Tirage - Point noir de référence

Bonsoir,
Je me suis mis au labo. Pour développer mes films, j'utilise la méthode Zekkar-Steimetz que je combine avec une Rondinax. J'ai donc un procédé de développement des films stable et prédictible.
Même si la méthode de développement des films est toujours la même, les scènes photographiées présentent des contrastes différents. Les négatifs qui sont toujours développés de la même façon vont avoir des contrastes différents selon le contraste de la scène photographiée. En effet, on ne peut pas ajuster individuellement les temps de développement de chaque vue selon les scènes photographiées. En disant cela, j'espère ne pas me tromper dans mon raisonnement....
Par conséquent, les temps de tirage vont varier selon les négatifs. Suivant le temps et le grade, on obtient une courbe de nuances de gris qui varie et que l'on peut placer vers les "blancs purs" ou vers les "noirs profonds".
Ma question est la suivante: est-ce que dans un tirage il est nécessaire d'avoir une zone de "noir profond" de façon à ce que l'oeil puisse prendre cette zone comme point de référence et évaluer à partir de ce "noir pur" les nuances de gris du reste de l'image?
Par comparaison, en numérique il est facile de caler l'histogramme en déplaçant les petits "triangles" à gauche et à droite de la courbe. On enlève ainsi le "voile" numérique et l'image prend tout son contraste. Comment faire cela en argentique?
Je n'utilise certainement pas le bon vocabulaire, mais j'espère avoir expliqué mon problème.
Merci.
Je me suis mis au labo. Pour développer mes films, j'utilise la méthode Zekkar-Steimetz que je combine avec une Rondinax. J'ai donc un procédé de développement des films stable et prédictible.
Même si la méthode de développement des films est toujours la même, les scènes photographiées présentent des contrastes différents. Les négatifs qui sont toujours développés de la même façon vont avoir des contrastes différents selon le contraste de la scène photographiée. En effet, on ne peut pas ajuster individuellement les temps de développement de chaque vue selon les scènes photographiées. En disant cela, j'espère ne pas me tromper dans mon raisonnement....
Par conséquent, les temps de tirage vont varier selon les négatifs. Suivant le temps et le grade, on obtient une courbe de nuances de gris qui varie et que l'on peut placer vers les "blancs purs" ou vers les "noirs profonds".
Ma question est la suivante: est-ce que dans un tirage il est nécessaire d'avoir une zone de "noir profond" de façon à ce que l'oeil puisse prendre cette zone comme point de référence et évaluer à partir de ce "noir pur" les nuances de gris du reste de l'image?
Par comparaison, en numérique il est facile de caler l'histogramme en déplaçant les petits "triangles" à gauche et à droite de la courbe. On enlève ainsi le "voile" numérique et l'image prend tout son contraste. Comment faire cela en argentique?
Je n'utilise certainement pas le bon vocabulaire, mais j'espère avoir expliqué mon problème.
Merci.