Bah il suit la mode... Aujourd'hui il y a quantité d'artistes (musiciens entre autres) qui font financer leur projet suivant par un mouvement participatif. Du temps de Patrick Chauvet bon'dlà on allait prendre un crédit conso à la BNP et hop! on partait au Cambodge avec le pognon.
Et (attention instant cynique) il est de son temps le Sobol : il fait en sorte que le pognon aille du bas (vous et moi) vers le haut (les gens avec un nom). C'est un mouvement qui infuse toute notre époque.
Et 2ème tendance bien de notre époque : on balance le "risque" financier sur la collectivité plutôt que le porter soi-même tout seul.
En tous cas je retiens que le boitier qui a servi à accomplir un boulot peut un jour servir de "monnaie d'échange"...
