Le Boyau de la Mort.
Posté: jeudi 12 novembre 2020 - 1:00
Le Boyau de la Mort.
A Dixmude (Belgique), le site du Boyau de la Mort permet de visiter les dernières tranchées du front belge de la Première Guerre mondiale. De terribles combats y ont opposé les Allemands et les Belges. Ces tranchées ont été créées après que le front se soit stabilisé dans la plaine de l'Yser inondée, et que, les Belges aient pris position derrière la digue du chemin de fer de Nieuport à Dixmude. Dans ce secteur, seuls l'eau et les marais les séparaient alors des Allemands qui restaient à proximité de l'Yser et occupaient une tête de pont sur sa rive gauche. Les Belges ont alors tenté de prendre cette position stratégique en creusant, à partir de mai 1915, des tranchées sur la rive gauche de l'Yser.
Les travaux de construction et de réparation des dégâts causés par les combats se faisaient durant la nuit. La nature du sol rendait le travail difficile et les tranchées instables. On utilisa alors des sacs de sable pour stabiliser les parois. Le dispositif comptait deux tranchées parallèles de 400 m de long.
A un certain endroit, les deux camps n'étaient distants que d'une cinquantaine de mètres.
« Plus jamais de guerre » symbolisé par le fusil brisé par les mains…
Au niveau photographique, le choix a été fait d’essayer de reproduire l’aspect terrifiant des lieux et l’ambiance insoutenable de l’époque au moyen d’images légèrement jaunies à bords brulés.
Ce ne fut pas une décision facile car cette option pourrait ne pas faire l’unanimité.
L’optique Leica Vario-Elmarit-R 1:2.8-4.5/28-90mm ASPH convenait particulièrement à la configuration des lieux nécessitant tant des angles de vue larges que plus resserrés. Muni de sa bague Leica, cet objectif fut le compagnon idéal du boitier Lumix S1.
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A Dixmude (Belgique), le site du Boyau de la Mort permet de visiter les dernières tranchées du front belge de la Première Guerre mondiale. De terribles combats y ont opposé les Allemands et les Belges. Ces tranchées ont été créées après que le front se soit stabilisé dans la plaine de l'Yser inondée, et que, les Belges aient pris position derrière la digue du chemin de fer de Nieuport à Dixmude. Dans ce secteur, seuls l'eau et les marais les séparaient alors des Allemands qui restaient à proximité de l'Yser et occupaient une tête de pont sur sa rive gauche. Les Belges ont alors tenté de prendre cette position stratégique en creusant, à partir de mai 1915, des tranchées sur la rive gauche de l'Yser.
Les travaux de construction et de réparation des dégâts causés par les combats se faisaient durant la nuit. La nature du sol rendait le travail difficile et les tranchées instables. On utilisa alors des sacs de sable pour stabiliser les parois. Le dispositif comptait deux tranchées parallèles de 400 m de long.
A un certain endroit, les deux camps n'étaient distants que d'une cinquantaine de mètres.
« Plus jamais de guerre » symbolisé par le fusil brisé par les mains…
Au niveau photographique, le choix a été fait d’essayer de reproduire l’aspect terrifiant des lieux et l’ambiance insoutenable de l’époque au moyen d’images légèrement jaunies à bords brulés.
Ce ne fut pas une décision facile car cette option pourrait ne pas faire l’unanimité.
L’optique Leica Vario-Elmarit-R 1:2.8-4.5/28-90mm ASPH convenait particulièrement à la configuration des lieux nécessitant tant des angles de vue larges que plus resserrés. Muni de sa bague Leica, cet objectif fut le compagnon idéal du boitier Lumix S1.
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