Je crois aussi constater un aspect légèrement "laiteux" des hautes lumière sur le Nex, par grand beau temps et diaph ouvert.
J'aurais tendance à disculper l'inclinaison des rayons sur le capteur pour les focales longues, notamment car je constate cette "diffusion" dans les zones centrales de l'image, avec un 35/2 Canon FD (formule retrofocus), et Eric sur des images prises au 50mm. Il y aurait donc au moins un autre phénomène à l'origine de ce flare. Je verrais bien du "blooming" (traduction francophone bienvenue), dont j'ai découvert l'existence dans
cet article de Paul van Walree, et les références qu'il donne à la fin : les électrons d'un photosite saturé migreraient vers les photosites alentourent. Ce candidat colle bien avec mon expérience, j'ai l'impression de ne pas avoir ce problème en basse lumière ou diaphragme plus fermé.
Pourquoi pas de la réflexion interne, j'ai regardé la chambre du capteur avec attention récemment, l'ensemble me semble suffisamment "noir", les différents éléments qui ne sont pas noircis semblent être occultés lors du montage de l'optique, hormis les contacts. (Pareil pour la bague d'adaptation utilisée.)
Une sensibilité aux UV/IR pourrait ne pas arranger le phénomène (en suivant toujours les pistes évoquées par M. van Walree, qui pense que les optiques sont peu corrigées pour ces longueurs d'onde.)
Je suis volontaire pour des tests un peu plus poussés, je ne dispose pas d'optique éminemment irréprochable mais je m'y prêterai tout de même, avec du canon FD d'une part, ainsi qu'un Summaron 35/2,8 et un Summarit lorsqu'ils seront rentrés de chez Photo Suffren.