Ce livre de Osterloh est effectivement remarquable.
On y découvre beaucoup de choses entre autres comprendre les différences entre un M et un reflex.
Sur ma version en anglais, j'y découvre que le M est largement supérieur en précision de mise au point jusqu'à environ 120mm (presque égalité dans ce cas).
Ce qui explique le choix de Leica d'avoir ajouté une loupe grossissante (facteur x1,5) à son 2.8/135mm.

Tellement remarquable que sur mon exemplaire, les feuilles se détachaient, devinez pourquoi.

Il y a quelques années, Tonton Piga m'a donné un autre exemplaire du même livre.
J'avais pour projet de le faire circuler entre summiluxiens qui lisent l'anglais et qui le souhaitaient.

J'avais eu en tout qu'un seul et unique "client" ... les feuilles se détachaient.

Si non
on trouve encore, une seconde édition en anglais

Arnaud

Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres.
Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi.
Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée...
Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer.

Titoufx a oublié de citer sa source - pourtant un monument du cinéma classique français .

Titoufx a oublié de citer sa source - pourtant un monument du cinéma classique français .

ce quelqu'un, c'est le Grand Robert.

j'ai suivi les conseils de Ralph, mais avec un 35mm.
je me place instinctivement correctement.
j'ai toujours été mal a l'aise avec les 50mm.
j'ai essayé, mais non.

faut essayer les deux pour savoir laquelle convient le mieux.
y'a pas de regles, de bonnes ou de mauvaises focales.
Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres.
Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi.
Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée...
Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer.

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