Posté: lundi 18 octobre 2021 - 17:46
Leica M7, Le M argentique le plus abouti .
Retrouvant pour la quatrième fois en 20 ans le plaisir incroyable d’utiliser un M7 imaculé, après avoir eu presque tous les M, je vous livre une ode en plusieurs chapitre à ce boîtier incroyable, aboutissement du savoir faire argentique de Leica.
Mon avis est évidement subjectif, mais je souhaite glorifier ce boîtier qui m’a tant donné.
Chapitre 1: le M7, méfiance du coin du regard.
La vie est bien curieuse. En 2002, le reflex numérique Canon EOS 1D sort.
la même année, leica présente son M argentique le plus abouti, le M7.
Difficile de mieux démontrer le conservatisme de la marque.
Obturateur à rideau géré electroniquement, mode automatique d’exposition à priorité à l’ouverture, mémorisation à mis course via le déclencheur, le M7 , extrêmement cher par rapport aux nombreux M6 d’occasion à terminé sa carrière en 2018, 16 ans après, a un tarif d’un peu plus de 4000€ en ayant été toute sa vie durant à contre temps.
J’ai vécu cette curieuse période photographique ou les derniers riche passionnés de l’argentique vieillissant rêvaient de M7 à la carte, de télémètre amélioré façon MP.
Le M6 avait d’un coup au yeux des puristes tous les défauts, bubonnant sur la platine zinc du dessus, au télémètre obscure et à la précision de vitesse irrégulière.
pendant ce temps le grand public et les professionnels se pâmaient devant l’immédiateté et la facilité du numérique, nous étions au deuxième schisme photographique après l’apparition des reflex dans le milieu pro.
En parallèle, depuis 1997 , une nouvelle génération, mené par quelques autrichiens avec l’aide de vladimir Poutine, faisait renaître un nouveau type de photo argentique, plus jeune, plus poétique, plus abordable, certain dirons plus flou, la lomographie.
Le M7 avait à combattre sur tous les fronts mais Leica commençais à être habitué a rentrer en mode survis.
Appareil d’esthète, d’une précision chirurgicale et d’une finition inconnu jusqu’à lors, il à fait néanmoins une carrière plutôt longue réussi.
Depuis lors son système de priorité à l’ouverture et d’affichage a LED , si parfait, à été repris avec succè sur le M8,M9, M240, M10…M10-R…19 ans après sa création.
C’est dire si mettre un œil dans un M7, lire la vitesse, sur le petit afficheur à segment rouge, faire des mesures sans quitter son viseur, bloquer une vitesse, recomposer puis effectuer la prise de vue est l’aboutissement de la simplicité et de l’efficacité LEICA et reste d’une modernité incomparable.
A t’on besoin de plus dans le viseur d’un M?
20 ans après, les jeunes étudiants élevé au Lomo ont retrouvé le désire de la belle ouvrage argentique, à travers une quantité incroyable d’objectifs de toute marque en monture M, et on pris d’assaut, poussé par des youtubeurs pas souvent très au fait des choses, le marché du M argentique d’occasion.
M2, M3, M4. M5, M6 s’échangent avec diverse demande.
Quand on a vécu, utilisé chaque modèle, on se pose alors la question de savoir pourquoi certains modèles sont plus boudé que d’autre.
A tous nos amateur de Leica argentique, je souhaite dire clairement que le M7 est sans conteste le plus précis , le plus désirable, des M argentiques.
Non comme objet pour du fétichisme historique comme le MP ou le MA mais comme outil argentique.
Que ses seuls deux problèmes ( lecture DX capricieuse et roue encodeur arrière ) ont été résolu depuis plus de 10 ans simplement, parfois avec un simple bout de papier pour nettoyer les contacts.
Aujourd'hui, il est vrais que certaine grande référence de l’argentique du siècle dernier, rempli d’électronique, ne sont plus réparable: j’ai vu les magnifiques contax, les ricoh, les minox tous devenir des presses papier, et je pense que c’est ce qui fait peur à tord dans le Leica M7….l’électronique.
Mais quiconque a connu Leica dans les années 2000, à ouvert un M7, sait qu’on est à des années lumières de la folie électronique , de la densitè de cartes et de fils, d’un contax ou d’un ricoh, que personne aujourd'hui ne veux réparer car l’ouvrir, quand c’est faisable, c’est déjà prendre un trop gros risque et réparer quoi que ce soit est quasi impossible.
Il y a une grande différence de philosophie avec nos Japonais…plus conservateur que Leica dans les années 2000, tu meurs… quand à l’implantation de la petite carte électronique, elle est accessible et Leica en possède de très nombreux exemplaires de rechange.
Elle est même beaucoup plus qualitative que celle du M6 quand à sa fabrication.
Alors je fais un double pari: oui l’électronique du M7 sera extrêmement durable comme celle d’un polaroïd SX de 1972 qui démarre au quart de tour car conçu par des génies.
Et oui le M7 sera réparable electroniquement, car tous ces M6, Mp, M8, M9, M240, M10 vont générer une micro économie autour de leur maintien en état.
Comme vous le savez peut être la problématique est la faisabilité , l’accessibilité et le stock de pièces détachés. Pour l’accessibilité et la solidité le M7 ne déroge pas à la règle de tous les M argentiques.
Pour les pièces, quand Leica ne souhaitera plus les réparer, dans 10 ans ou plus, le principe du cannibalisme, largement utilisé par les réparateurs de rolleiflex, fugicon, Nikon F… tous les belles mécaniques , sera de mise car l’appareil restera toujours une icône demandé et de plus en plus coté.
Comme le M4-2/M4-p le M7 représente le dernier soldat, le plus abouti, d’une aire photographique.
Comme les deux précédents, il est victime d’une décote absurde, injustifié, basé sur la méconnaissance du produit.
Alors profitez en, les youtubeurs n’ont pas encore réalisé leur erreur.
Retrouvant pour la quatrième fois en 20 ans le plaisir incroyable d’utiliser un M7 imaculé, après avoir eu presque tous les M, je vous livre une ode en plusieurs chapitre à ce boîtier incroyable, aboutissement du savoir faire argentique de Leica.
Mon avis est évidement subjectif, mais je souhaite glorifier ce boîtier qui m’a tant donné.
Chapitre 1: le M7, méfiance du coin du regard.
La vie est bien curieuse. En 2002, le reflex numérique Canon EOS 1D sort.
la même année, leica présente son M argentique le plus abouti, le M7.
Difficile de mieux démontrer le conservatisme de la marque.
Obturateur à rideau géré electroniquement, mode automatique d’exposition à priorité à l’ouverture, mémorisation à mis course via le déclencheur, le M7 , extrêmement cher par rapport aux nombreux M6 d’occasion à terminé sa carrière en 2018, 16 ans après, a un tarif d’un peu plus de 4000€ en ayant été toute sa vie durant à contre temps.
J’ai vécu cette curieuse période photographique ou les derniers riche passionnés de l’argentique vieillissant rêvaient de M7 à la carte, de télémètre amélioré façon MP.
Le M6 avait d’un coup au yeux des puristes tous les défauts, bubonnant sur la platine zinc du dessus, au télémètre obscure et à la précision de vitesse irrégulière.
pendant ce temps le grand public et les professionnels se pâmaient devant l’immédiateté et la facilité du numérique, nous étions au deuxième schisme photographique après l’apparition des reflex dans le milieu pro.
En parallèle, depuis 1997 , une nouvelle génération, mené par quelques autrichiens avec l’aide de vladimir Poutine, faisait renaître un nouveau type de photo argentique, plus jeune, plus poétique, plus abordable, certain dirons plus flou, la lomographie.
Le M7 avait à combattre sur tous les fronts mais Leica commençais à être habitué a rentrer en mode survis.
Appareil d’esthète, d’une précision chirurgicale et d’une finition inconnu jusqu’à lors, il à fait néanmoins une carrière plutôt longue réussi.
Depuis lors son système de priorité à l’ouverture et d’affichage a LED , si parfait, à été repris avec succè sur le M8,M9, M240, M10…M10-R…19 ans après sa création.
C’est dire si mettre un œil dans un M7, lire la vitesse, sur le petit afficheur à segment rouge, faire des mesures sans quitter son viseur, bloquer une vitesse, recomposer puis effectuer la prise de vue est l’aboutissement de la simplicité et de l’efficacité LEICA et reste d’une modernité incomparable.
A t’on besoin de plus dans le viseur d’un M?
20 ans après, les jeunes étudiants élevé au Lomo ont retrouvé le désire de la belle ouvrage argentique, à travers une quantité incroyable d’objectifs de toute marque en monture M, et on pris d’assaut, poussé par des youtubeurs pas souvent très au fait des choses, le marché du M argentique d’occasion.
M2, M3, M4. M5, M6 s’échangent avec diverse demande.
Quand on a vécu, utilisé chaque modèle, on se pose alors la question de savoir pourquoi certains modèles sont plus boudé que d’autre.
A tous nos amateur de Leica argentique, je souhaite dire clairement que le M7 est sans conteste le plus précis , le plus désirable, des M argentiques.
Non comme objet pour du fétichisme historique comme le MP ou le MA mais comme outil argentique.
Que ses seuls deux problèmes ( lecture DX capricieuse et roue encodeur arrière ) ont été résolu depuis plus de 10 ans simplement, parfois avec un simple bout de papier pour nettoyer les contacts.
Aujourd'hui, il est vrais que certaine grande référence de l’argentique du siècle dernier, rempli d’électronique, ne sont plus réparable: j’ai vu les magnifiques contax, les ricoh, les minox tous devenir des presses papier, et je pense que c’est ce qui fait peur à tord dans le Leica M7….l’électronique.
Mais quiconque a connu Leica dans les années 2000, à ouvert un M7, sait qu’on est à des années lumières de la folie électronique , de la densitè de cartes et de fils, d’un contax ou d’un ricoh, que personne aujourd'hui ne veux réparer car l’ouvrir, quand c’est faisable, c’est déjà prendre un trop gros risque et réparer quoi que ce soit est quasi impossible.
Il y a une grande différence de philosophie avec nos Japonais…plus conservateur que Leica dans les années 2000, tu meurs… quand à l’implantation de la petite carte électronique, elle est accessible et Leica en possède de très nombreux exemplaires de rechange.
Elle est même beaucoup plus qualitative que celle du M6 quand à sa fabrication.
Alors je fais un double pari: oui l’électronique du M7 sera extrêmement durable comme celle d’un polaroïd SX de 1972 qui démarre au quart de tour car conçu par des génies.
Et oui le M7 sera réparable electroniquement, car tous ces M6, Mp, M8, M9, M240, M10 vont générer une micro économie autour de leur maintien en état.
Comme vous le savez peut être la problématique est la faisabilité , l’accessibilité et le stock de pièces détachés. Pour l’accessibilité et la solidité le M7 ne déroge pas à la règle de tous les M argentiques.
Pour les pièces, quand Leica ne souhaitera plus les réparer, dans 10 ans ou plus, le principe du cannibalisme, largement utilisé par les réparateurs de rolleiflex, fugicon, Nikon F… tous les belles mécaniques , sera de mise car l’appareil restera toujours une icône demandé et de plus en plus coté.
Comme le M4-2/M4-p le M7 représente le dernier soldat, le plus abouti, d’une aire photographique.
Comme les deux précédents, il est victime d’une décote absurde, injustifié, basé sur la méconnaissance du produit.
Alors profitez en, les youtubeurs n’ont pas encore réalisé leur erreur.