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En argentique, je sais à peu près quel film choisir selon l'écart d'IL prévisible.
Quelqu'un a-t-il eu la curiosité d'évaluer la latitude de pose imposée par un capteur de M8 à différentes sensibilités ?

Je me lance dans cette latitude ...

L'essentiel c'est l'image final: tirage papier, écran informatique ou de projection, etc.

1- Comparés à des diapos (kodachrome ou velvia projeté avec un Pradovit sur grand écran), mes images au M8 ne font pas du tout le poids en "qualité générale", donc la brillance, subtilité de couleurs, et cette fameuse latitude pose.

2- Sur un écran informatique à contraste 1:1000, cette latitude est pour moi suffisante donc on peut tabler sur ce rapport.

3- La précision de l'exposition du sujet n'est pas à négliger, plutôt sous-exposer que sur-exposer dans mon cas et mes sujets de prédilection.

4- A mon avis les différentes "mesures-dans-les-magazines-pour-vendre-la-marque-A-qui-a-plus-0,5 EV-de-latitude-de-pose-que-la-marque-B, etc." n'a pour moi aucune importance PRATIQUE.

Voilà mes points de vue.

Cordialement,

Arnaud

bien d'accord sur l'essentiel et ces remarques confirment mes premières impressions.

c'est surtout la question de la bonne exposition qui m'intéresse. j'ai cru remarquer que le capteur se sortait mieux d'une sous exposition dans les ombres que d'une sur exposition dans les hautes lumières.

en fait, la question qui me chauffe le neuronne est : par une bonne appréciation de la latitude de pose du M8, le "zone system" d'Ansel Adams peut-il apporter quelque chose à la prise de vue numérique ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_System