summilux.net

Avez vous des conseils d'utilisation à me donner quant à l'utilisation d'une cuve de développement Rondinax.

Particulièrement en ce qui concerne l'agitation en utilisant du d76 pour de la TX 400.

Sur un autre fil, j'ai lu attentivement le sujet dédié au développement de la TX. (d76-Tx400- le process de Jules Steinmeitz).

Mais il s'agit exclusivement de l'utilisation de cuves à spires. Je pense que les conditions de trempage du film ne sont pas tout à fait équivalentes. Mais je me complique peut-être un peu les neurones.

Merci de me les remettre à l'endroit si nécessaire.

Cordialement

Raymondo

Voir cette page écrite par Jean D.

Sinon chercher "rondinax" dans la section Labo argentique, il y a quelques fils qui devraient répondre à ta question, comme celui-ci :
Rondinax + méthode de Jules & Jacques ???

On en parle ici, là, encore ici, long fil sur la Rondinax et enfin la notice dans les pages techniques et la page sur la rondinax par son grand maître.

Et c'est reparti, Rondinax v/ Paterson v/ Kindermann !

Piga

Bonjour Raymondo,

Pour ma part, j'ai opté pour la simplicité, en alimentant ma Rondinax à l'Ilford LC29. C'est liquide, donc très simple à diluer

Concernant l'agitation, je suis la méthode de notre maître vénéré Jean D. : un quart de tour de molette toutes les 5 secondes. Je suis scrupuleusement les indications données par les fabricants de pellicule / révélateur (en ce qui me concerne, pour de la HP5+, 6 minutes 30 secondes).

Je suis satisfait de ce procédé, qui a le mérite de la simplicité.

Bons développements à la Rondinax et, par pitié, ne faisons pas de ce fil un (nouveau) lieu d'affrontement. Je ne sais pas ce qui se passe en ce moment (hormones, phase lunaire, manque de soleil), mais les fils dégénèrent sérieusement en règlements de compte !

Bonne journée à tous.

Merci à tous pour les liens et les recommandations.

Tout à fait d'accord avec Defbond en ce qui concerne les fils qui partent en sucette pour des raisons qui ne peuvent-être que atmosphériques.

Parce qu'il n'y a pas de raison de se faire engueuler quand on veut participer au défilé...des post-iers...

Bien à vous tous

Raymondo

En fait, c'est toutes les 5 secondes "environ" .

1/4 de tour toutes les 5 secondes (environ)
avec comme musique de fond pour rythmer du jazz classique (juste avant le "free"). Sans ça, soit on tourne trop ( avec "Carmen" ou "Rock&Roll"),
soit pas assez ("Pink Floyd" ou "Enya") avec résultat sur la densité du négatif qui en découle.

Surtout ne pas faire comme moi à un moment, je lisais "Summilux.net" (en tournant la Rondinax) et "oublier le temps de développement".

C'est le top et pas besoin de tourner à la main.

http://www.heilandelectronic.de/html/en ... s_main.htm

Je me demande combien ça coûte cette machine à retourner...


Je viens d'avoir mon premier "accident" de Rondinax...

Le film ne s'est pas bien enroulé sur la spire dans la cuve et au moment de le sortir pour le séchage c'était pas beau à voir...

Des spires collées (et donc pas développées), un film tout cabossé et certainement une petite dizaine d'images perdues.

Par chance, ce sont des "monuments" (passages parisiens) que je pourrai refaire à l'occasion.

C'est certain qu'avec une Paterson on "sent" quand ça ne se passe pas bien.

Ah! l'argentique...

Est-ce qu'il vous est déjà arrivé quelque chose de semblable avec vos Rondinax?

Bonsoir ! J'extrais ce passage de la page dédiée à la cuve Rondinax (voir l'illustration) :
Philippe, j’espère que ton « premier "accident" de Rondinax » sera le dernier…
Ce fut probablement dû au mauvais engagement de l’amorce dans le guide, qui t’aura échappé... c’est un point essentiel à surveiller lors du chargement : son inobservance constitue, à mon avis, la seule cause possible de déconvenue !

Jean D.

Amusant !
En moins compliqué, il y a toujours les bon vieux processeurs Jobo et les cuves du même nom à fond aimanté. Evidemment, il faut adapter les temps de traitement à l'agitation continue mais l'avantage, c'est la consommation plus faible de bains.