteur pour procéder au quart de tour réglementaire toutes les 5 secondes.
Ce qui manque, je trouve, ce sont des répères sur le bouton permettant de visualiser le quart de tour. Mais je n'ai pas envie de dénaturer ma cuve d'origine en la personnalisation. Au demeurant, une approximation semble acceptable puisque Jean D. indique que c'est "environ" un quart de tour.
.
Par ailleurs, il me semblerait pratique d'avoir un signal sonore (un métronome ?) marquant les intervalles de 5 secondes.
Au total, je suis, on l'aura compris en me lisant, conquis par la cuve Rondinax et j'ai hâte de passer au développement de mon troisième film...
Mon premier développement http://www.summilux.net/forums/viewtopic.php?t=24094, opéré dans une cuve Paterson, m'était apparu comme un parcours initiatique, semé de défis qu'il a fallu relever les uns après les autres : dosage des produits, ouverture de la cartouche, insertion du film dans la spire... Grâce à plusieurs summiluxiens qui m'ont donné les conseils nécessaires, j'ai cependant pu mener à bien cette tache.
Mon deuxième développement s'est, quant à lui, déroulé de façon beaucoup plus fluide. L'expérience récente -même modeste-, combinée avec l'utilisation de la géniale cuve Rondinax, a permis que le processus soit, de bout en bout, un grand moment de plaisir.
(Je remercie au passage Raymondo d'avoir accepté de me céder une cuve pratiquement neuve).
Cette fois-ci, j'avais pris garde de laisser l'amorce hors de la cartouche lors du rembobinage du film HP5+ placé dans mon M2 ; la préparation des solutions, pour la contenance totale de 200 ml nécessaire pour la Rondinax, est simplissible (180+20 pour le HC110 et 160+40 pour l'Ilford Rapid Fixer) ; pour moi, la mise en place du film dans la Rondinax est, à l'action équivalente dans la Parterson, ce que le rêve est au cauchemar. Certes, si j'avais plusieurs films à développer en même temps, j'aurais sans doute fait l'effort d'apprendre à maîtriser le placement du film dans la spire Paterson. Mais dans mon cas (je ne ferai sans doute pas davantage qu'un ou deux films par mois), le fait de pouvoir procéder en pleine lumière constitue un avantage inestimable.
Pour les manipulations, j'ai suivi scrupuleusement les prescriptions particulièrement pédagogiques de Jean D (Merci à toi aussi, Jean). Pour le dernier bain de rinçage, j'ai utilisé de la Volvic agrémentée d'un peu d'agent mouillant.
Mon négatif, même s'il n'est pas toujours parfaitement exposé (mais c'est une autre histoire), est très satisfaisant.
Dans l'ensemble, ce développement s'est fait de façon beaucoup plus sereine que le premier.
Je n'ai rencontré aucune véritable difficulté. J'ai juste trouvé un peu fastidieux de parvenir à mettre la cuve et les produits à 20° et de devoir fixer en permanence le minuteur pour procéder au quart de tour réglementaire toutes les 5 secondes.
Ce qui manque, je trouve, ce sont des répères sur le bouton permettant de visualiser le quart de tour. Mais je n'ai pas envie de dénaturer ma cuve d'origine en la personnalisation. Au demeurant, une approximation semble acceptable puisque Jean D. indique que c'est "environ" un quart de tour.
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Par ailleurs, il me semblerait pratique d'avoir un signal sonore (un métronome ?) marquant les intervalles de 5 secondes.
Au total, je suis, on l'aura compris en me lisant, conquis par la cuve Rondinax et j'ai hâte de passer au développement de mon troisième film...