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Arles, entre tourisme et rencontres de la photo, est une ville photogénique et très photographiée.
Vivant à Arles il y a encore peu de temps, j’ai arpenté pendant des années ses ruelles à la recherche d’une autre façon de voir la ville et ses environs, loin de la carte postale, ce qui relève du défi permanent mais motivant.
Ce dossier s’inscrit donc dans un ensemble comportant plusieurs volets (La Camargue sous la lumière écrasante de l’été, Arles la souterraine).

La plupart des photos ayant été prises au mois de juillet, j’ai voulu, dans la continuité de la démarche, regarder la ville en évitant touristes, monuments ou folklore et laisser mon imagination faire le reste.


Toutes les photos ont été prises avec un Leica SL2 et le fantastique APO-Summicron-SL 35 f/2 ASPH.

Un véritable travail graphique fort bien réalisé. Bravo. Ceci dit cela n'a pas sucité d'émotion en moi mais c'est un sentiment personnel.
Brabo et merci pour la publication.

tilu, merci pour la première partie de ton commentaire qui m'a fait vraiment plaisir car, c'est vrai, il y a du travail.
La seconde partie de ton commentaire est très juste. Ce n'est pas une excuse mais ce n'est pas ce que je voulais, au départ, publier pour le prix Summilux mais c'est une autre histoire..

En y revenant, c’est la photographie bleue qui dénote car elle ne reprend pas les jeux de transparence et de géométrie fort bien vus et mise en valeur sur les autres.

L’absence d’émotion ne veut pas dire l’absence d’intérêt. C’est un intérêt plus réflexif.