L'entrelac de la deux est très réussi également.
On constate surtout, et c'est ce qui fait l'homogénéité de la série, une appropriation d'un savoir faire et d'un langage du noir et blanc chez Christine. La gamme de gris est large, les densités maîtrisées, les choix sont personnels, on reconnaît par exemple un travail proche de
celui-ci, sur un bateau, avec un travail sur le noir et blanc plus abouti pour la série actuelle de la grande roue de Londres.
L'effet de bulles des deux dernières photos, une bulle flottante, d'esthétique assez vaisseau spatial de feuilletons anciens, puis carrément inquiétante pour la dernière, est très réussi.