
Bonjour à tous,
Toujours en pleine exploration du monde "Vrai" Leica M, je me permet de partager mes questions : le but d'un forum n'est-il pas la diffusion du doute jusque son extinction ?
Je découvre l'intérêt du codage 6 bits : plus que la correction que le boitier fait, c'e n'est rien d'autre que l'identification de l'optique que je recherche (J'imagine les profils LR bien plus travaillés que les corrections internes des boitiers mais peut être que je me trompe et c'est une autre histoire de toute façon.).
Avant de me lancer à coup de Dremel dans l'éparpillage de micro-poussières de métal dans mes optiques je teste une autre méthode : un bout de ruban adhésif sur la partie de la monture où est censé figurer le codage et quelques coups de marqueur noir. Déjà comme ça je me rends compte que les divers gabarits et outils ne sont pas spécialement précis, que la qualité du "noir" est loin d'être négligeable et que le résultat est très ératique. Mais bref, je fini par y arriver.
Je code ainsi un Tele Elmarit 90/2.8 et le petit nouveau, SWH 15/4.5. Mais aussi un Jupiter 8 50/2 à travers une bague d'adaptation 50/75.
Jusqu'ici tou va bien et chaque objectif est reconnu.
Mais je me demande :
1 - Est ce que l'épaisseur du papier influe sur la precision du télémetre ?
2 - Si oui mais même sinon, lorsqu'on utilise une bague M39>LTM (et ce qu'elle que soit la bague : de qualité ou extreme-orientale – CF question récente à A.Noctilux – ) est ce que la "force" du serrage n'influe t'elle pas sur la precision de la mise au point ? Alors dans ce cas quelle est vraiment l'importance de l'épaisseur du scotch (celui qui colle) ?
Enfin petite question périphérique et subsidiare comme je les aime bien : quand je vois certains tirages argentique "du passé" je me demande si cette quête du net n'est pas un peu… Inutile ?
Bref, comme toujours, merci pour vos réponses et avis. Et bien entendu : Bonne année à tous !
Toujours en pleine exploration du monde "Vrai" Leica M, je me permet de partager mes questions : le but d'un forum n'est-il pas la diffusion du doute jusque son extinction ?

Je découvre l'intérêt du codage 6 bits : plus que la correction que le boitier fait, c'e n'est rien d'autre que l'identification de l'optique que je recherche (J'imagine les profils LR bien plus travaillés que les corrections internes des boitiers mais peut être que je me trompe et c'est une autre histoire de toute façon.).
Avant de me lancer à coup de Dremel dans l'éparpillage de micro-poussières de métal dans mes optiques je teste une autre méthode : un bout de ruban adhésif sur la partie de la monture où est censé figurer le codage et quelques coups de marqueur noir. Déjà comme ça je me rends compte que les divers gabarits et outils ne sont pas spécialement précis, que la qualité du "noir" est loin d'être négligeable et que le résultat est très ératique. Mais bref, je fini par y arriver.
Je code ainsi un Tele Elmarit 90/2.8 et le petit nouveau, SWH 15/4.5. Mais aussi un Jupiter 8 50/2 à travers une bague d'adaptation 50/75.
Jusqu'ici tou va bien et chaque objectif est reconnu.
Mais je me demande :
1 - Est ce que l'épaisseur du papier influe sur la precision du télémetre ?
2 - Si oui mais même sinon, lorsqu'on utilise une bague M39>LTM (et ce qu'elle que soit la bague : de qualité ou extreme-orientale – CF question récente à A.Noctilux – ) est ce que la "force" du serrage n'influe t'elle pas sur la precision de la mise au point ? Alors dans ce cas quelle est vraiment l'importance de l'épaisseur du scotch (celui qui colle) ?
Enfin petite question périphérique et subsidiare comme je les aime bien : quand je vois certains tirages argentique "du passé" je me demande si cette quête du net n'est pas un peu… Inutile ?
Bref, comme toujours, merci pour vos réponses et avis. Et bien entendu : Bonne année à tous !