L'autre humain

L'autre humain
2017, nous partons en convoi pour ravitailler des collectifs autogérés et des squats de
migrants à Athènes dans le quartier d’Exarcheia, c’est là que nous ferons la
connaissance de Costas, l’homme qui a fondé la « cuisine sociale, l’autre humain» .
Je le laisse présenter sa démarche :
« J’ai commencé tout seul et de plus en plus de gens m’ont aidé et on s’est organisé sur un
plan égalitaire, sans direction et on est devenu de plus en plus nombreux.
Dans ce que l’on a fait, ce qui m’a le plus touché c’est ce mélange parmi nous, dans la
cuisine sociale, ce mélange des migrants et des sans abris grecs, il faut pas qu’on se laisse
diviser et opposer les uns les autres. Et de même, la venue de jeunes drogués, de jeunes
pommés. Voilà, on est tous ensemble par delà nos différences et ça c’est extrêmement important. »
1 : Costas (à droite) présente sa démarche, ils cuisinent toujours avec les gens dans la
rue. La cuillère à une valeur symbolique : c’est une rame de l’esquif d’un migrant offerte
à l’équipe .
2 et 3 : Sur la place des Héros : on vient chercher le repas pour toute la famille.
4 et 5 : A Agios Potélémonias, il faut aussi occuper le terrain face à « aube dorée » qui fait
la chasse aux migrants.
6 : Mandra, sud est d’Athènes après les inondations, Costas est atterré
7, 8, 9 et 10 : Dans la ville dévastée une installation précaire et une présence plus que
nécessaire.
Ce projet s’inscrit naturellement dans mon investissement dans les actions solidaires
en rupture avec les institutions officielles.
Photos faites au M240 avec summilux 35 et trielmar wate.
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2017, nous partons en convoi pour ravitailler des collectifs autogérés et des squats de
migrants à Athènes dans le quartier d’Exarcheia, c’est là que nous ferons la
connaissance de Costas, l’homme qui a fondé la « cuisine sociale, l’autre humain» .
Je le laisse présenter sa démarche :
« J’ai commencé tout seul et de plus en plus de gens m’ont aidé et on s’est organisé sur un
plan égalitaire, sans direction et on est devenu de plus en plus nombreux.
Dans ce que l’on a fait, ce qui m’a le plus touché c’est ce mélange parmi nous, dans la
cuisine sociale, ce mélange des migrants et des sans abris grecs, il faut pas qu’on se laisse
diviser et opposer les uns les autres. Et de même, la venue de jeunes drogués, de jeunes
pommés. Voilà, on est tous ensemble par delà nos différences et ça c’est extrêmement important. »
1 : Costas (à droite) présente sa démarche, ils cuisinent toujours avec les gens dans la
rue. La cuillère à une valeur symbolique : c’est une rame de l’esquif d’un migrant offerte
à l’équipe .
2 et 3 : Sur la place des Héros : on vient chercher le repas pour toute la famille.
4 et 5 : A Agios Potélémonias, il faut aussi occuper le terrain face à « aube dorée » qui fait
la chasse aux migrants.
6 : Mandra, sud est d’Athènes après les inondations, Costas est atterré
7, 8, 9 et 10 : Dans la ville dévastée une installation précaire et une présence plus que
nécessaire.
Ce projet s’inscrit naturellement dans mon investissement dans les actions solidaires
en rupture avec les institutions officielles.
Photos faites au M240 avec summilux 35 et trielmar wate.
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