calage boitier-optique

Bonjour à tous,
Avec la précision nécessitée par le capteur numérique intégré au leica télémétrique, on se rend compte que les tolérances de fabrication doivent être très étroites, en particulier avec les objectifs summilux de 35, 50 et le summicron de 90mm.
Les boitiers argentiques enregistrent l'image sur un film dont l'épaisseur absorbe les légers écarts de mise au point, ce n'est plus vrai avec les capteurs numériques d'aujourd'hui.
Avec les boitiers M numériques, et surtout avec les objectifs à grande ouverture, lorsque l'on constate que la netteté est aux abonnés absents, il convient de renvoyer en Allemagne, boitier et objectif, pour faire en sorte que l'ensemble soit parfaitement appairé en vue d'obtenir les résultats espérés, avec les délais d'attente et les coûts en résultant.
On se pose alors la question de savoir si le parfait calage mécanique du boitier avec son optique n'est pas à la limite du possible voire du réalisable, alors que semble t'il, les dispositifs électroniques des reflex numériques permettent d'atteindre plus aisément le parfait calage de la mise au point.
C'est juste une réflexion personnelle soumise aux summiluxiens bien plus compétents que moi sur ce sujet.
Bien cordialement
Henri
Avec la précision nécessitée par le capteur numérique intégré au leica télémétrique, on se rend compte que les tolérances de fabrication doivent être très étroites, en particulier avec les objectifs summilux de 35, 50 et le summicron de 90mm.
Les boitiers argentiques enregistrent l'image sur un film dont l'épaisseur absorbe les légers écarts de mise au point, ce n'est plus vrai avec les capteurs numériques d'aujourd'hui.
Avec les boitiers M numériques, et surtout avec les objectifs à grande ouverture, lorsque l'on constate que la netteté est aux abonnés absents, il convient de renvoyer en Allemagne, boitier et objectif, pour faire en sorte que l'ensemble soit parfaitement appairé en vue d'obtenir les résultats espérés, avec les délais d'attente et les coûts en résultant.
On se pose alors la question de savoir si le parfait calage mécanique du boitier avec son optique n'est pas à la limite du possible voire du réalisable, alors que semble t'il, les dispositifs électroniques des reflex numériques permettent d'atteindre plus aisément le parfait calage de la mise au point.
C'est juste une réflexion personnelle soumise aux summiluxiens bien plus compétents que moi sur ce sujet.
Bien cordialement
Henri
